10 points sur les inégalités de QI entre les races humaines

10 points fondamentaux sur les inégalités de QI entre les races humaines

 

Sur la base des 10 catégories de recherche dont la liste est donnée ci-après, Arthur Jensen et J.P Rushton ont conclu que la différence moyenne de 15 points entre les QI des Noirs et des Blancs aux Etats-Unis est à 80 % environ d’origine héréditaire, et que la différence de 30 points entre Africains et non-Africains est héréditaire à environ 50 % (le reste étant en grande partie attribuable aux différences culturelles et nutritionnelles). Les données démontrent que :

 

1. Le QI moyen à travers le monde est de 106 pour les Asiatiques de l’est (Extrème-Orientaux), de 100 pour les Blancs, de 85 pour les Noirs américains, et de 70 pour les Africains noirs.

 

2. Les différences raciales sont maximales sur les sous-tests les plus pondérés en g (facteur général de capacité mentale, ou première composante principale » ; il mesure le « principe actif » dans les tests d’intelligence).

 

3. Les différences raciales sont les plus nettes sur les sous-tests de QI dont les résultats dépendent le plus de l’hérédité.

 

4. Les différences raciales de volume cérébral sont parallèles aux différences de QI.

 

5. Les métis ont en moyenne un QI intermédiaire entre ceux de leurs deux populations parentales.

 

6. Les études sur les adoptions trans-raciales montrent que les enfants noirs, métis et est-asiatiques élevés par des parents blancs ont un QI plus proche de la moyenne de ceux de leurs parents biologiques que de la moyenne chez les Blancs.

 

7. On observe chez la descendance et la fratrie des sujets une régression vers le QI moyen de leur race.

 

8. Les races sont systématiquement différentes, et dans le même ordre, sur 60 traits qui décrivent « l’histoire de vie ».

 

9. Les différences raciales de QI sont conformes aux dernières données sur l’origine de l’espèce humaine (le modèle « out of Africa »).
Je crois toutefois que la thèse polycentriste des anthropologues comme Wolpoff est la bonne.

 

10. Enfin, les explications par l’environnement des différences raciales de QI ont été testées et ont régulièrement fait la preuve de leur inadéquation.

 

 

Immigration de masse et baisse du QI moyen en Europe sont‑elles liées ?

(Bulletin de réinformation du vendredi 1er juillet 2016, de Radio courtoisie)

 

Le Monde a récemment relayé une étude menée, en 2015 par deux spécialistes des neurosciences, Edward Dutton et Richard Flynn,respectivement finlandais et britannique et publiée dans la revue Intelligence, dirigée par le psychologue américain Rich Haier. Alors que le QI moyen des Européens a été en hausse convexe pendant quasiment tout le XXe siècle, on a assisté dans les années 90 à une inversion de la courbe et, depuis une dizaine d’années, à une dégradation accélérée du QI moyen sur l’Europe entière.

 

Les deux chercheurs passent en revue un certain nombre de causes possibles

Ils évoquent ainsi le rôle des perturbateurs endocriniens présents dans l’alimentation, celui des drogues, douces ou dures, le déclin programmé de l’éducation (l’« effet Belkacem » avant la lettre…) ou encore la plus faible reproduction des personnes à QI supérieurs. Les deux chercheurs n’hésitent pas à pointer également l’arrivée massive de populations africaines sur le Vieux continent.

 

Leurs travaux confirment en cela une étude de 2013

Cette étude a été menée par un chercheur danois qui a épluché les tests du service militaire dans son pays, montrant que le QI moyen des non‑européens était de 86,3, contre 100 pour les Danois de souche. En France, entre 1990 et 2009, le QI moyen est passé de 102 à 98, soit une baisse de 4 points en vingt ans, ce qui, je cite Le Monde : « Est énorme ». Notons que le QI moyen poursuit sa croissance en Finlande, pays sans immigration de masse, et que les tests Pisa placent d’ailleurs en tête des pays de l’OCDE en matière de performance des systèmes éducatifs.

 

 

Affirmer aujourd’hui que les races existent c’est s’exposer aux foudres du cosmopolitiquement correct et à l’intolérance.

