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Races humaines : réponse à Aurélien Enthoven, par Jean Hansen

RÉPONSE À AURÉLIEN ENTHOVEN

Aurélien Enthoven a publié récemment une vidéo dans laquelle il cite intelligence-humaine.com et remet en question plusieurs points.

Dans un second temps, Aurélien Enthoven a publié une réponse adressée aux critiques émises par Pierre Amisoguë des Jeunesses Lesquenistes.

Le site de l’auteur : https://www.intelligence-humaine.com/

Sommaire :

1. Réponse à la vidéo

2. Réponse à la réponse adressée à Pierre Amisoguë

3. Les différences d’intelligence entre les races sont causées par des différences de fréquence allélique

[Commentaires de la rédaction entre crochets.]

1. Réponse à la vidéo

Il n’y a pas de racialistes versus non-racialistes… il y a des scientifiques, et des pseudo-scientifiques. On n’est pas plus « racialiste » qu’on ne serait « héliocentriste ».

Vous entendez discuter d’un sujet avec un regard scientifique. « La France ne se définit pas par une couleur de peau » relève de l’idéologie et non de la science. Ça n’est pas une entrée en matière très appropriée… « la RACE ne se limite pas à une couleur de peau » aurait été pour le coup nettement plus scientifique.

Une race est simplement un « cluster génétique » ou une sous-espèce. Loin d’infirmer l’existence des races, la génétique a au contraire confirmé que la segmentation d’homo sapiens en unités distinctes était sous-tendue par des différences dans un ensemble de gènes. Il est aussi absurde de nier l’existence d’une race qu’il ne le serait de nier l’existence d’une famille.

Dans un article du New-York Times de mars 2018 qui fait grand bruit, David Reich, professeur de génétique à Harvard, explique…

« On peut être préoccupé par une éventuelle mauvaise utilisation des données pour justifier le racisme, mais en tant que généticien je sais aussi qu’il n’est simplement plus possible d’ignorer les différences génétiques moyennes entre les races.

« Des avancées révolutionnaires dans la technologie de séquençage d’ADN ont été faites au cours des deux dernières décennies. Ces progrès nous permettent de mesurer avec une précision parfaite quelle fraction de l’ascendance génétique d’un individu remonte, par exemple, d’Afrique de l’Ouest. Avec l’aide de ces outils, nous apprenons que, bien que la race puisse être une construction sociale, les différences d’ascendance génétique qui sont corrélées à de nombreuses constructions raciales actuelles sont bien réelles.

« Des gens bien intentionnés qui nient la possibilité de différences biologiques substantielles entre les populations humaines se recroquevillent dans une position indéfendable, qui ne survivra pas à l’assaut de la science.

« Alors que la plupart des gens conviennent qu’il est important de trouver les explications génétiques de certaines maladies, ils rechignent lorsqu’il s’agit d’influence génétiques sur le comportement et la cognition.

« Est-ce que le Q.I, l’intelligence ou le nombre d’années d’éducation est influencé par l’éducation ? Bien sûr. Mais est-ce que cela mesure également des caractéritiques cognitives et comportementales ? Presque certainement. Et comme tous les caractères influencés par la génétique différent d’une population à l’autre (les fréquences des variations génétiques étant rarement identiques d’une population à l’autre), les influences génétiques sur le comportement et la cognition varieront également d’une population à l’autre.

« Vous entendrez parfois que les différences biologiques entre les populations sont petites, parce que les humains ont divergé trop récemment des ancêtres communs pour que des différences substantielles soient apparues sous la pression de la sélection naturelle. Ce n’est pas vrai. Les ancêtres des Asiatiques de l’Est, des Européens, des Africains et des Australiens étaient, jusqu’à récemment, presque complètement isolés les uns des autres pendant 40 000 ans ou plus [et même un million d’années selon la théorie polycentrique de Coon et Wolpoff], ce qui est amplement suffisant pour que les forces de l’évolution puissent fonctionner.

« Dans les années à venir les études génétiques montreront que de nombreux caractères sont influencés par des variations génétiques, et que ces traits différent en moyenne entre les populations humaines. Il sera impossible – en effet, anti-scientifique, idiot et absurde – de nier ces différences »

David Reich, Université d’Harvard, mars 2018.

A de nombreuses reprises, Enthoven et Penseur Sauvage tentent de disqualifier les termes « supérieur » ou « inférieur »

Inférieur ou supérieur ne signifie bien sûr rien, il faut des critères. En termes de taille par exemple, les caucasiens européens sont plus grands, en moyenne, que les Est-Asiatiques, c’est déjà une « hiérarchisation », ce terme étant considéré de façon neutre et scientifique. Lorsque deux entités ne sont pas identiques, elles sont comparables sur un nombre potentiellement infini de caractéristiques. Le refus de comparer est, lui, idéologique.

Enthoven : « Chaque ethnie se devant d’accepter la place qui lui est donnée »

Chaque ethnie n’accepte pas « docilement » la place qui lui est allouée. Entrons dans le vif du sujet. Le fait est que la stratification de l’ensemble des sociétés humaines, aussi bien dans une perspective intranationale qu’internationale, se fait sur l’intelligence, qui est ubiquitaire de l’ensemble des processus sociaux et culturels.

[Il ne faut pas confondre la race et l’ethnie. La race est une catégorie biologique, l’ethnie est une catégorie culturelle.]

La conséquence est que, quelle que soit la société multi-ethnique à travers le monde, la hiérarchie socio-économique reste remarquablement identique avec un ordre dicté par le Q.I. moyen racial. Ce n’est nullement « l’opinion de racialistes extrémistes », c’est une simple constatation empirique des données.

Quel que soit le pays à travers le monde, la hiérarchie reste rigoureusement identique, avec un ordre dicté par le Q.I. moyen racial :

  1. Juifs Ashkénazes (110)
  2. Asiatiques de l’est (105)
  3. Européens (100)
  4. Asiatiques du sud-est (92)
  5. Inuits (91)
  6. Métis européen-africain (81-90)
  7. Amérindiens (86)
  8. Nord africains et sud asiatiques (84-88)
  9. Africains (67-80)
  10. Aborigènes d’Australie (62)

[On ne peut s’empêcher de sourire quand on nous assène la supériorité du QI des Achkénazes, qui serait, nous dit-on, de 110. Le procédé est un peu gros qui consiste à ôter du groupe juif la moitié de ses membres, à savoir les pauvres Séfarades, pour améliorer la moyenne que ceux-ci tireraient vers le bas… Mais qu’en est-il en réalité ? Il n’y a qu’un seul pays où le Juif est défini avec précision, c’est l’Etat d’Israël, où on est enregistré avec sa religion et son ethnie. Or, en Israël, les Achkénazes ont un QI moyen de 103, les Séfarades de 91. Comme les deux catégories ont à peu près le même poids démographique, les Juifs israéliens on un QI de 97 en moyenne, donc inférieur à celui des Français, pourtant tiré vers le bas par les immigrés. Il n’y a aucune raison de penser que les Juifs israéliens soient moins intelligents que les Juifs des autres pays, au contraire : les sionistes étaient l’élite du groupe juif. Par conséquent, il faut admettre que les Achkénazes n’ont pas eux-mêmes un QI de 110, mais de 103 au maximum. Les statistiques présentées habituellement sont frelatées, pour une raison simple : en dehors d’Israël, il est impossible de tracer avec précision la frontière entre le Juif et le non-Juif, a fortiori entre l’Achkénaze et le Séfarade. Il est donc très facile de biaiser ou de truquer les échantillons sur lesquels sont calculés les moyennes. On se souvient de la blague du Juif Disraeli : “Il y a trois sortes de mensonges, le mensonge, le satané mensonge, et la statistique.]

Les différences sont bien sûr plus marquées entre les races dont le Q.I diffère sensiblement et sont plus ténues entre les races d’intelligence proche.

Cette hiérarchie se vérifie immanquablement pour :

  1. L’éducation
  2. Les salaires moyens
  3. Le taux de crime et délit (inversement proportionnel au Q.I)
  4. Le statut socio-économique
  5. La fécondité (inversement proportionnelle au Q.I.)

Il y a toutefois des exceptions dans ce taux de fécondité, montrant la place de certains facteurs culturels comme le haut taux de fécondité des Hispaniques de religion catholique.

  1. L’arriération mentale (augmente tandis que le Q.I. diminue)
  2. La réussite scolaire
  3. La délinquance juvénile (augmente tandis que le Q.I. diminue)
  4. Le pourcentage de mères célibataires (augmente tandis que le Q.I. diminue)
  5. Le taux de chômage (augmente tandis que le Q.I. diminue)
  6. La réussite au SAT (test d’entrée de la plupart des universités américaines)
  7. La prévalence de personnes douées
  8. La prévalence d’athées (augmente avec le Q.I.)

De ces différences intellectuelles, biologiques, découlent toutes des inégalités socio-économiques entre les grandes races ou sous-espèces d’homo sapiens. Les Juifs ashkénazes, les Asiatiques et les caucasiens européens ont génétiquement une plus haute intelligence, ils se démarquent par un plus haut taux d’accomplissements culturels, des salaires plus élevés, un taux de crimes et délits plus faible, un statut socio-économique élevé, un taux de fécondité faible, une meilleure réussite scolaire, une délinquance juvénile plus faible, un taux de mères célibataires moins élevé, un taux de chômage plus limité, une réussite au SAT plus élevée et une prévalence plus importante de personnes douées.

A l’inverse, les Nord-Africains, les Africains et les aborigènes d’Australie se caractérisent par une aptitude intellectuelle moindre, et en conséquence ils obtiennent des salaires moins élevés, un taux de crimes et délits plus important, un statut socioéconomique moins élevé, une fécondité supérieure, une réussite scolaire moindre avec de plus importants troubles juvéniles, un pourcentage important de mères célibataires, un taux de chômage plus élevé, une réussite au SAT faible et une prévalence de personnes douées plus faible.

Cette hiérarchie inchangée est le corollaire de la causalité hautement génétique de l’intelligence. Quel que soit le pays, les populations possédant dans leur génome une plus haute fréquence d’allèles pour une haute intelligence (Ashkénazes, Est-Asiatiques, Européens) s’en sortent mieux que les populations moins intelligentes, possédant une moindre fréquence d’allèles pour une haute intelligence et un cerveau plus petit et moins puissant (Nord-Africains, Africains et aborigènes d’Australie).

Ainsi en Amérique Latine, aux USA, au Canada ou en Europe, les Est-Asiatiques montrent systématiquement un niveau d’éducation supérieur aux Européens, un salaire moyen supérieur, une délinquance inférieure… Pourtant personne n’explique cela par « la discrimination qu’exerceraient les Asiatiques de l’est sur les Européens », n’est-il pas ?

Les sociologues antiracistes sont incapables d’expliquer pourquoi certaines races, toujours les mêmes, se hissent immédiatement au sommet de la hiérarchie sociale.

Ils évitent de parler des Juifs et des Asiatiques de l’est qui contredisent leurs thèses. Ils n’expliquent pas pourquoi la petite communauté de mulâtres des Caraïbes, région dans laquelle les Africains noirs sont majoritaires et détiennent le pouvoir politique, arrivent à faire mieux en matière de salaire ou d’éducation. Les Chinois ou les Japonais ont été discriminés, mais ils font aussi bien, voire mieux que les Européens en matière d’éducation et de salaire au Brésil, Canada, Europe, Hawaï et aux Etats-Unis. Les Juifs ont subi des discriminations épouvantables, mais n’ont cessé de faire mieux que les populations indigènes européennes en Europe, Etats-Unis et au Canada [en réalité, le succès des Juifs est récent et ne remonte qu’au XIXe siècle]. Les Chinois sont minoritaires en Asie du sud-est et les Asiatiques du sud-est détiennent le pouvoir politique. Ces minorités ont été persécutées et discriminées, pourtant ils performent considérablement mieux que les natifs d’Asie du sud. Ils sont appelés les « Juifs de l’est » par les Indonésiens, car ils raflent toutes les places dans les universités.

Comme les Est-Asiatiques ou les juifs des Etats-Unis ou du Canada, ces minorités raciales à haut Q.I performent mieux que les populations majoritaires malgré la discrimination à leur encontre.

Les taux de crimes et délits des aborigènes d’Australie sont publiés et disponibles et de nombreux auteurs en parlent, tel que Wilson (1982), Callan (1986), Cove (1992), Broadhurst (1997).

Broadhurst montre que la délinquance juvénile est 48 fois supérieure chez les aborigènes et les taux de crimes et délits 26 fois supérieur. Cela ne l’empêche pas d’écrire ensuite : « La thèse héréditaire est totalement discréditée. Le chômage, la pauvreté, la haute prévalence des aborigènes dans les prisons résulte d’une discrimination indirecte. »

Comme toujours, les Européens sont responsables. Aucune mention n’est faite de la basse intelligence des aborigènes aux tests de Q.I ou de Piaget, de leur cerveau nettement plus petit et moins circonvolué, avec un cortex plus mince, ou de leur durée gestationnelle moindre.

Les taux de crimes et délits sont 26 fois supérieurs chez les aborigènes et plus de 52 fois supérieur si on compare aux Asiatiques de l’est d’Australie. Il n’y a plus que quelques centaines de milliers d’aborigènes, ils vivent dans des réserves en dehors de la civilisation. Leur Q.I. moyen est de 62, c’est l’âge mental d’un européen de 11 ans.

Il y a un contraste saisissant entre la position des aborigènes et le haut Q.I. et les hautes performances en mathématiques des Chinois récemment immigrés en Australie. Mais ceci n’est pas une surprise, ces résultats pouvaient être prédits par les hauts accomplissements des immigrés chinois en Angleterre, Canada, Hollande et Etats-Unis.

Enthoven et Penseur Sauvage, à de nombreuses reprises : « Le Q.I. n’est pas une bonne mesure de l’intelligence, il serait biaisé culturellement pour favoriser les Européens »

Il existe un étrange décalage entre le consensus scientifique et l’opinion publique sur les tests d’intelligence et le Q.I.

Beaucoup de journalistes où de personnes généralement peu informées expliquent que « les tests de Q.I. ne mesurent rien de réel, qu’ils ignorent les traits importants comme l’intelligence émotionnelle et les intelligences multiples… et que ceux qui sont intéressés par le test de QI doivent être élitistes, ou pire… Pourtant, les preuves scientifiques sont claires : les tests de QI sont extraordinairement utiles.

Les scores de QI sont liés à une grande variété de résultats de vie importants comme le succès éducatif, le revenu, et même l’espérance de vie ; et des études biologiques ont montré qu’ils sont hautement héritables (déterminés par le patrimoine génétique) et liés aux mesures du cerveau. Des études d’intelligence et de Q.I. sont régulièrement publiées dans les plus grandes revues scientifiques du monde, mais passent rarement le filtre médiatique.

Le Q.I. est une excellente mesure de l’intelligence humaine. C’est une caractéristique biologique, organique, c’est une mesure de la puissance neurophysiologique du cerveau à traiter l’information. Il corrèle positivement à la vitesse de conduction nerveuse, à la taille du cerveau (+0,4), au pH cérébral, à la fréquence des ondes alphas à l’EEG en potentiels évoqués.

Les hauts Q.I. ont en moyenne des cerveaux plus gros et plus puissants, avec un métabolisme cérébral du glucose pouvant atteindre des niveaux plus importants pour traiter l’information.

On peut estimer le Q.I. de quelqu’un par simple neuro-imagerie !

Wang L, Wee C-Y, Suk H-I, Tang X, Shen D (2015) MRI-Based Intelligence Quotient (IQ). Estimation with Sparse Learning.

Cela n’est bien sûr rien d’un “artefact culturel”.

Genome-wide association studies establish that human intelligence is highly heritable and polygenic18

– Nature, 2011.

Enthoven et Penseur Sauvage : “Comme par hasard, c’est à sa propre race que revient la première place ».

Richard Lynn a publié un article dans Nature sur la haute intelligence des Est-Asiatiques en 1983. Cela a constitué un problème pour le mouvement égalitariste, qui avait coutume d’expliquer les différences d’intelligence par le fait que les tests étaient culturellement biaisés pour favoriser les Européens.

Les experts de l’intelligence savent que les Est-Asiatiques ont en moyenne une intelligence légèrement supérieure aux Européens, ils ont un cerveau plus volumineux, une vitesse de conduction nerveuse plus rapide (le transit de l’information sensorielle vers le cortex est plus rapide). Génétiquement, les Est-Asiatiques ont une plus haute fréquence d’allèles augmentant l’intelligence (Intelligence, Piffer, 2015).

Leurs plus courts temps de réaction les rendent plus performants dans des sports comme le tennis de table. Leur pelvis est plus large que celui des Européens, car ils donnent naissance à des nouveau-nés avec un cerveau plus volumineux.

Les Ashkénazes ont un Q.I. moyen encore supérieur à 110 [voire ; cf. notre commentaire critique ci-dessus]. Ils représentent moins de 10 millions de personnes à travers le monde (moins que la population belge), mais constituent 50% des champions d’échecs mondiaux, 50% des champions de bridge et au moins 25% des prix Nobel mondiaux.

Les Européens ne viennent qu’en 3ème. Qualifier les spécialistes de l’intelligence de « suprématistes européens » est un argument idéologique ad hoc.