 

Le 14 octobre 2007, dans les colonnes du Sunday Times, James Watson, découvreur de la double hélice de l’ADN, exposa qu’il était « fondamentalement pessimiste quant à l’avenir de l’Afrique » parce que « toutes nos politiques d’aide sont fondées sur le fait que leur intelligence [celle des Africains] est la même que la nôtre [Occidentaux, ndlr] alors que tous les tests disent que ce n’est pas vraiment le cas ».

Pourtant l’existence ou la non-existence des races et l’éventualité ou non de différences substantielles entre elles ne relèvent pas du jugement de valeurs mais du jugement de faits. Or, dans la logique de la pensée européenne un jugement de fait peut être dit vrai ou faux s’il est possible de l’exposer et de le discuter librement. En histoire, en sociologie, en biologie, en médecine, il n’est pas de vérité révélée, il n’existe, d’un point de vue scientifique en tout cas, que des affirmations contestables et révisables.

Ainsi d’un point de vue scientifique il est possible d’affirmer que les races n’existent pas et/ou qu’il n’y a pas de différences entre elles mais à condition d’admettre que des arguments puissent être librement présentés pour défendre la thèse adverse.

C’est justement ce qu’ont fait J. Philippe Rushton et Arthur R. Jensen dans une étude intitulée : « La très dérangeante vérité de James Watson: réalisme racial et illusion moraliste ». Cet article est paru dans le numéro 71 de la très grande revue scientifique (Elsiever) Medical Hypotheses. Il n’est pas indifférent de noter que c’est une revue médicale qui a publié cet article iconoclaste : car, sauf à prendre le risque de ne pas adopter des traitements optimaux, les médecins sont souvent tenus de prendre en compte les origines raciales de leurs patients.

Un correspondant de Polémia a bien voulu traduire cet article. En voici l’Introduction, qui en reprend les principales conclusions. L’ensemble de l’article traduit est aussi disponible en PDF. (voir en fin d’article).

 

La très dérangeante vérité de James Watson: réalisme racial et illusion moraliste

(Introduction de l’article ; les intertitres sont de Polémia)

 

Lorsque l’un des plus grands biologistes du 20èm siecle, le prix Nobel James Watson, a déclaré que les sujets d’origine africaine ont de moins bons résultats aux tests d’intelligence que les Européens et les Asiatiques de l’est, il a été condamné par les médias et une part de l’élite scientifique et contraint à abandonner son poste de président du laboratoire de Cold Spring Harbor [9,34].

 

Un traitement indigne du point de vue scientifique

Le traitement infligé à Watson est d’autant plus énorme que, du point de vue des faits scientiques, plus d’un siècle et demi de preuves corroborent son affirmation. De plus, de nouvelles données et analyses viennent régulièrement appuyer ces résultats dans les grands journaux à comité de lecture des disciplines scientifiques concernées. Les données allant en sens contraire sont extrèmement pauvres. L’essentiel de l’opposition à l’hypothèse génétique se limite à des considérations moralistantes et, pire, à la création d’une atmosphère coercitive et menaçante incompatible avec la liberté universitaire, la liberté d’enquête et les libertés civiles d’une société véritablement démocratique. Il y a un écart énorme entre les tenants et gardiens du cosmopolitiquement correct et les véritables experts des sciences du comportement. Le cas de Watson n’est pas unique. Il n’est que le dernier d’une longue série d’universitaires qui ont été cloués au pilori et diffamés (détails dans l’article de Hunt [20]). Ce sont en particulier le prix Nobel William Shockley, Hans Eysenck, Linda Gottfredson, Richard Lynn, Richard Herrnstein, Charles Murray, Christopher Brand, Glayde Whitney, Helmuth Nyborg, et Tatu Vanhanen. Les auteurs du présent article ont eux aussi dû supporter leur lot d’attaques.

 

Le tabou de la race

Le tabou de la race deviendra certainement un sujet majeur de recherche pour les sociologues de la connaissance : il n’y a pas d’équivalent dans l’histoire de la science. Exemple sans équivalent, ce tabou est imposé, principalement par autocensure, par les membres de l’intelligentsia occidentale dans leurs propres universités, qui s’enorgueillissent pourtant d’une tradition de liberté de pensée, d’ouverture d’esprit et d’absence d’obstacles à la découverte, à la systématisation et à la poursuite de la connaissance et à sa dissémination dans le grand public. Malgré les inquiétants effets que nous venons de décrire, nous (et d’autres) avons persévéré notamment en raison de la grande importance de ce sujet, des données passionnantes qu’il apporte et des questions théoriques qu’il soulève [21]. L’un d’entre nous (JPR) est allé en Afrique du Sud pour recueillir de nouvelles données de QI chez des étudiants noirs hautement sélectionnés dans la prestigieuse université du Witwatersrand à Johannesburg. Ces données ont conduit à la publication de sept études et montrent que le QI médian de ces étudiants est de 84 (extrèmes 77-103). Si on suppose que, comme c’est le cas général pour les étudiants, ceux des universités africaines ont un QI supérieur d’un écart type (soit 15 points de QI) à la moyenne de leur population, un QI médian de 84 correspond à une moyenne (très basse) de 70 dans la population générale [48]. Beaucoup de gens considèrent l’hypothèse d’un lien entre race et QI comme extrèmement provocante, et il est donc essentiel d’examiner à fond toutes les données pertinentes. C’est ce que nous avons fait dans notre revue de 60 pages « Thirty Years of Research on Race Differences in Cognitive Ability » (Trente ans de recherche sur les différences raciales entre les capacités cognitives), qui a été publiée en article principal dans le numéro de juin 2005 de Psychology, Public Policy, and Law, un journal de l’American Psychological Association [51]. Dans le présent article, nous résumons et actualisons ces résultats (avec davantage de détails statistiques et de références).

 

La génétique explique de 50 à 80% des différences d’intelligence

Encore une fois, la grande majorité des données tend à montrer que la génétique contribue pour une part de 50 à 80 % aux différences entre groupes raciaux en ce qui concerne l’intelligence, la taille du cerveau et d’autres paramètres de « l’histoire de vie ». On trouvera chez Bartholomew [1] une bonne introduction aux questions évoquées.

 

Source : Polémia

Ce que la science nous dit des différences de QI entre les races : 

 

La très dérangeante vérité de James Watson: réalisme racial et illusion moraliste (traduit par Polémia)

QI des noirs, pauvreté, maladie, et climat.

 Différences de QI entre les noirs et les blancs dans le NLSY97 : L’éducation est-elle si importante ?

La différence de QI entre les noirs et les blancs, d’origine environnementale ?

– Les gènes de l’intelligence : L’héritabilité estimée par les recherches en génétique comportementale

 

29 Commentaires

  • Mais qu’est-ce que ce QI ? Il dépend considérablement de la forme et du contenu des questions tests. IL est certain que des différences existent ; mais lesquelles ? Si l’intelligence calculée ainsi est la quantité et éventuellement la qualité de l’adaptation d’un individu à la vie de son époque, OK ; mais les époques ne sont-elles pas différentes selon les zones où vivent les individus ? Celui qui vit dans un désert, celui qui vit dans une forêt équatoriale, celui qui vit dans les glaces du pôle ou celui qui naît dans les favelas ? Les différences sont évidemment très importantes mais la mesure doit-elle partir de la silicone vallée où de masure d’un poète ?
    La richesse de l’humanité ne pourrait-elle pas être la somme de toutes ces valeurs, de toutes ces différences ? Vouloir les fusionner et les égaliser n’est-ce pas un crime contre l’espèce et ses innombrables variations de qualités. Comme obliger un poète à se spécialiser en mathématique ou en physique nucléaire ! Comme un peuple libre vivant difficilement dans une zone très pauvre de la planète devrait rejoindre « la civilisation » c’est-à-dire l’esclavage du travail et des clapiers comme demeures ; obliger les gens du voyage à se sédentariser afin qu’aucune tête ne dépasse ? Faire de la terre une fourmilière humaine ?

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  • Parmi les pires dangers qui menacent l’humanité, il y en a un qui est infiniment plus important que le racisme ou la mondialisation, c’est l’unification d’une très grande part de l’humanité par une religion rétrograde conduisant à un retour même pas au moyen-âge mais bien plus à l’âge de pierre ; il s’agit de l’islam qui présente tous les conditions d’une régression massive de toute la culture mondiale pour la ramener à une uniformatisation au minimum possible, c’est-à-dire à RIEN ! Lire le coran est bien plus traumatisant que de lire Mein Kampf ou le Livre Rouge de Mao. Ramener les humains en-dessous de l’animalité !