Enthoven et Penseur Sauvage : « D’un pays à l’autre, on ne retrouve jamais la même hiérarchie des races ». Concernant l’intelligence, c’est absolument faux. La hiérarchie de l’intelligence générale reste remarquablement inchangée. Ce qui est logique puisqu’elle est hautement génétique (polygénique).

Enthoven et Penseur Sauvage : « La supériorité n’existe pas en biologie »
C’est un parti pris idéologique, mais encore faut-il bien entendu des critères. En réalité, si vous comparez une pomme et une poire vous pouvez conclure éventuellement que les poires sont « en moyenne plus juteuses », les pommes « en moyenne plus sphériques », autant de hiérarchisation comparatives, potentiellement infinies.

Enthoven et Penseur Sauvage : « Il serait absurde de faire porter les difficultés d’intégration à la race »
Il n’y a pas de doute, scientifiquement parlant, sur l’importance du niveau d’intelligence pour arriver à réussir socio-économiquement. C’est abondamment documenté, dans des milliers d’études, publiées dans les meilleures revues scientifiques.

“Intelligence — the ability to learn, reason and solve problems — is at the forefront of behavioural genetic research. Intelligence is highly heritable and predicts important educational, occupational and health outcomes better than any other trait” [L’intelligence la capacité d’apprendre, de raisonner et de résoudre des problèmes est au premier plan de la recherche sur la génétique du comportement. L’intelligence est hautement héritable et prédit les résultats en matière d’éducation, de profession et de santé mieux que tout autre trait.]

Nature, 2018, “The new genetics of intelligence” Robert Plomin & Sophie von Stum

Des populations d’Asiatiques de l’est ont été importées aux USA pour travailler dans les plantations. Seulement, les Asiatiques de l’est sont très intelligents, porteurs d’une plus haute fréquence d’allèles pour une haute intelligence, et ils ont transmis ces gènes à leurs enfants, qui ont mieux travaillé à l’école et à l’université de sorte qu’ils ont obtenu, dès la seconde génération, un niveau d’éducation supérieur à celui des Européens et un salaire moyen supérieur.

La sociologie est souvent pseudo-scientifique. Elle ignore délibérément les différences biologiques et expliquent les phénomènes sociaux par d’autres phénomènes sociaux, dans un raisonnement circulaire sans généralement aucune preuve scientifique. Ce sont d’ailleurs souvent des explications ad hoc qui viennent se greffer de façon opportuniste à une situation.

Les différences de puissance cérébrale entre les races expliquent évidemment une part importante des différences socio-économiques.

Laurent Alexandre dans son dernier livre, La guerre des intelligences, en prend bien conscience. Il explique que « l’intelligence est la mère de toutes les inégalités ». Il cite l’ouvrage de Richard Lynn et Tatu Vananhen, Intelligence an unifying factor for the social science, (2012) montrant que 75% des variations en terme de PIB/habitant à travers le monde s’expliquent par les variations intellectuelles entre les nations. Il cite l’étude de Dickerson E. (2006), « Exponential correlation of I.Q and the wealth of nations », Intelligence 34, 291-295, montrant que le lien est exponentiel : une différence de 10 points de Q.I. au niveau national double le salaire moyen, une différence de 5 points de Q.I. moyen le multiplie par 1,45.

Pour échapper au bûcher des ayatollahs égalitaristes dont il a bien conscience de la puissance de feu, Laurent Alexandre prend soin de mettre çà et là des éléments de complaisance égalitaire. Un journaliste lui demande ainsi : « Pourquoi avez-vous parlé d’un quotient de complémentarité avec l’intelligence artificielle, était-ce parce que le Q.I. n’est pas tout ? » Et Laurent Alexandre de répondre : « J’ai écrit cela pour éviter de me faire allumer ».

Enthoven et Penseur Sauvage évoquent « d’autres explications plus pertinentes ».

Plus en adéquation avec votre idéologie égalitaire probablement, mais scientifiquement beaucoup moins pertinentes.

La discrimination n’a aucun impact sur la prospérité des individus. Il a été démontré qu’à Q.I égal le salaire d’un Afro-Américain, d’un Européen et d’un Asiatique est identique.

Par ailleurs, si la discrimination diminue le Q.I, il est curieux que les Ashkénazes, qui ont subi parmi les plus sévères discriminations de l’histoire, ont le plus haut Q.I moyen. Le haut Q.I des Ashkénazes est connu depuis les années 1930. [voir à nouveau notre commentaire critique ci-dessus.]

Lewis Terman avait mené une étude sur les génies à Q.I. supérieur à 180 aux USA. Sur les 28 qu’il a détecté, 24 étaient Ashkénazes. [On peut parier que ces données sont fallacieuses et relèvent de la propagande judéocentrique.]

J’ose espérer que vous plaisantez en nous expliquant qu’une race est une notion sans pertinence en biologie… L’évolution est impossible sans l’existence de races ou sous-espèces. Une race est simplement un cluster génétique, une sous-espèce émergeant spontanément par les processus de spéciation qui s’appliquent à une population généralement isolée géographiquement. L’endogamie pendant de longues périodes avec la pression de sélection particulière d’un milieu déterminé va mener à une évolution (une modification des fréquences alléliques et éventuellement l’apparition de certaines mutations) de telle sorte que le phénotype soit en adéquation avec ce milieu. Cela survient par simple sélection naturelle.

Lorsque cette population reste isolée pendant un laps de temps très important elle évoluera en espèce distincte qui ne sera généralement plus inter-féconde avec la population d’origine.

Il est totalement fallacieux de limiter l’emploi du terme race à des animaux d’élevage qui auraient évolué exclusivement par sélection artificielle.

On trouve, par exemple, deux races de gorille de l’est (gorilla beringei).

Il y a Gorilla beringei beringei et beringei graueri, deux sous-espèces qui ont évolué différemment suivant les processus expliqués ci-dessus.

c’est probablement ce que Lynn a voulu exprimer, quoiqu’il eut pu prendre 1.000 autres exemples…

Quatre races ou sous-espèces de chimpanzés existent… et ils diffèrent aussi bien dans leurs caractéristiques physiques que dans leur comportement.

“Four subspecies of the common chimpanzee have been recognised, with the possibility of a fifth:

  • Central chimpanzee or tschego, P. t. troglodytes, in Cameroon, the Central African Republic, Equatorial Guinea, Gabon, the Republic of the Congo, and the Democratic Republic of the Congo
  • Western chimpanzee, P. t. verus, in Guinea, Guinea-Bissau, Mali, Senegal, Sierra Leone, Liberia, Ivory Coast, and Ghana
  • Nigeria-Cameroon chimpanzee, P. t. ellioti (also known as P. t. vellerosus),[12] in Nigeria and Cameroon
  • Eastern chimpanzee, P. t. schweinfurthii, in the Central African Republic, South Sudan, the Democratic Republic of the Congo, Uganda, Rwanda, Burundi, Tanzania, and Zambia
  • Southeastern chimpanzee, P. t. marungensis, in Burundi, Rwanda, Tanzania, and Uganda: Colin Groves argues that this subspecies is the result of enough variation between the northern and southern populations of P. t. schweinfurthii.« 

Chez les abeilles européennes (apis mellifera) on trouve plus de 25 races ou sous-espèces…

La girafe compte neuf races ou sous-espèces:

1. c. peralta — Sud-Ouest du Niger.
2. c. reticulata  — Nord-Est du Kenya, Éthiopie, Somalie.
3. c. angolensis — Angola, Botswana, Namibie.
4. c. antiquorum — Tchad, République centrafricaine, Nord-est du Cameroun.
5. c. tippelskirchi — la Girafe Masaï — Centre et Sud du Kenya, Tanzanie, Est du Rwanda
6. c. camelopardalis  — Est du Soudan, Nord-Est de la République démocratique du Congo.
7. c. rothschildi — Ouganda, Centre-Nord du Kenya.
8. c. giraffa — Afrique du Sud, Botswana, Zimbabwe, Mozambique.
9. thornicrofti — Zambie.

Le loup compte trente-huit sous-espèces ou races.

Le renard a quarante-cinq sous-espèces ou races.

Le raton-laveur compte vingt-deux sous-espèces ou races.

Les orang-outans de Bornéo ont trois sous-espèces ou races (et plusieurs races éteintes).

Les kangourous ont deux sous-espèces ou races occupant des territoires australiens distincts.

Les différents groupes humains n’ont pas les mêmes fréquences alléliques. Dans l’espèce homo sapiens, si on se penche sur les grosses branches raciales proches du tronc on distingue (1) les européens (2) les africains (3) les asiatiques de l’est (4) les asiatiques du sud-est (5) les amérindiens (6) les aborigènes d’Australie (7) les pacific islanders (8) les esquimaux et (9) les nord-africains et moyen-orientaux (MENA en anglais).

Les différentes races humaines

[e

Ces races ont évolué dans des milieux séparés, cloisonnés par des barrières naturelles comme des montagnes, des déserts, des mers, pendant des dizaines de milliers d’années.

Une théorie scientifique est exacte lorsqu’elle est « falsifiable » au sens de Popper c’est-à-dire testable… chiche prenez 100 individus à la peau sombre, les narines plus larges, les lèvres volumineuses… ce qu’on appelle communément des africains subsahariens, vivant en Amérique et prenez 100 européens, de façon aléatoire, et effectuez des MRI de leur cerveau.

Les scientifiques (que vous appelez racialistes) vous prédiront ceci :

-Les européens auront un cerveau plus volumineux, la différence sera hautement significative avec un delta d’à peu près 80 à 100 grammes.
-Les lobes frontaux des africains seront en moyenne significativement plus petits en rapport aux autres structures, comparativement aux européens
-Le cortex des africains sera en moyenne moins circonvolué et moins épais. Les circonvolutions seront moins profondes. Le volume des ventricules cérébraux sera supérieur (cavités remplies de liquide céphalo-rachidien dans le cerveau).
-Les différences de taille cérébrale se retrouveront à la naissance et même in utero au stade embryonnaire, les africains ayant un ratio front/ensemble de la face plus petit que les européens.
Liste non exhaustive.

Toutes ces différences seront significatives (p<0,05).

Ci-dessous la représentation du cerveau d’un Orang-outan, d’un aborigène d’Australie et d’un européen. Cette image est issue de « Race » de John R. Baker, professeur de biologie à Oxford, 1974.

Cerveau d'un orang outang, d'un aborigène d'Australie et d'un européen

La capacité crânienne des aborigènes d’Australie est en moyenne de 150 cm cubes moindre comparativement à celle des européens, mais comme vous pouvez le voir il y a également de nombreuses particularités qualitatives.

Le Q.I moyen des aborigènes d’Australie est de 62, ce qui correspond à l’âge mental d’un européen de 10-11 ans.

Enthoven et Penseur Sauvage, tentant d’isoler Richard Lynn de la communauté scientifique et de le discréditer intellectuellement.

Quoique vous vous époumoniez à vilipender Richard Lynn, il s’agit d’un très grand scientifique. Il a gagné le Passingham Prize comme meilleur étudiant de Cambridge, et les US mensa awards 3 fois pour l’ensemble de son travail sur l’intelligence. Pour ses 80 ans une dizaine d’articles ont été publiés par des scientifiques éminents pour le remercier et rendre justice aux nombreuses avancées qu’il a permises.

Cela étant dit, c’est encore une fois un argument des plus fallacieux et sournois que de prétendre que Lynn serait isolé scientifiquement. Il fait partie de l’immense majorité des spécialistes de l’intelligence à considérer les éléments que vous niez comme un acquis.

Mainstream Science on Intelligence (Courant dominant en Science de l’intelligence) est un traité qui présentent les conclusions largement admises dans la communauté des spécialistes de l’intelligence. La publication a d’abord été publiée dans le Wall Street Journal le 13 décembre 1994 en réponse au traitement souvent trompeur voir agressif des médias sur l’état actuel de la recherche dans le domaine de l’intelligence. Cette publication suit la controverse déclenchée par la parution du livre The Bell Curve. Elle a été écrite par le docteur en psychologie Linda Gottfredson et est signé par Gottfredson et 51 autres professeur d’universités spécialisés dans le domaine de la recherche en intelligence, (avec tous les grands noms de la recherche en intelligence (Cattell, Carroll, Jensen, etc.))

The following professors — all experts in intelligence and allied fields — have signed this statement:

  • Richard D. Arvey, University of Minnesota
  • Thomas J. Bouchard, Jr., University of Minnesota
  • John B. Carroll, Un. of North Carolina at Chapel Hill
  • Raymond B. Cattell, University of Hawaii
  • David B. Cohen, University of Texas at Austin
  • Rene V. Dawis, University of Minnesota
  • Douglas K. Detterman, Case Western Reserve Un.
  • Marvin Dunnette, University of Minnesota
  • Hans Eysenck, University of London
  • Jack Feldman, Georgia Institute of Technology
  • Edwin A. Fleishman, George Mason University
  • Grover C. Gilmore, Case Western Reserve University
  • Robert A. Gordon, Johns Hopkins University
  • Linda S. Gottfredson, University of Delaware
  • Robert L. Greene, Case Western Reserve University
  • Richard J.Haier, University of Callifornia at Irvine
  • Garrett Hardin, University of California at Berkeley
  • Robert Hogan, University of Tulsa
  • Joseph M. Horn, University of Texas at Austin
  • Lloyd G. Humphreys, University of Illinois at Urbana-Champaign
  • John E. Hunter, Michigan State University
  • Seymour W. Itzkoff, Smith College
  • Douglas N. Jackson, Un. of Western Ontario
  • James J. Jenkins, University of South Florida
  • Arthur R. Jensen, University of California at Berkeley
  • Alan S. Kaufman, University of Alabama
  • Nadeen L. Kaufman, California School of Professional Psychology at San Diego
  • Timothy Z. Keith, Alfred University
  • Nadine Lambert, University of California at Berkeley
  • John C. Loehlin, University of Texas at Austin
  • David Lubinski, Iowa State University
  • David T. Lykken, University of Minnesota
  • Richard Lynn, University of Ulster at Coleraine
  • Paul E. Meehl, University of Minnesota
  • Travis Osborne, University of Georgia
  • Robert Perloff, University of Pittsburgh
  • Robert Plomin, Institute of Psychiatry, London
  • Cecil R. Reynolds, Texas A & M University
  • David C. Rowe, University of Arizona
  • Philippe Rushton, Un. of Western Ontario
  • Vincent Sarich, University of California at Berkeley
  • Sandra Scarr, University of Virginia
  • Frank L. Schmidt, University of Iowa
  • Lyle F. Schoenfeldt, Texas A & M University
  • James C. Sharf, George Washington University
  • Herman Spitz, former director E.R. Johnstone Training and Research Center, Bordentown, N.J.
  • Julian C. Stanley, Johns Hopkins University
  • Del Thiessen, University of Texas at Austin
  • Lee A. Thompson, Case Western Reserve University
  • Robert M. Thorndike, Western Washington Un.
  • Philip Anthony Vernon, Un. of Western Ontario
  • Lee Willerman, University of Texas at Austin

Mainstream Science on Intelligence définit l’intelligence comme une capacité mentale à analyser, comprendre et utiliser son environnement immédiat. Les test d’intelligence, bien que ne mesurant pas la créativité, ni la personnalité ou d’autres différences psychologiques qui contribuent aux différences entre individus, est néanmoins un moyen fiable et valide pour mesurer l’intelligence et, bien qu’il existe une grande variété de tests d’intelligence, tous ces tests mesurent la même intelligence. Elle explique que la distribution relative du QI à travers la population générale peut être représentée en utilisant une gaussienne. La majorité des caucasiens se regroupent aux alentours de 100 de QI. Un score de 70 ou moins indique un retard mental, alors qu’un score supérieur à 130 indique une intelligence élevée. Le QI mesure une caractéristique humaine d’une grande importance pratique et sociale qui est constamment corrélée avec le niveau d’étude, la profession, et la réussite sociale et économique. Posséder un meilleur QI augmente grandement les chances de succès personnel dans la société.

Les tests d’intelligence ne sont pas culturellement biaisés contre les individus issus d’une minorité raciale ou ethnique, mais il y a des différences observables dans la distribution relative du QI selon les groupes. Le QI moyen des caucasiens est de 100, les Juifs ashkénazes et les Asiatiques américains ayant un score plus élevé, et les Hispaniques et Noirs ayant un score plus faible, 85 pour ce qui est de la moyenne afro-américaine.

Concernant les différences entre les races, les facteurs génétiques jouent un rôle plus important que les facteurs environnementaux.

Les conclusions de nos recherches ne dictent aucune politique sociale particulière car on ne peut pas déterminer nos buts. Néanmoins nos conclusions peuvent aider à prédire les probabilités de succès et les effets collatéraux dans la poursuite de ces buts via différents moyens »

Peut-être êtes-vous surpris par toutes ces informations, car elles ne circulent pas beaucoup dans les médias (pas du tout même). Pourtant, si vous vous rendez sur NCBI ou Google Scholar et que vous recherchez des études scientifiques ayant trait aux différences raciales dans l’intelligence ou simplement sur le Q.I ou l’intelligence humaine, vous serez surpris de vous rendre compte que la quasi-totalité des études appuient clairement ce que je dis, tant il est vrai que ces informations sont, depuis maintenant un certain temps et même un temps certain, validées. Et les données s’accumulent. Il n’y a pas une semaine sans que de nouvelles découvertes ne viennent s’accumuler, de nouveaux gènes, dont les fréquences alléliques montrent, évidemment, des différences raciales.

Enthoven et Penseur Sauvage : « la génétique invalide le concept de races » 
Je crois que vous prenez simplement vos désirs pour des réalités. Les clusters génétiques émergeant spontanément par analyse d’un nombre suffisant de polymorphismes sont en fait quasiment parallèles à la taxinomie raciale classique, ce qui est bien sûr logique puisque les traits phénotypiques inter-corrélés qu’on trouvent dans une race se retrouvent dans le génome. Voir l’interview de David Reich, professeur de génétique à Harvard, dans le New-York Times (mars 2018).

On pourrait dire que la génétique vient préciser le concept de races, la science étant un processus continuel et non figé.

Comme vous l’expliquez d’ailleurs dans vos comparaisons « humains-écureuils » et « requins-dauphins » des différences génotypiques faibles peuvent donner lieu à des différences phénotypiques importantes.

Il est amusant comme vous vous focalisez sur la couleur de la peau. Serait-ce pour tenter de limiter les différences à une caractéristique externe triviale ?

Pourquoi ne parlez-vous pas des différences osseuses ? pulmonaires ? hormonales ? cérébrales ? dentaires ? sexuelles ? sanguines ? dans la durée gestationnelle ? Parce que ça ne cadre pas avec votre parti-pris anti-racialiste ?

Enthoven et Penseur Sauvage : « Sur le plan génétique rien ne permet de distinguer des races entre elles »

Vous pourriez réellement dire ça devant le miroir sans rougir ? On peut déterminer l’ascendance raciale, très précisément, à partir d’un échantillon de salive, à partir d’une goutte de sang, à partir d’un os…

Un échantillon de salive envoyé à Google permet d’analyser avec précision votre ascendance raciale.

Ci-dessus, exemple d’un génome européen (Gregor Mendel). A noter que les clusters génétiques de Google sont exactement les mêmes que ceux que j’ai cité précédemment (1) européens (2) africains sub-sahariens (3) MENA… il s’agit des principales sous-espèces d’homo sapiens.

genetic racial lilly mendel

Enthoven et penseur sauvage citent Karl Popper et discutent des critères de scientificité et des critères d’une pseudo-science
L’existence des races humaines remplit l’ensemble des critères de Popper d’une science forte, de même que l’existence de différences raciales d’intelligence. A l’inverse, l’anti-racialisme remplit les critères de Popper d’une pseudo-science…

  1. Son irréfutabilité

L’antiracisme relève de ce critère en ce qu’il ne permet pas la discussion et la réfutation. La non-existence des races humaines est énoncée en dogme, généralement par des personnalités médiatiques sans formation scientifique, et les contradicteurs sont vilipendés. Aucun test scientifique n’est mis en place et les études contradictoires, majoritaires, sont ignorées.

  1. Manipulations statistiques des résultats

Elle est très fréquente dans l’antiracisme. C’est ainsi qu’on vous expliquera par exemple qu’il est possible qu’un aborigène d’Australie vous soit génétiquement plus proche que le voisin de palier de votre race… (Ce qui est faux, ou alors on « oubliera » de vous préciser que la probabilité est de un sur plusieurs centaine de milliards, soit virtuellement nulle), ou encore qu’il est démontré qu’on ne peut classifier les populations en races à partir de leurs gènes (un argument erroné connu sous le nom de « Lowentin’s fallacy »). Les antiracistes affirment aussi parfois que les migrations et les métissages ont été tels dans l’histoire qu’il n’est plus possible de classifier par races. Encore une fois, l’argument est fallacieux.

  1. Conclusions hâtives, ou fausses conclusions, par rapport aux résultats

Voici encore une caractéristique typique des pseudosciences. L’antiracisme est totalement dans cette démarche. Il est fréquent d’entendre des individus affirmer que « Puisque nous sommes à 99,5% identiques, il ne peut exister de races » ou que « Les gènes peuvent être déterminants pour des traits physiques et des susceptibilités à certaines maladies, mais pas pour des traits mentaux ». Ce sont là de fausses conclusions.

  1. La pseudoscience reste indifférente aux faits

La science évolue aux grés des découvertes et se module en fonction. La pseudoscience ne se remet pas en question et reste dogmatique. Ses partisans sortent simplement de leur chapeau des « faits » artificiels lorsqu’ils en ont besoin. Ces fictions représentent souvent leur argumentation et conclusion principales. En outre, les pseudo-scientifiques évoluent rarement. L’édition première d’un livre pseudo-scientifique est toujours la dernière, même si celle-ci date de plusieurs décennies ou siècles. Des livres remplis d’erreurs grossières, de fautes ou d’erreurs de frappe à chaque page sont réimprimés tels quels, encore et encore, à comparer aux manuels scientifiques qui voient une nouvelle édition apparaître au bout de quelques années à cause justement de l’accumulation rapide de faits nouveaux et de connaissances récentes.
C’est exactement ce qui se passe dans l’antiracisme. Alors que les connaissances sur l’intelligence et les différences raciales ont considérablement progressé, particulièrement depuis les années 2000, et continue à progresser à grande vitesse, l’antiracisme reste accroché à de vieux ouvrages de certains disciples antiracistes par idéologie, comme Stephen Gould ou Franz Boas, la plupart des ouvrages datant de plus de 30 ans minimum. Ces ouvrages sont réimprimés encore et encore. L’exemple typique étant La mal-mesure de l’homme, un ouvrage de Stephen J. Gould, datant d’il y a plus de 30. De récentes études ont démontré que Gould avait falsifié délibérément ses résultats pour pouvoir accuser Morton de racisme. Rushton a par ailleurs publié un article intitulé « La mal-mesure de Gould », démontrant comment l’idéologie égalitaire avait conduit Gould à se fourvoyer et en l’occurrence à falsifier des données.

  1. La pseudoscience débute sur une hypothèse – faisant habituellement appel à l’émotion – et ne cherche ensuite que des éléments ou articles la confirmant

C’est exactement le cas de l’antiracisme. Si vous vous rendez sur certains sites niant l’existence des races humaines, il est typique qu’ils commencent leur article en vous parlant de l’esclavage, de la colonisation ou d’autres évènements historiques pour transformer le débat rationnel et lui faire prendre une tournure émotionnelle. Ensuite, ils auront recours à des arguments irréfutables (dans le sens de Popper, voir point 1) et à l’invective dans le cas où la discussion s’éterniserait.

  1. La pseudoscience reste indifférente aux critères de la preuve solide

L’anti-racialisme peut être réfuté en deux coups de cuillère à pot. Les données sont là, il existe des différences entre les races en terme de sécrétion hormonale, taille du cerveau, cheveux, forme des narines, du nez, densité osseuse, fréquence des groupes sanguins… L’antiracisme reste totalement indifférent aux arguments scientifiques.

  1. La pseudoscience repose fortement sur la validation subjective

« Je mets de la gelée sur ma tête et ma migraine disparaît. Pour la pseudoscience cela signifie que la gelée guérit de la migraine. Pour la science cela ne veut rien dire tant qu’aucune expérience sérieuse n’aura été menée.  »

Dans le même ordre d’idée, les antiracistes affirmeront qu’ils connaissent des aborigènes d’Australie extrêmement doués et que c’est la preuve irréfutable de leur égalité intellectuelle avec, par exemple, les européens. Ils citeront le cas d’Einstein, ayant éventuellement un cerveau plus petit que la moyenne, pour invalider la corrélation positive entre intelligence générale et taille du cerveau (corrélation qui émerge lorsqu’on prend un N grand et aléatoire, bien sûr).

Jared Diamond dans son livre Gun, Germs and Steel, commence comme suit : « Je connais trop d’aborigènes d’Australie intelligents pour croire que leurs prétendu bas Q.I ait quelque chose de génétique ». Il ignore bien sûr totalement les études menées sur l’intelligence de ces populations par des tests de Q.I ou des tests de Piaget, et l’analyse anatomique de leurs cerveaux.

  1. La pseudoscience a délibérément recours au mystère lorsqu’il n’y en a pas

Tout est rendu « mystérieux » en oubliant de mentionner ce qui est su et connu.

L’antiracisme et particulièrement l’attaque du Q.I et de la mesure de l’intelligence humaine ont recours à ce genre de procédés, en affirmant que de toute façon « l’intelligence humaine n’est pas suffisamment comprise, qu’elle n’est pas mesurable » en oubliant bien entendu les données abondantes disponibles. Bien évidemment, à partir du moment où on postule qu’une variable n’est pas mesurable, il ne vaut plus la peine de l’étudier, cela ne relève plus de la science. Le prix Nobel Christian de Duve disait « Je n’ai pas ouvert des laboratoires pour émettre l’hypothèse suivant laquelle ce que j’étudie n’est pas explicable, ce n’est pas scientifique, sinon on met directement la clé sous la porte ».

Antiracisme et réalisme raciale

Entoven : « Il est indéniable qu’il existe des différences physiologiques entre les populations »

Qu’est-ce que l’intelligence, sinon un processus physiologique ? Physico-chimique ?

Enthoven : « Rien qu’à l’entendre, on la rejette en bloc »

Irréfutabilité de Popper. Vous admettez votre parti pris égalitaire. Vous osez prétendre, vraisemblablement en ignorant totalement la littérature sur la question, que la plupart des études viennent de Lynn, qui aurait fait des « erreurs d’échantillonnage ». Mais Lynn ne fait dans « Race differences in intelligence » qu’une méta-analyse en collectant l’ensemble des études sur la question. Je vous conseille d’ailleurs la seconde édition de 2015. Comment dans cette perspective pourrait-il faire des « erreurs d’échantillonnages » ? Des centaines voire des milliers d’auteurs différents sont cités… collectés… L’argument d’un « problème d’échantillonnage » est évidemment une excuse ad-hoc du mouvement égalitaire. Quand on veut battre un chien, on trouve toujours un bâton…

Races, clusters génétiques, sous-espèces et même populations, quoique vous en disiez, sont des synonymes et sont utilisés comme tels dans la littérature scientifique.

« Lynn a déjà été attaqué par plus d’un scientifique »

D’abord Lynn n’est qu’un parmi une majorité ne vous en déplaise, ensuite je crois que vous plaisantez…vous pensez vraiment qu’il est possible d’étudier les différences entre les populations, surtout les différences d’intelligence, sans faire l’objet de critiques ? Vous avez de l’humour.

Steven Pinker, démocrate, biologiste de grande renommée de l’université d’Harvard, a dénoncé tout récemment la « censure de l’étude des différences raciales dans les facultés ». Dans certaines universités occidentales, l’antiracisme, sorte de créationnisme égalitaire, a remplacé l’étude anthropologique scientifique. C’est extrêmement préoccupant.

En éditorial du prestigieux journal scientifique Intelligence, Toby Yong parle de « liberal creationism » et décrit de façon détaillé les assauts répétés du mouvement égalitaire contre l’étude de l’intelligence.

Hans Eysenck, le psychologue le plus cité dans le monde l’année de sa mort (1998) avait été agressé physiquement a de nombreuses reprises lorsqu’il donnait des conférences sur le Q.I et son importance dans les différences socio-économiques entre afro-américains et européens.

Rushton de l’université d’Ontario devait donner ses cours par correspondance. L’intégrisme antiraciste est extrêmement violent et il n’hésite jamais à « faire ce qui est nécessaire pour vous neutraliser ».
De nombreuses personnes ne réagissent pas car elles partagent l’idée selon laquelle l’égalité serait plus importante que la réalité, la réalité devenant la variable d’ajustement.

Nul grand complot, simplement une idéologie dominante. Les est-asiatiques sont souvent étonnés par les crispations égalitaristes des occidentaux. Le clergé antiraciste ne domine pas leur société. L’étude des différences raciales et de la génétique de l’intelligence y est beaucoup plus libre et perçue avec enthousiasme.

« intelligence-humaine.com donne l’exemple des chiens qui n’est pas approprié »

J’admets volontiers mon erreur « relative » concernant les chiens qui sont issus d’une sélection artificielle, j’ai modifié cet exemple sur mon site.

Cela ne remet évidemment rien en question.

Une dizaine de grandes races humaines (clusters génétiques) ont vu le jour conséquemment à une isolation géographique. Les différences entre ces races, aussi bien physiques qu’intellectuelles, sont imputables au climat. Tandis qu’ils progressaient vers le nord, les hommes furent confrontés à des températures de plus en plus rudes, produisant un gradient croissant de pression sélective menant à une  augmentation de la capacité crânienne, du Q.I et de l’altruisme.

Le climat et la seconde période glaciaire (période de Würmienne entre -30.000 et -10.000)… facteurs majeurs des variations intellectuelles entre les races.

L’explication des différences raciales dans l’intelligence, aujourd’hui largement acceptée, est que l’homme a évolué à partir de l’Afrique de l’Est équatorial.

Il y a environ 100.000 ans, certains groupes ont émigré vers le nord, en Afrique du Nord, puis en Asie et en Europe. Ces groupes ont rencontré un environnement difficile dans lequel il n’y avait pas de plantes ou d’insectes pour se nourrir toute l’année, de sorte qu’ils ont dû chasser de grands animaux comme les mammouths pour obtenir leur nourriture. Ils ont également eu à se chauffer et donc ils ont dû apprendre à faire des vêtements et des abris. Ces problèmes sont devenus beaucoup plus importants encore durant la période glaciaire qui a commencé il y a environ -28.000 ans et a duré jusqu’il y a environ -11.000 ans, transformant l’ensemble de l’Eurasie en une région sub-arctique. Tous ces défis ont demandé une intelligence plus élevée. Seuls les plus intelligents ont été capables de survivre dans ces environnements difficiles alors que les moins intelligents ont péri, ce qui a progressivement augmenté la fréquence des allèles pour une haute intelligence dans l’hémisphère nord.

Un résultat visible est que la taille du cerveau en Europe et en Asie de l’Est a augmenté pour tenir compte de la plus grande intelligence nécessaire pour surmonter ces problèmes. Le pelvis s’est également élargi, pour permettre le passage d’un cerveau devenu plus volumineux à la naissance. Les asiatiques de l’est ont le pelvis le plus large, suivis par les européens. Les africains ont un pelvis plus étroit. Le diamètre antéro-postérieur du pelvis est de 103 mm en moyenne chez les africains, contre 118 mm chez les européens.

« Wurm temp » indique la température durant la deuxième ère glaciaire, qui fut le principal catalyseur de l’intelligence (voir chapitre Evolution des différences intellectuelles)

Table 16.2. Race differences in winter temperatures (degrees centigrade) and brain size

Race Winter Temp Wurm Temp Brain Size IQ
East Asians -7 -12 1,416 105
Europeans 0 -5 1,369 99
Native Americans 7 5 1,366 86
S. Asian & N. Africans 12 7 1,293 84
Bushmen 15 15 1,270 54
Africans 17 17 1,280 67
Australians 17 17 1,225 62
Southeast Asians 24 24 1,332 87
Pacifie Islanders 24 24 1,317 85

La période de Würm ou période de glaciation principale exerça la plus importante pression de sélection. Les températures en Eurasie tombèrent nettement en dessous de 0, transformant le continent en une zone proche de l’arctique actuel. En Asie de l’est, le froid fut tel que les asiatiques développèrent une couche de graisse sous-cutanée, qui leur donne cet aspect jaunâtre. Leurs yeux s’hybridèrent pour minimiser l’aveuglement du soleil qui se reflétait sur les étendues gelées. Les européens et les asiatiques de l’est ont également de plus petits bras et des jambes plus courtes en rapport au tronc -en comparaison des africains-, ceci étant une adaptation au froid.

L’augmentation de la taille du cerveau, du Q.I et de l’altruisme (pour une meilleure coopération) fut également une adaptation au climat froid car ces trois traits étaient davantage nécessaires à la survie dans ces milieux.

La stabilité maritale a également augmenté dans l’hémisphère nord, car les femmes sont devenues dépendantes des hommes (partant chasser) pour leur alimentation. Les couples moins unis survivaient moins bien. La stabilité maritale est plus élevée chez les asiatiques de l’est et moins chez les africains (comparativement aux européens).

Enthoven et penseur sauvage, tentent de discréditer The Bell Curve

The Bell Curve de Murray et Hernstein… professeurs à Harvard quand même.

« plus d’un scientifique en a démontré la méthodologie fallacieuse »

C’est un mantra ?

Il semble que ce ne soit pas l’opinion de Lee Kuan Yew, le père fondateur de Singapour, un eugéniste et racialiste affiché, qui a déclaré que « The Bell Curve était devenu central dans sa politique ». Il a également expliqué que les différences raciales d’intelligence étaient un état de fait, et qu’il fallait les accepter au risque de vivre dans une société faite de ressentiment permanent.

Il a également expliqué que « la différence entre le cerveau des Malais et le cerveau des Chinois est un peu semblable à la différence entre un ordinateur de première génération et un ordinateur de seconde génération ».

Les politiques eugéniste de Singapour ont transformé cette petite cité état en centre mondial de l’intelligence. Le Q.I moyen y est le plus élevé au monde. Le pouvoir d’achat d’un singapourien est deux fois supérieur à celui d’un français.

Dans un reportage plein d’humour, Arte nous explique que « les dirigeants de Singapour valorisent la diversité. » Sic. Il faut bien entretenir le feu sacré du multiculturalisme triomphant…

Toutes les études sérieuses actuelles vont dans le sens de The Bell Curve. Le Mainstream Science on Intelligence signé par 52 professeurs d’universités spécialisés dans le domaine de l’intelligence (dont tous les grands noms du domaine de l’intelligence) a été publié pertinemment en réponse au traitement agressif des médias égalitaristes vis-à-vis de cet ouvrage subversif de leur éthique.