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    • D’ailleurs n’oublions pas que Belkacem s’est inspirée du coran pour écrire les ABCD de l’égalité, propagande gauchiste, pédérastre et fémininazi-sémite ! Le coran a fondé la théorie du genre. Et pour ceux qui ne me croient pas et bien allez regarder les preuves sur : http://www.non-à-la-théorie-du-complot-coranique-des-sages-de-sion-bobobolcheviks-de-chez-taubira.com

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    • D’ailleurs n’oublions pas que Belkacem s’est directement inspirée du coran pour développer ses ABCD de l’égalité. Propagande gauchiste, islamo-sioniste, feminazi-semite. La théorie du genre trouve donc sa source dans le coran grâce aux liens privilégiés de la ministre islamiste avec le grand complot judéo-bobo-maçonique. Et pour ceux qui ne me croivent pas, j’ai une preuve : le ministère de l’éducation se trouve à Paris, exactement comme le grand orient de France, coïncidence ? Je ne crois pas ! Pour plus d’informations sur la politique de grand remplacement menée par Abou Manuel Valls en collaboration avec le cheikh BHL, l’imam Jacques Attali et le rabbin Karim Benzema allez voir mon site : http://www.non-à-la-théorie-du-complot-coranique-des-sages-de-sion-bobobolcheviks-de-chez-taubira.com

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    • Je suis bien d’accord avec vous! Ce mouvement sectaire signera la fin du Progrès, de la liberté, plutôt la mort qu’un monde gouverné par ces fanatiques! Nous avons l’Atome et moult façon de les réduire à l’état d’amibes, ils devraient le savoir, mais nous préférons pleurnicher et leurs trouver des excuses. Il est temps de ramener cette secte là où elle n’aurait jamais dû émigrer dans le désert, car elle se complaît dans l’aridité, métaphore de ce quelle propose à l’humanité; l’unicité et la sécheresse intellectuelle et artistique. Qu’ils ailles au Diable, car c’est le véritable dieu qu’ils adulent depuis fort longtemps!

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  • Bonjour,
    Comment les arabes et sémites sont considérés dans votre étude ?
    Je ne travaille ni ne vis pas avec des africains / d’origine africaine donc je ne porterai pas de jugement sur eux, en revanche je constate (empiriquement) que les peuples d’Afrique du Nord et Juifs séfarades sont plus intelligents que nous (résultats en classes prépas, métiers de la finance dans lequel je travaille).
    Merci pour votre éclairage
    Cordialement

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  • Je trouve que le thème des races est obsessionnel. C’est du pain bénis pour ceux qui veulent réduire la pensée d’Henry de Lesquen à du racisme.
    Parler de race est un tabou. Mais nous savons pourquoi. Le nazisme est l’arbre qui cache la forêt. Les scientifique jusqu’en 1940 ont théorisé à l’extrême les caractéristiques des races des sous races, des habitants de régions. Ils parlaient de noirs sauvages et de noirs civilisés, ils ont donné une caution scientifique à toutes les idées reçues concernant les bretons, les corses ect… Nous subissons actuellement un retour de balancier que je trouve salutaire. La génétique va surement permettre de retrouver le point d’équilibre mais elle va aussi favoriser l’eugénisme que vous combattez.
    Concernant cet article je reste dubitatif, non pas par bien pensance mais par simple réflexion. Le QI devrait être une mesure des capacités intellectuelle brute qui ne prennent pas en compte l’éducation et la culture. J’ai l’impression que ce n’est pas le cas des tests de QI de ce billet. Quant au QI des noirs africains, je suis surpris que des études sérieuses démontrent qu’il soit homogéne. En effet la génétique montre aussi que tous les européens et tous les asiatiques ont pour ancêtre un nombre réduit d’humain ayant quitté l’Afrique qui se sont légèrement métissés avec d’autres espèces homos. En revanche les noirs africains ont une diversité génétique bien plus riches et des écarts génétiques entre eux supérieur à ceux qui séparent un européen d’un asiatique. Dans ces circonstances, j’ai des doutes sur la véracité de ces théories.
    Je trouve que le thèmes des races est un peu obsetionne333

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    • « Le QI devrait être une mesure des capacités intellectuelle brute qui ne prennent pas en compte l’éducation et la culture. J’ai l’impression que ce n’est pas le cas des tests de QI de ce billet. »
      Vous l’avez apparement mal lu puisqu’on y lit, dès les premières lignes : « Les différences raciales sont maximales sur les sous-tests les plus pondérés en g » (i.e. tests préciséments construits pour éviter les biais culturels et éducationnels).