Enthoven : « Quel serait l’intérêt de développer un bas Q.I »

Aucun. Simplement la pression sélective pour une augmentation de l’intelligence a-t-elle été plus forte dans les climats rudes et soumis aux périodes glacières, éliminant les individus moins intelligents, porteurs des allèles pour une moindre intelligence. La taille du cerveau s’est agrandie par augmentation de la fréquence des allèles pour une haute intelligence générale (corrélée à +0,4 avec la taille du cerveau).

L’homme existe depuis 200.000 ans… mais ce n’est que depuis 10.000 ans que l’agriculture puis des civilisations ont bourgeonné à la fois au Moyen-Orient, en Amérique du sud et en Asie, dans des populations sans communication entre elles.

Pourquoi ? Vraisemblablement, l’intelligence d’homo sapiens avant la seconde période de glaciation principale n’était pas suffisante. Le quotient d’encéphalisation d’homo sapiens a augmenté durant les périodes glacières. Il y a 10.000 ans, lorsque les glaces se sont retirées, les hommes de l’hémisphère nord avec leur intelligence augmenté ont pu faire la transition néolithique de la chasse-cueillette vers l’agriculture sédentaire puis développer les premières civilisations.

« Le Q.I n’est pas une mesure de l’intelligence »

C’est faux. Vous vous positionnez en contradiction avec la littérature scientifique la plus récente sur la question. Le facteur g d’intelligence générale fait l’unanimité.

Le facteur g (g pour intelligence générale) est une caractéristique biologique, organique, variant d’une personne à l’autre, sous-tendant l’ensemble des processus transitant par le système nerveux central.

Il fut découvert par Charles Spearman qui se rendit compte que l’ensemble des processus mentaux étaient inter-corrélés de sorte que quelqu’un qui performait bien dans un domaine avait tendance à mieux performer partout ailleurs alors qu’une personne mentalement déficiente par exemple avait tendance à être peu douée dans l’ensemble des processus cognitifs. Ce qui avait étonné Spearman à l’époque était que la finesse de reconnaissance des fréquences sonores (Un test où l’on fait entendre des sons de fréquences différentes et où l’on demande de distinguer le son le plus aigu. On rapproche ensuite de plus en plus les fréquences. A son grand étonnement, la hiérarchie obtenue par ce test auditif était identique à celle obtenu par un test de Q.I classique. En d’autres termes, la finesse du spectre auditif semblait corrélée au facteur g et les gens ayant un facteur g élevé (un haut Q.I) ont en moyenne un spectre auditif et visuel plus fin. Le facteur g est en quelque sorte une mesure de la puissance, de la complexité du système nerveux central.

Le phénomène d’inter-corrélations positives dans l’ensemble des aptitudes mentales (dénommé « positive manifold ») a été décrit comme « sans doute le résultat le plus reproduit de toute la psychologie » (Deary, 2000).

Le facteur g se mesure en unité de Q.I. et c’est généralement lui qu’on extrait d’une batterie de tests conventionnelle.

Il n’est pas une moyenne de résultats disparates, il est plutôt l’extrapolation d’une intelligence générale sur base du résultat de sous-tests dans la mesure où tous les types d’intelligence sont hautement inter-corrélés.

L’empathie, citée par penseur sauvage, est corrélée positivement au Q.I. Une des caractéristiques des individus à haut Q.I est une grande empathie.

On peut tout à fait évaluer l’intelligence générale d’un grand singe. En l’occurrence son facteur g est d’à peu près 25, l’âge mental d’un européen de 4 ans.

Les études ont montré que les grands singes et les chiens ont également un facteur g.

Evidemment si l’idée vous vient de définir l’intelligence comme « la vitesse en course » les résultats seront différents mais ça n’aura plus un grand lien avec ce qu’il est convenu de considérer comme « intelligence », plus particulièrement intelligence cognitive (car tous les êtres vivant présents à la surface du globe, de par leur présence, témoignent d’une « intelligence adaptative »… mais ce n’est pas la question. Nous parlons ici d’intelligence cognitive.

Penseur Sauvage : « De 0 à conception occidentale de l’intelligence »

Absurde. Parti pris et arguments fallacieux caractérisés. Serge Larivée de l’université de Montréal, spécialiste de l’intelligence, ironise en demandant « le mètre est-il culturellement biaisé ? »

Penseur Sauvage : « Si vous prenez ce même papou et que vous l’éduquez dans un bon milieu, il aura un résultat de Q.I dans la moyenne ».

A nouveau, vous témoignez d’une totale ignorance de la littérature et vos affirmations sont totalement fausses. Les enfants adoptés montrent une intelligence entièrement prédite par leur race biologique (condition de validité N grand et aléatoire).

Des afro-américains éduqués par des européens ont un Q.I à l’âge adulte de 85, exactement identique à celui de leur race biologique.

Pareillement, des est-asiatiques élevés par des européens continuent à montrer une plus haute intelligence que celle de leur parents adoptif.

Q.I moyen d'enfants adoptés selon leur ascendance ethnique

Les études sur les métis montrent qu’ils ont, en moyenne, une capacité cranienne et un Q.I strictement intermédiaires aux deux races parentales, ce qui est logique.

Pour plus de détail sur les études d’adoption et sur le Q.I des métis, voir le point 6 et le point 8 du paragraphe 3.

Contrairement à ce que vous affirmez (ou plutôt à ce que vous souhaitez, les deux semblant se confondent chez vous) les arguments démontrant la cause génétique des différences raciales d’intelligence sont pléthoriques et taillés dans le roc. Les différences d’intelligence sont dues à des différences de fréquence allélique.

Score polygénique (GWAS)

Une étude toute récente publiée dans la revue Intelligence s’est penchée sur l’ensemble des variations génétiques augmentant l’intelligence découvertes à ce jour, mises en évidence par GWAS (Genome Wide Association Study, permettant la mise en lumière de nombreux variants génétiques différents impliqués dans un trait phénotypique).

L’étude a évalué ensuite les différences raciales dans la fréquence de ces allèles, et a montré qu’elles étaient parallèles aux différences de Q.I entre populations; En d’autres termes, les races à Q.I plus élevé ont effectivement une fréquence supérieure d’allèles augmentant l’intelligence dans leur patrimoine génétique (tableau ci-dessous).

Différences raciales dans la fréquence des allèles pour une haute intelligence

AFR pour africains, AMR pour amérindiens, ASN pour asiatiques de l’est, EUR pour européens et SAS pour asiatiques du sud et nord-africains.

Si on prend en considération l’ensemble des variants génétiques augmentant l’intelligence mis en évidence à ce jour, ces allèles sont plus fréquents chez les asiatiques de l’est (Q.I moyen de 105), suivis par les européens (Q.I moyen de 100). Les amérindiens (AMR, Q.I moyen de 86) et les asiatiques du sud et nord-africains (SAS, Q.I moyen de 84) ont une moindre fréquence et les africains sub-sahariens ont la plus basse fréquence de ces allèles.

« A review of intelligence GWAS hits: Their relationship to country IQ and the issue of spatial autocorrelation » Intelligence 53 (2015) 43–50.

Conclusion émotionnelle d’Enthoven par un point Godwin.

Il est amusant que vous vous focalisiez exclusivement sur les crimes nazis ou racistes. Le communisme a tué 100 millions de personnes au 20ème siècle, mais il faut croire que cela vous émeut moins. En URSS, les tests de Q.I étaient interdits car « en opposition avec la création d’un homme nouveau ».

Le Q.I moyen diminue en occident par afflux de populations ayant de moindres fréquences d’allèles pour une haute intelligence. Inévitablement, notre niveau de développement va être atteint. Des enclaves afro-maghrébines, forcément sous-développées car peuplées d’individus à plus bas Q.I, se développent partout en Europe. Ces poches grossissent par le jeu de l’immigration afro-maghrébine qui continue et par leur natalité très supérieure à celle des européens. Lentement mais surement, nous métissons une corde pour nous pendre sous les coup de boutoir des ayatollah égalitaristes.

Rigolons un peu…

2. Réponse à la seconde réponse adressée à Pierre

« Le propos n’est pas celui-ci : pourquoi adopter une thèse racialiste alors que ce que l’on observe s’harmonise bien mieux avec les sciences sociales ? »

S’harmonie nettement mieux avec votre idéologie égalitaire, c’est certain.

Parce que vos arguments sont pseudo-scientifiques au sens de Popper. Aucun n’est prédictif de quoi que ce soit. Ce sont de simples explications opportunistes Ad hoc sans la moindre espèce de validité.

La science ne se limite pas à l’invocation de mots magiques comme « colonialisme » ou « racisme systémique ».

Singapour a été pareillement colonisée par les anglais… c’est aujourd’hui la zone avec un des plus haut PIB/habitant (avec un pouvoir d’achat 2 fois supérieur pour un singapourien comparativement à un français). Comme nous l’avons vu précédemment, les politiques scientifiques de Lee Kuan Yew sur le plan génétique et racial ont permis d’augmenter la part de chinois Hans, de réduire la part de Malais à bas Q.I et d’augmenter l’intelligence moyenne de la population et conséquemment la prospérité générale.

Le « miracle économique singapourien », « miracle économique chinois », « miracle économique japonais » ou « miracle économique coréen » s’explique par la haute intelligence des est-asiatiques.

Par ailleurs si la colonisation ou le « racisme systémique » (sic) est responsable du sous-développement de l’Afrique,  comment expliquez que l’Afrique sub-saharienne ait été déjà gravement sous-développée avant même qu’un européen n’y pose le pied ?

Vos arguments (si tant est qu’on puisse appeler ça des arguments… il faudrait plutôt adéquatement parler d’imprécations de type chamanique) ne tiennent pas 5 secondes, ils peuvent être directement invalidés et rejetés.

Avant même qu’il existe des tests d’intelligence, les philosophes, les hommes d’État, les commerçants et bien d’autres étaient bien conscients qu’il existe un lien entre race, intelligence, et accomplissements culturels. Aristote, Platon, Voltaire et David Hume étaient tous de cet avis. De même pour Broca, Darwin, Galton, et tous les fondateurs de la théorie de l’évolution et de la science anthropologique. Même Freud croyait à certaines différences entre les races. Les premiers explorateurs de l’Afrique de l’est ont écrit avoir été choqués par la nudité, le paganisme, le cannibalisme et la pauvreté des indigènes. Pour l’un, les Noirs avaient la nature « d’animaux sauvages… la plupart sont nus… l’enfant ne sait pas qui est son père, et ils mangent d’autres hommes ». Certains ont même écrit des livres et fait des peintures d’Africains dotés d’organes sexuels surdimensionnés.

Cela vous paraît familier ? Juste une traduction du racisme ? Peut-être mais ces exemples ne viennent pas des colonialistes européens du 19ème siècle ou de la littérature de haine du KKK. Ils sont dus aux Arabes musulmans qui ont été les premiers à pénétrer en Afrique de l’est il y a plus de 1200 ans (dans les années 700), comme on peut le lire dans le livre écrit en 1990 par Bernard Lewis, Race and Slavery in the Middle East (Race et esclavage au Moyen-Orient).

Plusieurs centaines d’années plus tard, les explorateurs européens ont éprouvé les mêmes impressions. Ils ont écrit que les Africains paraissaient être dotés d’une intelligence très faible et ne disposer que d’un vocabulaire limité pour exprimer des pensées complexes. Ils étaient choqués par la quasi-nudité des indigènes, leurs habitudes sanitaires déplorables, leurs maisons très élémentaires, et leurs petits villages. Il n’y avait pas de roues pour faire tourner des tours de potiers, pour moudre le blé, ou pour le transport, pas d’animaux de ferme, pas d’écriture, pas d’argent et pas de système de numération.

Les Blancs qui ont exploré la Chine étaient tout aussi racistes que ceux qui ont exploré l’Afrique, mais leurs descriptions étaient bien différentes de ce qu’eux-mêmes et les Arabes ont écrit sur les Africains. En 1275, parti de son Italie natale, Marco Polo est arrivé en Chine pour ouvrir le commerce avec l’empire mongol. Il a découvert que les Chinois disposaient de routes bien construites et qu’il y avait des ponts, des villes reliées par des canaux, des agents de recensement, des marchés, des poids et mesures standardisés, et de l’argent non seulement sous forme de pièces mais également de papier monnaie. Il existait même un système postal. Il s’est émerveillé de tout cela quand il a comparé les Chinois à ce qu’il avait vu en Europe et au Moyen-Orient. Bien qu’italien, fier de son peuple et conscient de la grandeur de la Rome antique, Marco Polo écrivit : « Il n’existe sûrement pas sur Terre de race plus intelligente que celle des Chinois ».
La recherche historique confirme les impressions de Marco Polo. Dès 360 av. JC, les Chinois utilisaient l’arbalète et ont changé la face de l’art de la guerre. Vers 200-100 av. JC, ils recouraient à des examens écrits pour recruter les fonctionnaires, deux mille ans avant la Grande-Bretagne. Les Chinois utilisaient l’imprimerie vers l’an 800, quelque 600 ans avant que la première Bible de Gutenberg apparaisse en Europe. Le papier monnaie était en usage en Chine en 1300, mais n’est pas apparu en Europe avant les 19ème et 20ème siècles. Vers 1050, les chimistes chinois avaient fabriqué la poudre, des grenades à main, des flèches incendiaires et des fusées d’huile et de gaz toxique. En 1100, des usines chinoises de 40 000 ouvriers fabriquaient des fusées. Les lance-flammes, les fusils et les canons étaient utilisés en Chine au 13ème siècle, environ 100 ans avant l’Europe.

Les Chinois ont utilisé la boussole dès le 1er siècle. On n’en trouve pas trace dans les archives européennes avant 1190. En 1422, soixante-dix ans avant que Colomb traverse l’Atlantique avec ses trois petits navires, les Chinois avaient atteint la côte orientale de l’Afrique. Ils étaient arrivés avec une grande flotte de 65 navires océaniques chargés de 27 000 soldats avec leurs chevaux et une année de réserve en céréales, viande et vin. Avec leurs armes à feu, leur navigation, leurs cartes précises et leurs boussoles, les Chinois auraient facilement pu contourner la pointe de l’Afrique et « découvrir » l’Europe !
Au cours des cinq derniers siècles, les nations européennes sont passées largement devant les Chinois en sciences et technologies. Depuis 1950, cependant, le Japon a battu l’Occident pour la production de nombreux produits de haute technologie. D’autres pays de la bordure Pacifique (Chine, Taiwan, Singapour, et Corée du sud) suivent désormais la voie du Japon. L’Afrique, au contraire, a reculé encore davantage. La situation médiocre des pays africains et de l’Amérique noire est devenue un sujet de préoccupation pour beaucoup de gens. L’optimisme du mouvement des années 1960 pour les droits civiques aux USA s’est en grande partie dissipé, et il en est de même des grands espoirs placés dans les nations africaines indépendantes. Des milliers de milliards de dollars d’aide étrangère ont été déversés sur l’Afrique. Pourtant, les économies africaines ont décliné depuis le départ des Européens.
Abandon et dégradations se voient partout en Afrique et dans une bonne part des Antilles. Les firmes internationales doivent souvent assurer leur propre fourniture d’énergie, leur propre approvisionnement en eau, et leur propre système téléphonique. À l’âge de l’ordinateur, du fax et de l’Internet, obtenir la tonalité est difficile dans beaucoup de villes africaines.

Principales différences entre les africains, les européens et les est-asiatiques. Tiré de « Rushton’s contributions to the study of mental ability », Arthur R. Jensen, Personality and Individual Differences, 2012.

Popper explique qu’une théorie forte comporte peu d’assomptions et permet un grand nombre de prédictions. La théorie selon laquelle les différences d’intelligence entre les races sont en large partie génétique explique tous les phénomènes, et il n’y a aucune anomalie.

La biologie est une science plus fondamentale car elle se situe en amont des sciences sociales. C’est une des raisons pour laquelle elle se trouve dans les critères de causalité de Hill utilisés fréquemment en sciences.

Les critères de Bradford Hill, aussi connus sous le nom de critères de Hill pour la causalité, sont un groupe de conditions minimales pour fournir une preuve adéquate d’une relation causale entre deux évènements. Ils ont été établis par l’épidémiologiste anglais Sir Bradford Hill (1897-1991) en 19651.

Une simple corrélation n’est pas synonyme de causalité. La liste des critères est 2:

  1. Force de l’association (plus l’ampleur des effets liés à l’association sont larges, plus un lien causal est probable, même si un faible effet n’implique pas une absence de lien de causalité) ;
  2. Stabilité de l’association (sa répétition dans le temps et l’espace)
  3. Cohérence (les mêmes observations sont réalisées dans différentes populations) ;
  4. Spécificité (une cause produit un effet particulier dans une population particulière en l’absence d’autres explications) ;
  5. Relation temporelle (temporalité). Les causes doivent précéder les conséquences ;
  6. Relation dose-effet (une plus large dose mène à un plus large effet);
  7. Plausibilité (plausibilité biologique, possibilité d’expliquer les mécanismes impliqués) ;
  8. Preuve expérimentale (chez l’animal ou chez l’homme) ;
  9. Analogie (possibilité d’explications alternatives).

Vos arguments sociologiques ne remplissent pas les critères de causalité de Hill. Ni la colonisation, ni le « racisme systémique ».

Nous développerons ci-après l’ensemble des arguments pointant la cause hautement génétique des différences raciales. L’ensemble des critères de causalité de Hill sont remplis.

« Seulement, s’il l’on prend le terme de race dans sa définition première, c’est à dire comme populations génétiquement distinctes de par la présence de barrières nettes entre ces populations (souvent de par des gènes uniques à certaines populations), la définition ne représente plus correctement la diversité génétique humaine. En effet, selon Templeton, il est essentiel de noter que la différenciation génétique seule est insuffisante pour définir une sous-espèce ou une race sous l’une ou l’autre de ces définitions de la race. Les deux définitions exigent que la différenciation génétique existe à travers des limites précises et non pas comme des changements progressifs, avec des frontières reflétant les divisions historiques »

Je pense que nous répondons abondamment à cette question (1) dans les réponses sur les races dans le règne animal (2) en développement plus longuement l’évolution des différences raciales (notamment d’intelligence) depuis l’apparition d’homo sapiens en Afrique il y a à peu près 200.000 ans.

« Autrement dit on parle d’un QI de 115 aussi bien pour une personne qui a 115 en raisonnement et 80 dans les deux autres que pour une personne qui a 115 en raisonnement et 114 dans les deux autres »

Ici Enthoven et son ami témoigne à nouveau de leur total ignorance de la littérature scientifique et de leur mauvaise compréhension de ce qu’est le Q.I.

Lorsque des sous-tests montrent des différences de scores trop importants, le test est considéré comme invalide. Une différence de seulement 6 points entre les sous-tests va invalider le test de Q.I et aiguiller vers un problème spécifique, peut-être une pathologie particulière comme le syndrome d’Asperger chez qui on trouve effectivement des différences plus importantes entre les sous-tests.

La recherche empirique montre qu’il y a chez l’humain (comme chez les primates et les grands chiens d’ailleurs, cela a été démontré) un facteur commun d’intelligence impliqué absolument dans tous les processus cognitifs, c’est ce qu’on appelle le facteur g d’intelligence générale.

Le phénomène d’inter-corrélations positives dans l’ensemble des aptitudes mentales (dénommé « positive manifold ») a été décrit comme « sans doute le résultat le plus reproduit de toute la psychologie » (Deary, 2000).

-> C’est ce phénomène d’inter-corrélations qui permet l’extrapolation, à partir de plusieurs tests, d’un chiffre unique, le facteur g d’intelligence générale exprimé en point de Q.I, qui n’est pas qu’une « moyenne de résultats disparates ». Il est une estimation de la puissance cérébrale moyenne dès lors qu’on sait que les résultats à quelques sous-tests sont hautement prédictifs des résultats à l’ensemble des autres tests éventuels, car g est ubiquitaire de toutes  les fonctions cognitives (même les plus élémentaires comme le temps de réaction simple, la vitesse d’inspection visuelle ou auditive, ou encore la finesse du spectre visuel ou auditif).

Toutes les activités humaines transitant par le système nerveux central montrent une certaine saturation en g (activités intellectuelles, influx sensoriels auditifs, visuel, nerveux…)

C’est pour cette raison qu’on parle « d’indifférence des indicateurs ». Qu’entend-t-on par-là ?

Reprenons l’exemple d’un ordinateur. Imaginez que vous ayez devant vous dix machines informatiques cubiques différentes et que vous n’en connaissiez pas les puissances. Pour extrapoler la vitesse du processeur, vous aller faire tourner des programmes informatiques et tenter de distinguer si ces programmes tournent plus ou moins rapidement, c’est d’ailleurs exactement ce qui est fait pour comparer des machines concurrentes. N’importe quel programme ou presque sera bon pour faire une comparaison car l’ensemble des programmes sont dépendants du processeur central. Après avoir testés seulement un nombre limité de programmes, il sera possible d’estimer correctement la vitesse des processeurs des dix machines et de faire une hiérarchie correcte de leurs puissances.

C’est la même chose pour le facteur g qui est ubiquitaire des processus transitant par le système nerveux central: tâches cognitives, finesse visuelle (habiletés à distinguer des tons de couleur plus proches), auditives, vitesse de traitement de l’information… de sorte que le type de test n’est pas important pour identifier le facteur g d’une personne, car tous les tests cognitifs quels qu’ils soient font entrer en jeu le facteur g.

Comme tous les résultats cognitifs sont inter corrélés il suffit de faire quelques types de tests pour réussir à extraire, par une analyse factorielle, le facteur g d’un individu.

Le facteur g extrait de n’importe quel type de batteries de tests sera toujours le même, dans les limites de l’erreur de mesure.

Tous les types de tests, quel qu’ils soient, contiennent une certaine saturation en g. De ce fait, un score composite de différents tests aura de plus en plus de saturation en g, car la composition en g s’accumule dans le score composite alors que les éléments non corrélés à g s’annulent les uns les autres.

Les facteurs g extraits par différentes batteries de tests montrent des corrélations entre 0,95 à 1. Fondamentalement, c’est la même entité qui est mesurée, sous-tendant l’ensemble des processus transitant par le système nerveux central.

« Oui il y a une part d’héritabilité dans le QI, mais aussi une forte influence environnementale, notamment un écart de résultat de pas moins de 20 points (à ethnie égale) selon les classes sociales »

Tout à fait. Votre argument est bien connu des chercheurs de l’intelligence est se dénomme « sophisme sociologique » car en fait les causes des différences de Q.I entre les groupes sociaux sont génétiques et pas environnementaux.

  1. Le Q.I augmente avec la classe sociale, car les individus de classes socio-économiques supérieures ont un plus haut Q.I, génétiquement. Ils sont plus grands en stature et ont un cerveau plus volumineux. Cette plus haute intelligence génotypique est la principale cause de leur ascension ou stabilisation sociale à un niveau élevé.

Ces individus à plus haut Q.I vont transmettre leur plus haute fréquence allélique pour une haute intelligence à leurs enfants, qui auront comme leur parents un Q.I moyen plus élevé (malgré une petite rétraction vers la moyenne, phénomène génétique bien connu en biologie).

La cause des différences d’intelligence entre les classes sociales est génétique et pas environnementale.

En fait l’environnement social n’a absolument aucun impact sur l’intelligence. Le Q.I moyen augmente avec la classe sociale, aussi bien chez les européens que chez les afro-américains ou chez les asiatiques.

Lorsqu’on examine la corrélation du Q.I entre enfants de parents biologiques différents adoptés et élevés dans les mêmes familles (ceci permet d’estimer la magnitude de l’effet de l’environnement familial). Chez les adultes la corrélation à l’âge adulte se situe entre -0,01 et 0,04 indiquant une héritabilité de minimum 0,96 et un effet de l’environnement social nul.

Cependant, cette méthode sous-estime certains effets environnementaux car elle ne prend pas en compte l’environnement prénatal et périnatal (-> mais justement, cette méthode permet de cibler les éléments environnementaux ayant un effet : le prénatal et périnatal)

Influence nulle du milieu sur l'intelligence

« Des gènes au comportement », 1997, Plomin, de Fries, Mc Clearn, Rutter

2. Lorsque vous comparez des afro-américains et des européens de classes socio-économiques très élevées, la différence raciale d’intelligence sera inférieure à celle retrouvée habituellement. Ceci étant, elle reste importante à 12 points de Q.I.

Pourquoi la différence est-elle moindre ? Encore une fois, nullement parce que l’environnement social aura joué un rôle (il n’a aucun impact, l’étude ci-dessus le démontre, tout comme les études d’adoption qui ne montre aucun gain de Q.I à l’âge adulte), mais simplement parce que en sélectionnant le groupe social, vous aurez sélectionné indirectement l’intelligence. Les afro-américains ayant une intelligence suffisante pour se hisser au niveau socio-économique le plus élevé sont beaucoup moins fréquents que les européens, qui sont moins fréquents que les asiatiques de l’est. Les ashkénazes ont un Q.I moyen de 110, 10 points au-dessus des européens. Ils représentent 50% du 1% les plus riches des USA. Maintenant si vous comparez le Q.I moyen des 1% les plus riches, les différences raciales ne seront pas identiques à celles retrouvées dans la populations générale. La supériorité intellectuelle ashkénazes sera sous-évaluée de par la sélection intellectuelle plus forte sur les européens. Il est possible que dans ce top 1% la différence de Q.I entre un européen et un ashkénaze ne soit que de 5 points, parce que la sélection intellectuelle aura été plus forte sur les européens dont le Q.I moyen est plus bas.

Comparez à groupe social égal ne permet pas de conclure à un impact de l’environnement, il s’agit simplement d’une sélection intellectuelle, et cette sélection aura été plus sévère chez les afro-américains.

« Il est donc absurde de supposer que le QI détermine la qualité de vie, puisque justement c’est au contraire la qualité de vie qui va en grande partie déterminer le QI »

Vous vous fourvoyez totalement. Il n’y a pas de doute sur la très haute héritabilité de l’intelligence. Le milieu social n’a aucun impact sur le Q.I à l’âge adulte. Les variations d’intelligence sont à 84% des variations alléliques et à 16% provoquées par l’environnement pré-natal et péri-natal. Les jumeaux par exemple ont un Q.I moindre parce qu’ils partagent les ressources de l’utérus maternel. Ils sont également plus petits. Les prématurés ont un Q.I moindre. L’allaitement maternel par contre augmente le Q.I. Le pré et péri-natal, et la nutrition dans l’enfance sont les principaux facteurs environnementaux expliquant 16% des variations d’intelligence. Les études d’adoptions, les études sur les vrais jumeaux et plus récemment les études directement sur le génome démontrent de façon tout à fait clair que l’intelligence est avant tout une caractéristique génétique.

« De plus ce cliché du QI qui assurerait le succès professionnel est faux et archi faux : dans bien des cas un QI élevé est handicapant plus qu’autre chose, notamment chez les HQI et THQI pour qui l’échec scolaire est un problème très courant »

Encore une fois vous ne connaissez pas la littérature sur la question et vous vous contentez de colporter des rumeurs égalitaristes incorrectes.

« Et ça n’est pas mieux une fois arrivé dans la « vie active » : amusez-vous donc à écrire sur votre CV que vous avec un QI de 135 par exemple, et attendez voir si on vous rappelle pour vous proposer un poste en vous disant que c’est très impressionnant. Au contraire, l’employeur va se sentir menacé et se dire “oula, celui là il est plus malin que moi, il va me faire passer pour un con, voire même prendre ma place et je n’arriverai pas à voir clair dans son jeu parce qu’il aura une longueur d’avance sur moi”. Dans une société aussi fortement fondée sur les rapports de compétitions, déclarer un avantage (même fictif), c’est avant tout s’assurer d’être écarté préventivement par les compétiteurs qui vont y voir une menace. Donc non, avoir un QI élevé c’est tout sauf une garantie de réussir dans la vie, et ça peut même être l’inverse, c’est justement pour ça que ça ne légitime aucune discrimination »

Un Q.I moyen de 135 n’est pas si élevé. En réalité c’est le Q.I moyen d’un chirurgien. C’est 5 points de plus que le Q.I moyen d’un doctorant scientifique. A la vérité un Q.I inférieur serait un handicap dans ces fonctions les plus prestigieuses de la société. La hiérarchie des salaires et du prestige dans les emplois est avant tout une hiérarchie cognitive. C’est une grave erreur moraliste de penser que tout le monde a les capacités de réussir ce qu’il désire.

Q.I moyen par profession

Ci-dessus, le Q.I moyen et les différents percentiles pour différents types d’emplois. Le Q.I moyen d’un conducteur de camions est ainsi de 93, alors que le Q.I moyen d’un ingénieur est à 113 et celui d’un médecin à 120.

Les conséquences des différences raciales de Q.I sont très pragmatiques sur le marché du travail.

Toutes les études indiques que les perspectives socio-économiques augmentent sans aucune discontinuité avec l’intelligence.

“Today, people in the right tail of wealth are highly educated, cognitively able, and intellectually gifted. Smarter and more educated people tended to be wealthier, give more, and have wider, wealthier, and more powerful social networks. This shows the importance of cognitive ability, and perhaps elite education, in being able to develop expertise in attaining extreme wealth. These findings also provide a unique window into the characteristics of the people worldwide who have enormous wealth and corresponding power”

“Investigating the right tail of wealth: Education, cognitive ability, giving, network power, gender, ethnicity, leadership, and other characteristics” Jonathan Wai, David Lincoln, Intelligence (54) 2016.

Contrairement à ce que vous dites, on retrouve des tests d’entrée dans toutes les universités américaines. L’intelligence est donc un élément indispensable. Les scores SAT peuvent être convertis directement en score de Q.I. L’élite intellectuelle provenant des meilleures universités a de facto un très haut Q.I et les employeurs y accordent une grande importance, il sera toujours mieux vu d’avoir un diplôme de Cambridge, et ce n’est pas tant les connaissances acquises que la haute intelligence génotypiques des individus qui en sortent qui sera le gage de leurs meilleures performances dans un emploi. Ces individus seront plus créatifs, globalement plus performants, le transit des informations sensorielles vers le cortex étant plus rapide.

« Une autre étude suggère aussi que l’intelligence dépendrait beaucoup de l’éducation:

https://www.nature.com/articles/s41380-017-0001-5 »

Mais absolument pas 😀 😀 😀

Cette étude pointe au contraire la haute héritabilité à la fois de l’intelligence et de l’éducation. Elle ne pointe en aucun cas l’effet de l’éducation sur l’intelligence. Les gens plus éduqués sont génétiquement plus intelligents. Il serait peut-être bon de lire les études que vous nous faites parvenir… je sais bien qu’il y avait le mot magique « éducation » mais en l’occurrence cette étude de Nature va entièrement dans notre sens en pointant la haute héritabilité à la fois de l’intelligence et de l’éducation (qui est un proxy de l’intelligence).

Il vous sera toujours possible de trouver des individus farfelus pour appuyer vos thèses environnementalistes et faire penser qu’il y a débat alors même qu’il n’y a plus le moindre doute sur la haute héritabilité de l’intelligence.

« Alors pourquoi défendre l’existence de sous-espèce ou de race dans l’humanité alors que sa définition se reposant sur les critères génétiques ne fait pas consensus ? L’absence de consensus ne veut pas dire l’absence de possible division, certes, mais pourquoi utiliser le terme si personne n’est encore d’accord sur ce à quoi elle se réfère ? Vous effectuez un contresens »

Personne n’est encore d’accord sur la rotondité de la terre non plus. Il y a même « The flat earth society » aux USA qui mérite le respect et le dialogue. La rotondité de la terre est controversé peut-on dire.

Parce qu’il faut bien rire un peu…

« Cela ne veut pas dire que cette grande différenciation génétique implique la conception de sous-espèce ou de race « 

Des populations humaines sont restées isolées pendant des dizaines de milliers d’années, cela a créé des différences phénotypiques relativement importantes, c’est ce qui compte. Il existe de larges différences phénotypiques, incluant le tempérament et l’intelligence, entre groupes humains.

John Goodrum a compilé les données comparatives de la diversité génétique chez les animaux, homo sapiens compris. Cette diversité est appréciée en termes d’hétérozygotie, en calculant la moyenne des micro-satellites autosomique, hétérozygotie d’une population (H) est le pourcentage d’individus qui sont hétérozygotes (deux allèles) sur un locus aléatoire. H varie de 0 à 1 ou 0-100%; plus la valeur augmente et plus grande est la diversité génétique d’une espèce. Dans le tableau ci-dessous, on trouve l’hétérozygotie attendue théoriquement He et l’hétérozygotie observée en pratique Ho.

Les homo sapiens sont génétiquement plus diversifiés que de nombreuses espèces de mammifères.

En effet, de nombreuses espèces comprenant des sous-espèces ou races ont une valeur inférieure de diversité entre ces sous populations raciales. Goodrum a compilé des exemples de la diversité génétique entre les races chez différents animaux, la distance génétique est en FST. Dans le tableau ci-dessous, notez que 0,168 est la même que 16,8%, 0,155 est le même que 15,5%, etc

L’homo sapiens se trouve donc dans une position totalement équivalente à d’autres espèces animales.

Le tableau suivant, basé sur l’échelle de Sewall Wright, montre encore une fois que l’espèce homo sapiens avec une valeur de 15,5 n’a rien de divergent en comparaison d’autres espèces du règne animal.

FST Extent of differentiation between populations 
0 – 0.05 small
0.05 – 0.15 moderate
0.15 – 0.25 great          <-homo sapiens (>0,15)
> 0.25 very great

Note concernant la maivaise interprétation de Tempelton

En 1998, Alan Templeton a publié un article intitulé «Human Races – A Genetic and Evolutionary Perspective» qui semble avoir eu une large influence sur la question raciale en anthropologie et en sciences sociales. Dans la première section de l’article, Templeton cite un article de « Herpetological Review » de 1997 intitulé «Subspecies and Classification».

Templeton affirme que, selon cet article, une valeur FST de 0,25 ou 0,30 entre les populations est une «norme». critère « pour la classification des sous-espèces ». Il fournit ensuite un graphique montrant les valeurs de la FST pour les humains et 12 autres espèces de grands mammifères. La valeur humaine de 0,156 provient d’un article de 1997, « Une répartition de la diversité de l’ADN humain » [118] dans les Actes de la National Academy of Sciences. Deux des valeurs non humaines énumérées sont inférieures à celles des humains, mais les dix autres valeurs sont plus élevées et semblent appuyer l’affirmation de Templeton selon laquelle les populations humaines ne sont que faiblement différenciées. Il y a plusieurs choses curieuses à ce sujet.