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    • Je voudrais faire entrer en ligne de compte les dernières trouvailles de la génétique. (les Haplogroupes)

      En effet il semble que l’européen soit un métissage de Néandertal (Homo neanderthalensis, qui était probablement là depuis 250 000 ans et dont on ne sait rien de sa sortie d’Afrique, et même si il y en a eu une ) et d’ Homo sapiens (qui fit sa plus récente sortie d’Afrique entre 80 000 et 60 000 ans ). Ces deux là se sont aussi croisés. On sait maintenant que les européens ont hérité des capacités cognitives, du système immunitaire, des maladies et surtout du système limbique (donc de l’émotivité de l’homme de Néandertal qui était aussi artiste), et qu’il reste aux européens actuels entre 2 et 4 % de gènes entiers de Néandertal et jusqu’à 20 % de fragmentés. L’homme de Néandertal a inventé la flûte et l’art il y a environ 45 000 ans.

      Les Africains subsahariens, qui sont Homo sapiens purs, n’ont aucun gène de Néandertal et donc une moins grande variabilité de gènes.

      Tout cela se trouve dans la Revue Nature.

      @ M de Lesquen, La civilisation occidentale ne commence pas après Jésus Christ. Que dire des civilisations Occidentales Celtes et Germaniques d’il y a 3000 ans dont on commence à retrouver les vestiges archéologiques, et aussi le Doggerland, paradis perdu des européens il y a 8000 ans, dont les vestiges émergent régulièrement de la mer du Nord ? Bien sûr, ces européens (occidentaux) étaient paiens, mais leurs cultures et leur art occidental existaient avant … il en reste des cultures celtes et nordiques (comme en Islande) tout cela commence à émerger, mais cela ne suffit pas pour les oublier, car ils avaient une vraie civilisation et de vraies croyances… (dont il ne nous reste pas grand chose puisque ces croyances ont agrégées par le christianisme) mais la civilisation, la sensibilité et commencent à ré_emmerger depuis une petite dizaine d’années, par des découvertes génétique couplées à l’archéologie)

      Si c’est périmé de parler de races, on peut néanmoins parler de phénotypes ou d’halopgroupe (I occidental précoce ou indo-européen, R européen, G continental, J haplogroupe juif etc… voir la répartition ici http://www.eupedia.com/europe/origines_haplogroupes_europe.shtml )

      Les asiatiques sont des Homo sapiens croisés avec un cousin de Néandertal, l’homme de Denisova. Et on a découvert en 2016, une nouvelle espèce humaine inconnue…

      Espérant que ces précisions vous seront utiles .

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  • Il faut noter également que les statistiques raciales aux Etats-Unis permettent de mesurer les écarts raciaux en ce qui a trait aux performances scolaires, les résultats des noirs sont très largement en dessous des blancs et des asiatiques, même lorsque on corrige les résultats des effets du revenu parental.
    Ainsi les américains blancs pauvres affichent des résultats scolaires plus élevés que les américains noirs les plus riches. C’est ce que révèlent le « SAT Reasoning Test ».

    De plus, la proportion d’enfants surdouées (c’est a dire d’enfants au QI très élevé) diffère pour chaque groupe raciale ; en 2006, 8 % des enfants blancs scolarisés dans les écoles publiques américaines étaient surdoués, alors que seulement 3,6 % des enfants noirs scolarisés étaient surdoués.

    On peut consulter ses données sur le site du National Center for Education Statiscics ;
    https://nces.ed.gov/programs/digest/d10/tables/dt10_049.asp

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  • Combien de fois -t-il rappeler que pour l’humanité, on ne peut pas parler de races. La race renvoie au monde animal et notamment aux techniques d’élevage permettant d’obtenir des individus présentant de nombreux caractères communs. Dans le cas de l’Homme on parle de population, ou d’ethnies mais sûrement pas de races. Donc parler de races relève d’une faute de français, c’est con pour quelqu’un comme vous qui se veut le plus français possible, il serait temps de savoir manipuler la langue française correctement. Enfin encore une foi, le QI dépend de nombreux facteurs, et même si nous ne sommes pas tous égaux au niveau biologique, le QI n’est pas uniquement dépendant de la génétique. Quand on sait que l’Afrique subi de nombreuses famines, pas étonnant qu’on assiste à une baisse du QI.