→ Tout d’abord, il y a peu, voire aucune, corroboration dans la littérature récente qu’une valeur FST de 0,25 ou 0,30 est un critère standard pour la désignation des sous-espèces. Deuxièmement, si vous lisez réellement l’article de Smith et al., Ils ne mentionnent jamais les valeurs FST. Ils disent plutôt que « le chevauchement des différences dépassant 25-30% ne permet pas la reconnaissance taxonomique des populations dichopatriques ou des populations parapatriques en dehors de leurs zones d’intergradation » Ce à quoi les auteurs font référence ici n’est pas une valeur FST, mais simplement la règle de 75 (ou 70) pour cent discutée plus tôt. La mauvaise interprétation de Templeton est d’autant plus évidente que cette règle de sous-espèces et FST ont une relation inverse: une règle de 75% implique une plus grande différenciation qu’une règle de 70%, alors qu’une valeur FST de 0.25 indique une différentiation moindre qu’une valeur de 0,30. La chose la plus intéressante, cependant, à propos de la comparaison FST de Templeton est le fait qu’il utilise une valeur humaine (0.156, que nous reprenons également dans le tableau ci-dessus) basée sur des locus autosomiques (microsatellites et RFLP), alors que neuf des dix plus grandes valeurs non humaines, sont basés sur l’ADN mitochondrial. Ceci est assez trompeur, car les valeurs de FST pour l’ADNmt sont toujours beaucoup plus élevées que les valeurs autosomiques.

il est difficile de voir une quelconque justification de l’affirmation selon laquelle « les races humaines seraient des constructions sociales ». Cette négation de l’existence de races distinctes, qui se retrouve plus typiquement en occident (quasiment pas en Europe de l’est, ni en Russie, Chine, Corée, Japon ou Singapour où la race est même indiquée sur la carte d’identitée).

Cette négation idéologique est un « mensonge de polichinelle ».

David Reich, professeur de génétique à Harvard, mars 2018, New-York Times…

« En tant que généticien je sais aussi qu’il n’est simplement plus possible d’ignorer les différences génétiques moyennes entre les races.

Des avancées révolutionnaires dans la technologie de séquençage d’ADN ont été faites au cours des deux dernières décennies. Ces progrès nous permettent de mesurer avec une précision parfaite quelle fraction de l’ascendance génétique d’un individu remonte, par exemple, d’Afrique de l’Ouest. Avec l’aide de ces outils, nous apprenons que, bien que la race puisse être une construction sociale, les différences d’ascendance génétique qui sont corrélées à de nombreuses constructions raciales actuelles sont bien réelles.

Des gens bien intentionnés qui nient la possibilité de différences biologiques substantielles entre les populations humaines se recroquevillent dans une position indéfendable, qui ne survivra pas à l’assaut de la science.

Alors que la plupart des gens conviennent qu’il est important de trouver les explications génétiques de certaines maladies, ils rechignent lorsqu’il s’agit d’influence génétiques sur le comportement et la cognition.

Est-ce que le Q.I, l’intelligence ou le nombre d’années d’éducation est influencé par l’éducation ? Bien sûr.

Mais est-ce que cela mesure également des caractéritiques cognitives et comportementales ? Presque certainement. Et comme tous les caractères influencés par la génétique différent d’une population à l’autre (les fréquences des variations génétiques étant rarement identiques d’une population à l’autre), les influences génétiques sur le comportement et la cognition varieront également d’une population à l’autre.

Vous entendrez parfois que les différences biologiques entre les populations sont petites, parce que les humains ont divergé trop récemment des ancêtres communs pour que des différences substantielles soient apparues sous la pression de la sélection naturelle. Ce n’est pas vrai. Les ancêtres des Asiatiques de l’Est, des Européens, des Africains et des Australiens étaient, jusqu’à récemment, presque complètement isolés les uns des autres pendant 40 000 ans ou plus, ce qui est amplement suffisant pour que les forces de l’évolution puissent fonctionner.

Dans les années à venir les études génétiques montreront que de nombreux caractères sont influencés par des variations génétiques, et que ces traits différent en moyenne entre les populations humaines. Il sera impossible – en effet, anti-scientifique, idiot et absurde – de nier ces différences »

Votre acharnement désespéré pour invalider la notion de race (vidéo « nique ta race » à n’en point douter très objective et intellectuelle, sic), de façon à indirectement invalider les différences phénotypique est vaine, car on peut tout aussi bien mettre ce concept pourtant pertinent de côté tout en montrant clairement l’existence de phénotypes différents entre groupes humains.
Helmuth Nyborg parle ainsi « d’eco-types » pour désigner les individus dont la plupart des ancêtres ont évolué dans des climats très froids, froids, modérés, chauds ou très chauds (voir présentation principale).

3. L’intelligence est essentiellement déterminée par les gènes…

Nous entendons ici développer plus en détail chacun des arguments montrant que les différences d’intelligence, aussi bien inter-individuelles qu’inter-raciales, sont provoquées par des différences alléliques dans le génome.

85% des variations intellectuelles observées sont à mettre sur le compte de variations génétiques… Voici les arguments qui le démontrent sans l’ombre d’un doute.

1. Haut niveau d’héritabilité

Le haut niveau d’héritabilité trouvé chez les vrais jumeaux en Amérique, en Europe, au Japon et en Inde montre que l’intelligence est fortement déterminée par des facteurs génétiques.

-La corrélation entre vrais jumeaux élevés dans des milieux différents est de 0,85 à l’âge adulte.
Corrélation intellectuelle selon la proximité génétique

Tableau extrait de « Des gènes au comportement », Plomin, de Fries, Mc Clearn, Rutter, 1997.

-> Pointe clairement la causalité génétique de l’intelligence (trait polygénique)

A l’inverse, la corrélation intellectuelle entre des frères et sœurs adoptifs permet une estimation de l’importance du milieu. La corrélation est de 0 à l’âge adulte. Aussi surprenant que cela puisse paraître, le milieu de vie ou l’éducation n’a pas d’impact sur l’intelligence générale à l’âge adulte1.

Influence nulle du milieu sur l'intelligence

Tableau extrait de « Des gènes au comportement », Plomin, de Fries, Mc Clearn, Rutter, 1997.

Quelle est l’héritabilité de l’intelligence ?
-> Héritabilité de l’intelligence = part de la variance attribuable à des facteurs génétiques. Il y a plusieurs manières de l’estimer… pointant toute une héritabilité d’à peu près ~0,8 à l’âge adulte.

Répartition intellectuelle selon le milieu et selon la génétique

Illustration de la part génétique et de la part « environnementale » de l’intelligence2
Ceci signifie que si tout le monde était élevé dans un environnement identique, les différences intellectuelles entre individus seraient réduites à 80% des différences actuelles.

Il y a 3 manières de l’estimer… pointant toute une héritabilité > à 0,8 à l’âge adulte3.

  1. Etudes de jumeaux vrais élevés dans des milieux différents (Données résumées par Bouchard, 1993, p.58). Chez les adultes, les données sont basées sur 5 études résumées par Bouchard. La corrélation moyenne pondérée pour la taille des échantillons est de 0,75. Ce chiffre doit être corrigé pour la fiabilité des tests (correction de l’atténuation), (Bouchard, 1993, p.49; Machintosh, 1998). Cette correction augmente la corrélation à 0,83.
  2. Une seconde méthode pour estimer l’héritabilité est de comparer le degré de similitude entre des jumeaux identiques et des jumeaux non-identiques, de même sexe, élevés dans la même famille. La corrélation est de 0,88 pour des jumeaux identiques et de 0,51 pour des jumeaux non-identiques de même sexe. Après correction de ces chiffres pour la fiabilité des tests (correction d’atténuation),  la corrélation corrigée devient 0,98 pour les jumeaux identiques et 0,56 pour les jumeaux de même sexe non identiques.
    L’héritabilité peut être calculée par la formule de Falconer (1960) consistant à doubler la différence entre les corrélations de jumeaux identiques et non-identiques de même sexe. La différence entre les deux corrélations est de 0,42, doubler cette différence donne une héritabilité de 0,84.
  3. Une troisième méthode pour estimer l’héritabilité est d’examiner la corrélation du Q.I entre enfants de parents biologiques différents adoptés et élevés dans les mêmes familles. Ceci permet d’estimer la magnitude de l’effet de l’environnement familial (« between family effect »). Le résumé de la littérature sur la question a été fait par Bouchard (1998) qui conclut que chez les adultes la corrélation est de 0,04, indiquant une héritabilité de 0,96.
    Cependant, cette méthode sous-estime les effets environnementaux car elle ne prend pas en compte l’environnement prénatal et périnatal.

-> Les deux premières méthodes sont plus précises et donnent une estimation de 0,84 et 0,85 pour l’héritabilité de l’intelligence.

La conclusion d’une haute héritabilité pour l’intelligence implique qu’il y a des gènes qui déterminent l’intelligence (voir plus loin). Le premier fut découvert par Chorley et al. (1998). Il se situe sur le chromosome 6 et la possession d’un des allèles de ce gène contribue à hauteur de 4 points de Q.I.

2. Grande stabilité du Q.I des différentes races quel que soit le milieu4

-> appuie la causalité génétique. (Arabes d’Europe de première et seconde génération, immigration…)

Légère augmentation (84 à 88 pour les arabes… les gènes « tiennent l’amélioration en laisse4.2 »)

  1. Juifs Ashkénazes (110) (USA, Canada, Europe…)
  2. Asiatiques de l’est (105) (Asie, Europe, Amérique…)
  3. Européens (100) (Australie, Amérique, Europe…)
  4. Inuits (91)
  5. Métis caucasiens-africain (90) (Europe, Amérique…)
  6. Asiatiques du sud-est (90) (Europe, Amérique, Asie)
  7. Amérindiens (87) (Amérique du nord et du sud)
  8. Nord africains et sud asiatiques (86) (Moyen-Orient, Amérique, Europe…)
  9. Africains (71-80) (Europe, Amérique du nord et du sud, Afrique)
  10. Aborigènes d’Australie (62)

Cette hiérarchie reste rigoureusement inchangée et transparaît dans tous les pays multiraciaux4.1 dans quasiment tous les paramètres sociaux (salaires, niveaux socio-économique, niveau de crimes et délits, prévalence des personnes douées, prévalence de l’arriération mentale…)

 3. Stabilité dans le temps4.2

Stabilité du Q.I moyen des chinois et des indiens

Stabilité du Q.I moyen racial

Stabilité du Q.I moyen racial à travers le temps

Pointe une nouvelle fois l’héritabilité élevée de l’intelligence.

4. les différences de Q.I sont reflétées dans le différences de volume crânien5

Table 9.8. Race differences in brain site (cc) and intelligence

Race IQ Brain Size (cc)
East Asians 105 1416
Europeans 100 1369
Southeast Asians 90 1332
Pacific Islanders 85 1317
South Asians and north africans 84 1293
Africans 71 1282
Australian aborigenes 62 1225

Ces différences de volumes crâniens démontrent l’existence de facteurs génétiques, car l’héritabilité des volumes crâniens est de 0,9 et la corrélation entre l’intelligence et volume crânien est de 0,45.

Capacité cranienne et Q.I chez les africains, les européens et les est-asiatiques6.
Capacité cranienne et Q.I des africains, européens et est-asiatiques

Q.I moyen par race et capacité cranienne moyenne

5. Les temps d’isolation.

Les différentes races ont évolué indépendamment l’une de l’autre et dans des milieux différents pendant des dizaines de milliers d’années. Par exemple, les africains ont vécu dans des milieux séparés des européens pendant 100.000 ans, et les européens ont vécu dans des milieux séparés des asiatiques de l’est pendant 40.000 ans (Stringer, 1989; Cavalli-Sforza, 2000)
Quand deux populations évoluent isolément l’une de l’autre pendant une telle période il y a des différences qui apparaissent dans tous les domaines dans lesquels il y a des possibilités de variations génétiques. La position environnementaliste extrême, postulant qu’il n’y a pas de différences intellectuelles entre deux races, défie le principe général de l’évolution biologique et peut être vu comme impossible.

6. les études sur les métis

Le Q.I des « hybrides » est toujours intermédiaire entre celui des deux races parentales, de même que le volume crânien, qui est lui aussi intermédiaire entre celui des deux races parentales, ceci pointe la causalité génétique de l’intelligence.

6.1 Hybrides africain-européen7.

European Hybrids Africans
Location Age Test N IQ N IQ N IQ Reference
1 Brazil 10 SPM 735 95 718 81 223 71 Fernandez, 2001
2 Germant’ 5-13 WISC 1,099 100 170 94 Eyferth, 1961
3 South Africa 10-12 AAB 10,000 100 6,196 83 293 65 Fick, 1929
4 South Africa 13 GSAT 746 100 815 86 Claassen, 1990
5 South Africa 15 SPM 1,056 100 778 80 1,093 74 Owen, 1992
6 USA 17 WISC-R 16 102 55 94 17 85 Weinberg et al.,1992
7 USA Adult Otis 100 284 91 176 87 Codwell, 1947
8 USA Adult Vocab 1,245 100 304 92 146 85 Lynn, 2002
9 USA Adult Vocab 10,315 100 116 97 4,271 89 Rowe, 2002

6.2 Hybrides Amérindiens-Européens8

Table 12.4. IQs of Native American-European Hybrids

Location Age Test Europeans Hybrids Amerinds Reference
N IQ N IQ N IQ
1 Kansas Adult OTIS 100 536 93 179 67 Hunter & Sommermeir, 1922
2 South Dakota 10-15 OTIS 100 68 89 15 86 Fitzgerald & Ludeman, 1925
3 Mexico 7-10 SPM 155 98 571 94 194 83 Lynn et al., 2005

6.3 Hybrides Pacific-islander-Européens9

Q.I des hybrides européens-pacific islanders et chinois-pacific islanders

Table 9.3. IQs of Europeans, Chinese, and Pacific Islander Hybrids

Group N IQ
European 1000 100
Chinese 2,704 99
European-Hawallan 842 93
Chinese-Hawallan 751 91
Hawalian 621 81

6.4 Hybrides Est-asiatique-Européens10

Table 10.5. IQs and brain size (cc) of East Asian-European hybrids

East Asian Hybrid European African
1 Number 63 37 17,432 19,419
2 IQ-Raw 114 103 102 90
3 IQ-Adjusted 109 98 97 85
4 Brain size 1,170 1,155 1,150 1,134

6.5 Hybrides aborigènes d’Australie-européens11.

7. Les différences cérébrales qualitatives

Les différentes races n’ont pas un cerveau identique de taille variable, il y a des différences qualitatives entre les races.

Africains et européens12:

-Le cortex des africains est en moyenne moins circonvolué.
-Le cortex des africains est en moyenne 15% plus fin que celui des européens.
-Les africains ont un lobe frontal et occipital plus petit et un lobe pariétal plus large.
-Les africains ont une proportion de neurones pyramidaux moindre à celle des européens.

Aborigènes d’Australie et européens13:
Cerveau d'un orang outang, d'un aborigène d'Australie et d'un européen

D’après « Race », John R. Baker, professeur de biologie à Oxford13.

8. Les études d’adoption

Montrent clairement que le Q.I reste celui prédit par la race biologique quel que soit les parents adoptifs.

Q.I moyen d'enfants adoptés selon leur ascendance ethnique

Q.I moyens d’enfants de parents biologiques noirs, métis, blancs et asiatiques, tous élevés dans des familles blanches de classe moyenne14.

Coréens adoptés par des belges: 106 de Q.I moyen.
Pour des enfants qui sont tous adoptés par des parents européens, il persiste une différence de 16 points de Q.I entre africains et européens,  la même que celle trouvée en Amérique.

Elever des enfants noirs dans une famille blanche de classe moyenne n’a pas d’effet sur leur Q.I à 17ans.
L’éducation n’a pas plus d’effet sur les est-asiatiques élevés par des blancs, leur Q.I moyen restant supérieur.

-> Facteurs génétiques.

La plus grande étude sur la question est la Minnesota transracial adoption study.

Q.I moyen d'enfants adoptés selon leur race

9. « reaction time »

Il existe une différence significatives entre les européens, les africains et les est-asiatiques en terme de temps de réaction.

Le temps de réaction est corrélé au Q.I, car l’un comme l’autre sont des signes d’efficience du système nerveux central. Les caucasiens réagissent en moyenne plus vite à un stimulus.

L’individu testé est placé devant une petite lampe qui va s’allumer. Chaque fois que c’est le cas, il appuie simplement le plus rapidement possible sur le bouton placé devant lui.
C’est un signe de l’efficience du système nerveux puisque c’est en quelque sorte un traitement basique de l’information qui doit remonter jusqu’au cerveau puis redescendre pour appuyer sur le bouton. Les temps de réaction sont mesurés en millisecondes.

Reaction Times et EEGs chez des africains, des européens et des est-asiatiques4.3.

Test Africans Europeans East asians
1 IQ 68 100 106
2 RT-S 398 371 348
3 RT-C 1,950 1,220
4 EEG 534 506

Meilleure efficience du système nerveux central des hauts Q.I

Temps de réaction simples chez les africains, les européens et les est-asiatiques

10. « Inspection time »

« L’inspection time » ou temps d’inspection mesure la vitesse du traitement de l’information visuelle ou auditive. Les mesures « d’inspection time » sont corrélées à +0,7 avec le Q.I.

Illustration d'une mesure de temps d'inspection

Dans ce genre de tests, deux barres de longueurs inégales apparaissent à l’écran pendant un certain temps (en millisecondes). On demande ensuite aux testés quelle était la barre la plus longue, celle de droite ou celle de gauche ?

Les hauts Q.I traitent l’information visuelle ou auditive plus rapidement. Ils ont des temps d’inspection (inspection time) plus petits.

On trouve une différence significative, en termes d’inspection time, entre les races.

Différences raciales dans les temps d'inspection

11. Admixture européenne chez les afro-américains.

  • Plus l’admixture européenne est importante chez les afro-américains, plus le poids cérébral moyen est élevé (tests génétiques indépendants de la couleur de la peau). Plus l’admixture blanche est importante et plus le Q.I des noirs est important.
  • Corrélation de -0,91 entre la pigmentation cutanée et le Q.I (Larivée, 2009)
  • Q.I moyen des africains: 80
  • 25 pourcent d’ascendance européenne: 85 (afro-américains)
  • Q.I moyen des mulâtres: 90
  • Q.I moyen pour 75 pourcent d’ascendance européenne: 95

12. 76 traits musulo-squelettiques15

  • Les différences raciales de capacité crânienne sont corrélées à 76 traits musculo squelettiques identifiés dans des ouvrages standards d’anatomie évolutive comme étant systématiquement liés à une augmentation de la capacité crânienne et de l’intelligence chez les hominidés.
  • Parmi ces différences, on retrouve :

-Le diamètre transversal du pelvis : L’augmentation de la capacité crânienne et de l’intelligence a été de pair avec une augmentation du diamètre transversal du pelvis, pour permettre le passage du crâne à la naissance. Les africains ont un diamètre pelvien significativement plus petit que celui des européens. (27,4 cm contre seulement 24,6 pour les africains). Les est-asiatiques ont un diamètre pelvien supérieur à celui des européens.
-En conséquence d’un pelvis plus large, le fémur, (l’os de la cuisse) qui s’insère au niveau du bassin, s’est incurvé puisqu’en dépit d’un bassin qui grandissait, espaçant les insérions fémorales et provoquant un angle plus large pour la sortie des deux fémurs, il fallait impérativement que le genou fasse une jonction correcte avec le péroné, provoquant une incurvation du fémur. Les européens ont une incurvation fémorale significativement plus importante que celle des africains et significativement moins importante que celle des est-asiatiques.
-Tandis que l’intelligence et la capacité crânienne ont augmenté, les crânes sont devenus plus sphériques et profonds. Les européens ont des cerveaux significativement plus sphériques, plus profonds et plus gros que les africains.
-L’augmentation de la sphéricité a donc réduit les protubérances, notamment le processus mastoïde. Les blancs ont un processus mastoïde significativement plus petit que les noirs.
-L’augmentation de la capacité crânienne s’est produite vers l’avant du crâne, il en a résulté une diminution du prognathisme et une augmentation de l’orthognathisme (face plus plate). Les européens ont une face significativement moins prognathe et plus orthognathes que les africains.
Consulter l’étude15 intégralement.

En détail… (traduit de l’étude ci-dessus).

Troglodytes (Chimpanzés) Australopithèques Homo habilis Homo erectus Homo sapiens africains Homo sapiens européens Homo sapiens mongoloïdes
1. Intelligence générale (Q.I) 22 32 42 50 67-80 100 105
2. Capacité crânienne (cm cubes) 380 (1) 450 (2) 650 (3) 1000 (4) 1267 (5) 1346 (6) 1364 (7)
3. Quotient d’encéphalisation 3,01 (2) 2,79 (1) 3,38 (4) 3,34 (3) 6,38 (5) 6,50 (6) 6,95 (7)
Caractéristiques du crane
4. Forme du crane Le plus étroit (1) Etroit (2) Plus large que chez l’australopithèque (3) Plus large que chez homo habilis (4) Plus large que chez homo erectus, le plus étroit des modernes (5) Plus large que chez les africains (6) Le plus large (7)
5. Longueur du crane La plus longue (1) Longue (2) Plus courte que chez l’Australopithèque (3) Plus courte que chez homo habilis (4) Plus courte que chez homo habilis, la plus longue des modernes (5) Plus courte que chez les africains, plus longue que chez les mongoloïdes (6) La plus courte  (7)
6. Contour sagittal (circonférence sagittale) Valeur la plus faible (1) Faible valeur mais légèrement supérieure à P. Troglodyte (2) Valeur plus élevée que chez les australopithèques (3) Valeur plus élevée que celle des homo habilis (4) Valeur plus élevée que chez homo erectus, valeur la plus faible des modernes, dépression post-bregmale (5) Plus élevée que chez les africains, moins que chez les mongoloïdes (6) La plus élevée (7)
7. Proéminence de l’os nasal Plat (2) Plat (2) Plat (2) Légère saillie (5) Légère saillie (5) Le plus saillant (7) Légère saillie (5)
8. Prognathisme facial Le plus prognathe (1) Très prognathe (2) Moins prognathe que chez les australopithèques (3) Moins prognathe qu’homo habilis (4) Moins prognathe qu’homo erectus, le plus prognathe des modernes  (5) Moins prognathe que les africains,  plus que les mongoloïdes (6) Orthognathes (7)
9. Largeur bi-zygomatique La plus large (1) Large (2) Légèrement rétrécie (3) Plus étroit que chez homo habilis (4) Plus étroit que chez homo erectus, la plus large des modernes (5) Plus étroit que chez les africains, plus large que chez les asiatiques (6) La plus étroite (7)
10. Forme du palais En forme de U (1) Légèrement moins en forme de U (2) Presque en forme de V (3) Plus en forme de V, presque parabolique (4) Le moins parabolique des modernes (5) Parabolique (6) Le plus parabolique (7)
11. Forme de l’arcade sourcilière Non archée et la plus large (1) Non archée et large (2) Archée et légèrement plus petite (3) Plus petite, archée et arrondie avec dépression glabellaire (4) Présence d’une dépression glabellaire, la plus large des modernes (5) Petite, lisse et archée (6) Archée et la plus petite (7)
12. Processus mastoïde Le plus large (1) Large (2) Plus petit que chez les australopithèques (3) Plus petit que chez les homo habilis (4) Le plus large des modernes, deux têtes (5) Petit et pointu (6) Le plus petit, trapu (7)
13. Position du neurocrâne Derrière la face (1,5) Derrière la face (1,5) Plus haut mais toujours derrière la face (3) Plus haut que chez les homo habilis mais toujours derrière la face (4) Plus haut que chez les homo erectus, mais le plus postérieur des modernes (5) Sur le dessus de la face (6) Le plus au-dessus de la face (7)
14. Circularité du foramen temporal Long et étroit, ovale (1) Court et étroit, mais pas tout à fait circulaire (2) Court et étroit, circulaire (3)
15. Rotation faciale Absente (1) Absente à légère (2) Légère (3) Présente et plus proéminente (4)
16. Position antérieure du foramen magnum et condyles occipitaux Orienté de manière postérieure, derrière la ligne bi-tympanique (1) Plus antérieur que chez les troglodytes, moins que chez les homo habilis (2) Plus antérieur que chez les australopithèques (3) Proche de la position d’homo sapiens (4)
17. Courbure de la suture squamozal Toute droite et basse (1,5) Toute droite et basse (1,5) Incurvée et basse (3) Plus incurvée et plus haute que chez homo habilis (4)
18. Orientation des condyles occipitaux Vertical (1) Horizontal (3) Horizontal (3) Horizontal (3)
19. Taille du muscle masséter Large (1,5) Large (1,5) Plus petit que chez les australopithèques (3) Plus petit que chez homo habilis (4)
20. Taille des constrictions post orbitales. La plus large (1) Légèrement plus petite que chez les troglodytes (2) Légèrement plus petite que chez les australopithèques (3) Plus petite que chez homo habilis (4) Plus petite que chez homo erectus, la plus large des modernes (5) Plus large que chez les africains, moins que chez les asiatiques (6) La plus petite (7)
Caractéristiques des dents et de la mandibule
21. Forme des incisives Plat (2,5) Plat (2,5) Plat (2,5) Plat (2,5) Rarement en forme de pelle (5) Plus souvent en forme de pelle (6) Souvent en forme de pelle (7)
22. Nombre de dents 32 (3) 32 (3) 32 (3) 32 (3) 32 (3) 30-32 (6) 28-32 (7)
23. Taille des molaires Plus petites que chez les australopithèques (2) Les plus larges (1) Plus petites que chez P. Troglodytes (3) Plus petites que chez homo habilis (4) Plus petites que chez l’homo erectus, les plus larges des modernes (5) Plus petites que chez les africains (6) Les plus petites (7)
24. Orthognathisme de la mandibule Longue, basse, prognathe (1) Légèrement plus courte et plus haute, mais toujours prognathe (2) Plus courte et plus haute que chez les australopithèques (3) Courte et haute (4) La plus longue et la plus basse des modernes (5) Taille et hauteur intermédiaire (6) Courte et haute (orthognathe) (7)
25. Forme de la mandibule. En forme de U (1) Plus proche de la forme d’un V (2) Presque en forme de V (3,5) Presque en  forme de V (3,5) La moins en forme de V des modernes (5) Moins en forme de V que chez les asiatiques (6) Le plus en forme de V (7)
26. Largeur entre les condyles mandibulaires Le plus proche l’une de l’autre (1) Plus éloignées que chez le troglodyte, plus proches que chez l’homo habilis (2) Plus éloignées que chez les australopithèques (3) Plus éloignées que chez l’homo habilis (4) Plus éloignées que chez l’homo erectus, le plus proche des modernes (5) Plus large que chez les africains, plus proches que chez les asiatiques (6) Le plus éloignée (7)
27. Proéminence du menton Absente (2) Absente (2) Absente (2) Absente (2) Réduite (4) Proéminente (7) Modérée (6)
28. Rapport entre la taille des condyles et la taille des processus coronoïdes. Plus petits condyles (1) Condyles un peu plus grands (2) Rapport égal (3,5) Rapport égal (3,5)
29. Incisure mandibulaire Peu profonde (1,5) Peu profonde (1,5) Profonde (3,5) Profonde (3,5)
30. Etroitesse du ramus ascendant Le plus large, antéropostérieur (1) Large, antéropostérieur (2,5) Large, antéropostérieur (2,5) Etroit, antéropostérieurs (4)
31. Longueur de la racine des dents Les plus longues (1) Longue (2) Plus courtes que chez les australopithèques (3) Plus courtes que chez homo habilis (4) Plus courte que chez homo erectus (5) Les plus courtes (6,5) Les plus courtes (6,5)
Caractéristiques du cou
32. Taille de la région du cou La plus haute (1) Haute (2) Basse (3) La plus basse (4)
33. Forme du cou Large et trapue (1,5) Large et trapue (1,5) Plus étroit (5) Etroit, courbé et long (6)
34. Masse des muscles du cou La plus importante (1) Réduite par rapport à P. Troglodyte (2) Réduite par rapport à Australopithèque (3) Réduite, proche des modernes (4) Réduite, la plus large des modernes (5) Petite (6) La plus petite (7)
35. Complexité des muscles Complexe (nombreux flancs et corps) (1) Moins complexe que P. Troglodyte (2) Similaire aux australopithèques (3) Simple (moins de flancs et de corps)
36. Proximité des muscles rectus capitis Cote à cote (1) Ecartés (2) Encore plus écarté (3,5) Similaire à H. Habilis (3,5)
37. Taille de la crête nucale et des marquages osseux Présents et larges (1) Présents chez la plupart, réduit chez certains (2) Marquage moins marqués (3) Marquage encore moins marqué (4) Marquage très peu marqué (5) Lisse à absente (6) Absente (7)
Caractéristiques des vertèbres
38. Plus longue apophyse épineuse 5ème ou 6ème (1) Le plus fréquemment la 6ème (2) 7ème, comme les modernes (3)
39. Taille des apophyses épineuses La plus longue (1) Longue (2) Courte, mais légèrement plus longue que chez les modernes (3)
40. Convexité de la partie supérieure de l’atlas Concave (1) Moins concave (2) Plat (3)
Caractéristiques du pelvis
41. Diamètre transversal du pelvis (mm) 98 (1) 99.1 (2) Dans le range des homo sapiens (3,5) 122 (3,5) 132 (5)
42. Taille du diamètre antéro-postérieur (mm) 85 (1,5) 85 (1,5) Dans le range des homo sapiens (3,5) 103 (3,5) 118 (5)
43. Largeur bi-iliaque (mm) 132 (1) 200 (2) 250 (3) 270 (5) 252 (4)
44. Forme de la lame iliaque Grande et étroite (1) Courte et large (2) Courte et large (3)
45. Entaille sciatique Absente, peu développée (1) Présente, bien développée (2) Dimorphisme sexuel, bien développée comme chez les modernes (3)
46. Convexité de la branche descendante du pubis Convexe (1) Droite (2,5) Droite (2,5)
47. Taille de l’acétabulum (mm) 0,82 (1) 0,78-0,83 (2) Proche des modernes, 0,9(3)
48. Taille du sacrum La plus petite (1) Plus large (2) Large, comme les modernes (3)
Caractéristiques des membres supérieurs
49. Orientation de la cavité glénoïde Orientée vers le crane (1) Moins orientée vers le crane que chez P. Troglodyte (2) Orientée latéralement, comme chez les modernes (3)
50. Taille du bras Long (1) Long (2) Range des modernes (3) Le plus long des modernes (4) Plus long que les asiatiques, plus petit que chez les africains (5) Le plus petit (6)
51.    Capacité de l’extension du coude Hyper extension possible (1,5) Hyper extension possible (1,5) Légère aptitude à l’hyper extension (3)
Caractéristiques des membres inférieurs
52. Ligne inter trochantérienne  Absente (1) Présente chez les grands spécimens uniquement (2) Présent (3)
53. Taille de la tête fémorale La plus petite (1) Intermédiaire entre les singes et les humains (2) Plus large que chez les australopithèques (3) Large (4) La plus petite des modernes (5) Intermédiaire entre les africains et les asiatiques (6) La plus large (7)
54. Profile du condyle fémoral latéral Circulaire (1) Circulaire chez les petits spécimens mais plus ovale chez les grands spécimens (2) Proche d’australopithèque mais moins circulaire (3) Presque comme les modernes (4) Le plus circulaire des modernes (5) Elliptique (6) Ovale (7)
55. Symétrie des condyles fémoraux Asymétrique (1) Asymétrique dans quelques petits spécimens, plus symétrique dans d’autres spécimens (2,5) Comme l’australopithèque (2,5) Symétrique (4)
56. Largeur fémorale bi-condylaire (mm) La plus petite (1,5) La plus petite (1,5) Légèrement plus large (3) Plus large, proche des modernes (4) 79,50 83,05
57. Axe de l’angle condylien Le plus large (1,5) Pareil aux singes (1,5) Légèrement réduit (3) Plus petit que chez H. Habilis (4)
58. Minceur d’une section du col du fémur Epaisseur corticale tout le long, rond (1) Os cortical compressé (2,5) Os cortical compressé (2,5) Comme les modernes, mais os cortical légèrement plus épais (4)
59. Profondeur de la fosse trochantérienne  fémorale Profonde (1,5) Profonde (1,5) Moins profonde (3)
60. Pilastre fémoral Pas de pilastre (2) Pas de pilastre (2) Pas de pilastre (2) Pas de pilastre, parfois petit pilastre (4) Petit pilastre (5) Large pilastre (6) Le plus large des pilastres (7)
61. Indice de courbure de l’axe fémoral 77,5 (droite) (2) 80 (3) 76,6 (1) 97,0 (4) 102,2 (5)
62. Taille du plateau tibial Le plus petit (1) Légèrement plus large que chez P. Troglodyte (2) Le plus petit des modernes (3) Intermédiaire entre les africains et les asiatiques (4) Le plus large (5)
63. Platitude du plateau tibial Le plus courbé (1,5) Le plus courbé (1,5) Courbé (3) Plat (4,5) Plat (4,5)
64. Concavité du condyle tibial latéral Convexe (1,5) Convexe (1,5) Légèrement moins convexe que chez les australopithèques (3) Plat (4) Varie (5) Concave (6)
65. Congruence du genou La plus basse (1) Basse (2) Modérée (3) Haute (4)
66. Angle du plateau tibial Le plus important (2) Important (2) Plus petit (3) Le plus important de modernes (4) Plus petit (5)
67. Taille du condyle tibial Le plus petit et le plus étroit (1) Petit et étroit (2,5) Petit et étroit (2,5) Plus large, proche des modernes (4) Plus large qu’H. erectus, le plus petit des modernes (5) Plus large que les africains (6) Le plus large (7)
68. Taille de la tête tibiale distale Petit (2) Petit (2) Petit (2) Légèrement élargie (4) Plus large qu’H. erectus, 47,07 (5) Le plus large, 53,23 (6)
69.    Tranchant du bord antérieur du tibia Rond (2) Rond (2) Rond (2) arrondie (4) Tranchant (5,5) Tranchant (5,5)
Proportion du corps
70. Taille (m) Moins de 1m (1,5) Moins de 1m (1,5) 1-1,5m (3) 1,3-1,5 (4) 1,42-1,69 (5,5) 1,64-1,74 (7) 1,59-1,68 (5,5)
71. Indice inter- membral (Membres supérieurs comparés à la taille des membres inférieurs) 108,7 (1) 85 (2) 86,5 (3) Homo sapiens range (4) 70,3 (7) 70,5 (5) 71,1 (6)
72. Indice brachial 80,1 (1) 78,5 (2) 75,5 (4) 76,5 (3)
73. Indice crural 101,9 (1) 86,2 (2) 83,3 (4) 86,5 (3)
74. Taille du bras en % de la taille du corps La plus élevée (1) Elevée (2,5) Elevée (2,5) Comme les hommes modernes (4,5) 45,76 (4,5) 44,54 (6)
75. % du poids du corps des membres supérieurs Le plus important, 15,8 (1) Important, 12 (2) Important (3) Moindre, comme les modernes (4)
76. Taille de la jambe en % de la taille du corps Le plus petit (1) Petit (2,5) Petit (2,5) Comme les hommes modernes (4) 56,42 (6) 54,98 (5)
77. % du poids du corps des membres inférieurs 24,2 (1) 28 (2) 30 (3)
Maturation
Durée gestationnelle (semaines) La plus courte (1) (2) (3) (4) 39 (5) 40 (6) Légèrement supérieure à celle des européens (7)
Age de la puberté (male) Le plus tôt (1) (2) (3) (4) (5) (6) Le plus tardif (7)
Age de la puberté (femelle) Le plus tôt (2) (3) (4) (5) (6) Le plus tardif (7)
Age de la ménarche Plus tôt (1) Intermédiaire (2) Plus tardif (3)
Age de la ménopause Plus tôt (1) Intermédiaire (2) Plus tardif (7)
Développement moteur Le plus rapide (1) (2) (3) (4) (5) (6) Le plus lent (7)
Développement squelettique Le plus rapide (1) Intermédiaire (2) Le moins rapide (3)
Fermeture des sutures crâniennes Le plus tôt (1) Intermédiaire (2) Le plus tard (3)
Développement dentaire Le plus rapide (1) Intermédiaire (2) Le moins rapide (3)
Eruption des dents de sagesse  1-2 ans plus tôt (1) intermédiaire (2) 1-2 ans plus tard (3)
Age de la marche (mois) 11 (1) 12 (2) 13 (3)
Fréquence de double ovulation (sur 1000) >16 (1) 8 (2) <4 (3)
Triplets (par million) 1700 (1) 100 (2) 10 (3)
Quadruplet (par million) 0 (1) 1 (2) 60 (3)
Longévité Moindre (1) Intermédiaire (2) La plus importante (3)