    Alors monsieur De Lesquen, votre opinion est très sympathique, mais avant de vous improviser spécialiste du sujet, essayez au moins d’avoir l’air crédible. Que je sache vous êtes politicien, pas généticien, alors arrêtez de faire des conclusions hâtives parce qu’un chercheur parmi des centaines a fait une recherche qui concorde approximativement à votre opinion sur le sujet, et n’instrumentalisez pas la science pour justifier votre mode de pensée simpliste, et vos idées xénophobes. Il faut plus qu’une étude scientifique pour confirmer ces résultats, et les utiliser ensuite à des fins politiques, la science est claire et ne fait pas la même erreur que vous, elle ne parle pas de races, mais d’ethnies, vous feriez mieux d’en faire autant.

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    • Outre la réponse de fond qui vous a déjà été faite, permettez-moi d’ajouter que votrr assertion selon lequel parler de race pour les humains serait une faute de français puisqu’il n’y a pas eu de sélection artificielle pour l’homme est une énormité. Aucun lexicographe, à ma connaissance, n’a jamais prétendu qu’il fallait une sélection artificielle pour parler de race. Tous les dictionnaires que je connais définissent la race par des caractères héréditaires communs. Si vous croyez que les différences « ethniques » (?) ne correspondent pas à cette définition, si vous croyez qu’un Blanc est Blanc pour des raisons culturelles et qu’il aurait été Noir si on l’avait fait élever par des parents noirs, Jaunes si on l’avait fait élever par des parents jaunes, alors vous avez un grave problème d’adaptation au réel.

      Sinon c’est seulement que vous êtes nul en français (ou aveuglé par idéologie, les deux n’étant pas incompatibles).

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  • Une personne qu’on a tendance à oublier Albert Jacquard qui disait ceci : https://www.youtube.com/watch?v=0nsiHwtNvpw

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  • Les commentaires sont bien à gauche. C’est surprenant. La question des races est absolument centrale dans l’évolution de la situation en France et la mort lente de notre pays. Un commentaire parle de l’Islam, mais l’Islam n’est-il pas le produit d’une race du désert? Le catholicisme, bien qu’aussi issu du désert a été fait sien par les Européens, et il a évolué depuis 2000 ans, contrairement à l’islam.
    L’article est très bon et les commentaires lui donnent raison: il est impossible de discuter calmement de ce sujet. L' »arrêt du crime » d’Orwel marche à fond dans les cerveaux lobotomisés et inconscients.
    Quant aux critiques sur le QI, c’est le test le plus fiable pour déterminer l’intelligence. Les tests de QI mesurent tout de la capacité de compréhension à la culture générale. Bientôt on les supprimera, mieux vaut casser le thermomètre que de regarder la température.

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  • Vous pouvez répéter x fois uen ànerie, elle ne cesse pas d’être une ânerie pour autant. Les données anatomiques, génétiques ou biopathologiques permettent sans conteste de définir des « races » humaines.
    (Et nul besoin d’être « généticien » pour émettre un avis pertinent sur la question, un individu normalement cultivé, capable d’appréhender la littérature de vulgarisation ou de semi-vulgarisation sur la question en est parfaitement capable.)

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  • Et l’environnement social des personnes dont le QI a été testé.
    Il faut comparer les gens dans les même conditions pour que cela soit vrai.
    Un Manuel portugais qui travaille son cerveau autant qu’un Intellectuel espagnol aura le même QI, de même entre un coréen du sud et un africain.

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  • Bon du coup, les blancs sont « inférieurs » aux asiatiques au niveau de l’intelligence (zut alors)

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  • Je ne m’explique pas alors, le fait que issue d’une famille aux multiples mélanges ( grand mère métisse antillaise, autre grands parents « blancs  » de diverses origines géographiques), mon mari d’origine juive tunisienne , ayont un fils au QI supérieur à la moyenne ( dit précoce). De même pour mon frère, ayant lui une femme issue d’une famille de juif d’Europe de l’Est… Deux enfants au QI plus qu’élevé, avec une telle généalogie…. Je vous laisse réfléchir la dessus…

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  • C’est une surprise toujours renouvelée de voir comment des gens qui s’expriment correctement et ont au moins des rudiments de culture scientifique peuvent être en même temps zombifiés par la toxine antiraciste. S’ils avaient la simple curiosité de simplement regarder le site d’analyse génétique 23andme.com, ils verraient immédiatement qu’on peut aujourd’hui déterminer dans chaque individu la part de chaque grande race (pour la plupart ici, c’est 100% européen), mais également les sous-groupes d’appartenance (celtique, scandinave, méditerranéen etc), les lignées paternelle et maternelle, la quantité de gènes de Néanderthal (sauf pour les Africains qui ne sont pas passés par cette phase de gros cerveaux de 1600 cm3, ce qui, évidemment, a des conséquences sur la taille actuelle de leurs cerveaux et leur intelligence). Et quant à ne pas voir les liens avec le QI , il faut vraiment être très, très intoxiqué par la toxine pour cela;

    Quant à l’idée selon laquelle l’héritabilité de l’intelligence pourrait être due à l’environnement, 50% du déficit de 30 points des Africains, elle n’est là que pour mettre une grosse couche de vaseline, puisqu’une ethnie ou une race crée son environnement, et l’environnement dépend lui même de l’intelligence de ceux qui le créent. Considérée avec quelque logique élémentaire, l’héritabilité est toujours de 100%, et pas 1% de moins. Transféré dans des environnements créés par d’autres races, et influencé par ces environnements étrangers, un être peut voir son QI augmenter ou baisser un peu, mais ça ne change rien aux aptitudes raciales de base, telles qu’elles s’expriment dans l’environnement que cette race est capable de créer.

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  • Vous affirmez que les asiatiques de l’est (les jaunes), ont un QI supérieur au notre (les blancs). J’ai toujours eu un complexe d’infériorité par rapport à ma femme (nous sommes un couple mixte) et vous m’éclairez sur ma condition d’abrutis de service…
    L’écart est-il d’autant plus important que je viens d’une famille de consanguins?
    Est-ce qu’un déménagement à Marseille, royaume des cons, me permettra d’accéder au trône?

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    • pouvez nous nous donner des comparatifs de consanguinités chez les congoides et les caucasoides. Pour moi cela n’a pas le même impact, exemple : Christine Boutin me parait tout à fait saine d’esprit. C’est même la nouvelle Jeanne d’arc bien que plus pucelle.

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  • C’est drôle que vous ne mentionniez pas le fait que ce sont les juifs ashkénazes qui sont l’ethnie qui a le QI le plus élevé au monde avec une moyenne autour de 110… ce n’était pas compatible avec votre argumentaire antisémite ?
    Je précise pour information que je ne suis pas juive mais que je me suis intéressée à ce sujet quand j’ai découvert que j’étais THPI

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    • Je ne suis ni antijuif ni judéo-servile, mais judéo-critique. Pourquoi distinguer, au sein des Juifs, les Achkénazes des Séfarades ?… Evidemment, dans le cadre de la propagande judéo-centrique, pour faire croire à la supériorité du soi-disant « peuple élu » sur les non-Juifs, qualifiés avec mépris de « Goyim ». (Le Talmud tient les non-Juifs pour des bêtes.) Les Séfarades ne feraient-ils pas partie du peuple élu ? Toujours est-il que la définition du Juif n’est précise qu’en Israël, où elle est portée à l’état civil, et que les Juifs israéliens ont un QI inférieur à celui des habitants de la France, a fortiori des Français de sang, puisque les immigrés font baisser la moyenne : les Juifs israéliens ont un QI de 99 seulement, soit 103 pour les Achkénazes, 95 pour les Séfarades. Ailleurs qu’en Israël, comme les limites du groupe juif sont floues, et a fortiori les limites entre les sous-groupes achkénaze et séfarade, il est facile de bidonner les échantillons et donc les résultats statistiques. La propagande judéo-centrique ne s’en prive pas. En fait, il n’y a aucune raison de penser que les Juifs israéliens aient un QI inférieur aux Juifs de la prétendue Diaspora, c’est même très probablement le contraire.

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  • Un très bon site sur le Q.I, l’intelligence et les différences ethniques, en français http://www.intelligence-humaine.com

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