13. Position dans l’évolution

Position des africains, des européens et des est-asiatiques dans l'évolution

14. Régression vers la moyenne

Régression vers la moyenne pour la taille.

Régression vers la moyenne pour la taille des enfants en fonction de la taille des parents

Régression vers la moyenne pour l’intelligence

Régression vers la moyenne pour le Q.I en fonction de la race

Comment comprendre le phénomène de régression vers la moyenne ?

Imaginez deux haricots de même taille: Le haricot A et le haricot B.

Le haricot A provient d’une race (=variété) de grands haricots. Le haricot B provient d’une race de petits haricots.

On plante les graines du haricot A et du haricot B. Qu’observe-t-on dans la descendance ?

La descendance du haricot A va régresser vers sa moyenne raciale plus élevée en taille: les haricots seront plus grands.

La descendance du haricot B va régresser vers la moyenne raciale de B, à savoir une plus petite taille.

Ce phénomène se retrouve très exactement en termes de Q.I et d’intelligence: prenez deux couples ayant un Q.I moyen de 110, un couple africain et un couple européen.

Les enfants du couple européen vont régresser vers le moyenne intellectuelle européenne de 100: ils auront en moyenne 105 de Q.I. Les enfants du couple africain Vont régresser vers la moyenne intellectuelle africaine de 80: ils auront en moyenne 95 de Q.I.

Ce phénomène de régression vers la moyenne se remarque également chez les bas Q.I: un enfant d’un couple européen ayant un Q.I moyen de 75 aura 87,5 de Q.I (régression vers la moyenne de 100), alors qu’un enfant d’un couple africain ayant en moyenne 75 de Q.I aura en moyenne 77,5 de Q.I (régression vers la moyenne de 80).

-> Signature de la moyenne génotypique européenne à 100 et de la moyenne génotypique africaine à 80.

Régression vers la moyenne pour l’intelligence

-> Signature de la causalité génétique de l’intelligence

-> Modèle génétique additif

15. Inbreeding depression

  • Diminution du « fitness » dans la descendance du croisement d’individus (ou d’animaux… l’homme est un animal) génétiquement trop proches
  • Déficit de 7 points de Q.I chez les descendants de croisements entre cousins de première génération

-> Pointe la causalité génétique de l’intelligence.

16. Différences raciales à l’EEG16

Comme expliqué précédemment, (voir ici) les potentiels évoqués des individus plus intelligents ont un « score » plus petit: La fréquence des ondes alpha est plus importante.

En d’autres termes, la transmission de l’information est plus rapide chez les gens brillants.
On trouve une différence significative, en termes de score à l’EEG, entre les races.

Table 4.10. EEGs of Africans and Europeans

Test Africans in Africa Europeans in Europe
1 IQ 68 105
2 EEG 534 506

17. Spearman’s hypothesis

La magnitude de la différence intellectuelle entre deux races, observée dans les tests d’habileté cognitive, est proportionnelle à sa saturation en g15.

Exemple de la différence entre européen et afro-américains. La différence culmine à 1 SD soit 15 points de Q.I.

Autrement dit, plus un test sera saturé en g (plus il impliquera une complexité cognitive), plus la différence sera marquée.

-> Une différence de g est principalement responsable des différences intellectuelles raciales observées.

http://en.wikipedia.org/wiki/Spearman’s_hypothesis

18. L’héritabilité de l’intelligence augmente avec l’âge

L'héritabilité du Q.I augmente avec l'age

-> Ceci pointe la causalité génétique de l’intelligence.
Si l’environnement avait un impact, son importance devrait augmenter avec l’âge, or c’est le contraire qui se produit.

L’environnement non partagé cible essentiellement l’environnement in utero.

19. Existence des différences raciales dans l’intelligence depuis 10 mille ans

Les différences contemporaines de Q.I entre les races et entre les nations peuvent être identifiées il y a 10 mille ans déjà à partir des différences en terme de:

-capacité crânienne

-dans l’aptitude à avoir fait la transition néolithique de la chasse et de la cueillette vers l’agriculture sédentaire il y a 8000 ans

-dans le développement des premières civilisations il y a 6000 ans

-dans les avancées scientifiques, mathématiques et technologiques des 2500 dernières années

Consistency of Race Differences in Intelligence over Millennia”, Richard Lynn, Personality and Individual Differences 48 (2010) 100–101.

20. Différence de fréquence des gènes de l’intelligence

  • Si l’intelligence est génétique, c’est donc qu’elle est dictée par certains gènes qui ont une plus grande fréquence chez les races plus intelligentes que chez les races moins intelligentes4.3.
  • Certains gènes ont déjà été liés à un gain intellectuel et ils montrent de fait une fréquence raciale suivant l’ordre du Q.I.

Le gène de la myopie congénitale17

Le gène de la myopie congénitale: gain de 7 points de Q.I. (homozygote récessif)

-Plus haute fréquence chez les ashkénazes (Q.I moyen de 110)

-Seconde plus haute fréquence chez les est-asiatiques (Q.I moyen de 105)

-Troisième plus haute fréquence chez les européens (Q.I moyen de 100)

-Moins fréquent chez les sud-asiatiques/nord-africains (Moyen-orientaux, Q.I moyen de 84)

-Peu fréquent chez les africains (Q.I moyen de 67)

Score polygénique (GWAS)

Une étude toute récente20 publiée dans la revue Intelligence s’est penchée sur l’ensemble des variations génétiques augmentant l’intelligence découvertes à ce jour, mises en évidence par GWAS (Genome Wide Association Study, permettant la mise en lumière de nombreux variants génétiques différents impliqués dans un trait phénotypique).

L’étude a évalué ensuite les différences raciales dans la fréquence de ces allèles, et a montré qu’elles étaient parallèles aux différences de Q.I entre populations; En d’autres termes, les races à Q.I plus élevé ont effectivement une fréquence supérieure d’allèles augmentant l’intelligence dans leur patrimoine génétique (tableau ci-dessous).

Différences raciales dans la fréquence des allèles pour une haute intelligence

AFR pour africains, AMR pour amérindiens, ASN pour asiatiques de l’est, EUR pour européens et SAS pour asiatiques du sud et nord-africains.

Si on prend en considération l’ensemble des variants génétiques augmentant l’intelligence mis en évidence à ce jour, ces allèles sont plus fréquents chez les asiatiques de l’est (Q.I moyen de 105), suivis par les européens (Q.I moyen de 100). Les amérindiens (AMR, Q.I moyen de 86) et les asiatiques du sud et nord-africains (SAS, Q.I moyen de 84) ont une moindre fréquence et les africains sub-sahariens ont la plus basse fréquence de ces allèles.

La fréquence de ces variants génétiques augmentant l’intelligence est donc en concordance avec l’intelligence moyenne des populations.

L’étude estime également plus précisément les fréquences de ces allèles pour différent pays et montre le lien étroit entre le Q.I moyen national et la fréquence de ces allèles dans la population.

Fig. 2 et Fig. 1 ci-dessus extraites de « A review of intelligence GWAS hits: Their relationship to country IQ and the issue of spatial autocorrelation » Intelligence 53 (2015) 43–50.

Conclusion

Genome-wide association studies establish that human intelligence is highly heritable and polygenic18

– Nature, 2011.

« Intelligence — the ability to learn, reason and solve problems — is at the forefront of
behavioural genetic research. Intelligence is highly heritable and predicts important educational,
occupational and health outcomes better than any other trait »

– Nature, 2018.

  • 1. Il existe un facteur g (=Q.I).
  • 2. Le niveau moyen de g dans une population est causalement lié au niveau de la civilisation et à la qualité de vie dans les sociétés modernes.
  • 3. g est hautement héritable (influencé par des facteurs génétiques).

Imaginez une société d’hommes violets intelligents. Cette société serait nettement plus développée qu’une société d’hommes mauves, moins intelligents…

Cette société violette serait nettement plus riche. Elle serait nettement plus prospère d’un point de vue économique mondial car il lui serait possible d’inventer beaucoup plus de choses et de mettre sur le marché des éléments à haute valeurs ajoutées (car technologiquement supérieurs: avions, ordinateurs, porcelaines, grands vins…).

En vis-à-vis la société mauve serait, comparativement à la violette, plus pauvre et moins développée. Elle serait plus religieuse car l’intelligence corrèle à -0,88 avec l’inclination religieuse. Elle serait plus violente aussi car l’intelligence corrèle négativement avec le crime et les délits. Les seules choses que cette société soit capable d’apporter sur le marché mondial seraient des éléments à faible valeur ajoutée, de l’agriculture essentiellement ou d’autres éléments qui sont en surplus dans le monde.

La société violette aurait une histoire glorieuse, car si elle est plus intelligente que la mauve cela ne date pas d’hier: c’est marqué dans ses gènes depuis des milliers d’année, raison pour laquelle la société violette peut compter dans ses dictionnaires une part considérable de grands génies artistiques, des savants, des hommes politiques, des militaires, des écrivains…

La société mauve n’aurait pas de dictionnaire. De toute faction il n’y aurait pas beaucoup de grands hommes à y mettre car la fréquence des génies serait nettement inférieure.

Voici que les mauves découvrent, par une mondialisation récente, qu’il est évidement plus agréable de vivre dans la société violette.

Un afflux ininterrompu se fait dès lors des régions géographiques mauves vers les violettes.

Ceci commence à poser des problèmes sociaux dans la société violette qui n’a jamais eu dans sa population une telle part de personnes avec une si basse intelligence, qui conséquemment ne s’intègrent pas. Les mauves s’accumulent dans des quartiers qui deviennent mal famés car plus criminels, plus religieux et moins prospères. Les mauves ont un niveau d’éducation bien moins élevé car ils sont moins intelligents. Leurs salaires moyens sont moins élevés. Il se crée un ressentiment des mauves vis-à-vis des violets.

Ces poches mauves dans la société violette grandissent de plus en plus de par le jeu de l’immigration qui continue et par le taux de natalité des mauves qui est nettement supérieur à celui des violets.

Le métissage se produit petit à petit dans la société violette qui devient une société violette avec une part mauve de plus en plus importante. L’intelligence dans la société violette diminue petit à petit.

La société violette, jadis prospère de par sa haute intelligence, voit son niveau de développement diminué progressivement et tendre vers le niveau de vie mauve.

La fréquence des génies dans la société violette décroit. Le salaire moyen diminue. La fréquence de la criminalité augmente. Le développement diminue.

Un de ces jours pas si lointain, les jaunes, une troisième population d’intelligence proche de celle des anciens violets, prend le pouvoir sur le monde. Les violets sont totalement hors-jeux de par la diminution de leur intelligence moyenne conséquente de l’immigration massive des mauves.

Sic transit gloria mundi.

Les cinq races de l’humanité

Voici 10 points relatifs aux cinq races de l’espèce homo sapiens

Par Pascal Domat

1. Le monde est divisé en 5 races humaines. La division de l’espèce homo sapiens en races est un fait d’observation élémentaire que la science confirme et précise.

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2. Il y a 5 grandes humaines : caucasoïde, mongoloïde, congoïde, capoïde, australoïde (termes de Carleton Coon).

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3. Il y a moins de différence raciale entre un Sicilien et un Tunisien qu’entre un Sicilien et un Suédois. La race caucasoïde est vaste. Les races sont elles-même divisées en sous-races. 16 sous-races caucasoïdes : nordique, est-baltique, dinarique, alpine, atlanto-méditerranéenne, irano-afghane, méditerranéenne, arménoïde, trønder, samis, celtique, néo-danubienne, hallstatt nordique, brünn, borreby, ladogan (termes de Carleton Coon).

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4. L’approche génétique confirme la typologie des anthropologues.

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L’analyse de Cavalli-Sforza néglige les capoïdes et classe les habitants du Sud-Est asiatique avec les australoïdes, ce qui est discutable.

L’homme partage 98.9% de ses gènes avec le chimpanzé. Cela ne signifie pas, au demeurant, que deux individus pris au hasard dans chacune des deux espèces sont génétiquement identiques à 99 %, mais que les allèles (variantes des gènes) caractéristiques d’une espèce ne sont qu’1 % du total. Or, nous avons la faiblesse de penser que cet écart d’1 % n’est pas négligeable…

Une méthode pratique pour étudier la biodiversité est l’analyse en composante de principe. L’analyse en composantes de principe (ACP) est un procédé mathématique qui utilise une transformation orthogonale pour convertir un ensemble d’observations de variables potentiellement corrélées en un ensemble de valeurs non-corrélées appelées composantes de principe.

Regardez certains de ces graphiques d’ACP basés sur un large échantillonnage de polymorphisme nucléotidique (PN) de plusieurs individus à travers la planète. Vous remarquerez une agglomération générale de résultats via lesquels il est possible d’identifier la race de certains individus.

Cette agglomération est une conséquence naturelle de l’évolution divergente due à l’isolement géographique et les différences de pressions environnementales que les homo sapiens ont rencontré dès le début de leurs migrations.

L’espèce humaine se compose de races et sous-races génétiquement identifiables. Malgré de légères imprécisions dues aux méthodes d’échantillonnage et de transformation, les congoïdes présentent des différences importantes par rapport au reste de l’humanité après avoir évolué séparément pendant plus de 120 000 ans (1 million d’années selon la théorie polycentrique de Coon et Wolpoff).

race

http://med.stanford.edu/tanglab/publications/PDFs/WorldwideHumanRelationshipsInferredFromGenome-WidePatternsOfVariation.pdf

https://lesacreduprintemps19.files.wordpress.com/2011/06/woodley-2009-is-homo-sapiens-polytypic-human-taxonomic-diversity-and-its-implications.pdf

5. La race ne se réduit pas à la couleur de peau. Cette dernière n’a que peu d’importance.

Les scientifiques ont étudié le niveau de différenciation génétique parmi les différences races. Le système nerveux représente le plus gros de la variation au sein des populations humaines, largement plus que la pigmentation.

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Races étudiées : congoïdes, caucasoïdes, mongoloïdes.

k7nohksmFemme indienne caucasoïde à la peau noire.

https://bmcevolbiol.biomedcentral.com/articles/10.1186/1471-2148-11-16

6. Variabilité des gènes. Le classement d’une série quelconque d’individus ou d’éléments dépend entièrement du point de vue retenu. Les différences raciales, qui ne remettent évidemment pas en cause l’unité de l’espèce humaine, portent essentiellement sur certains gènes.

Les affirmations de Lewontin sur la variabilité ne sont valables que lorsque l’on examine la fréquence de différentes allèles entre deux personnes  à l’échelle individuelle.

La réponse dépend du nombre de polymorphismes utilisés pour définir cette dissimilarité ainsi que des races comparées.

Lorsque les scientifiques analysent trois populations géographiquement distinctes (Européens, Africains, Est-Asiatiques) et en mesurent la similarité génétique à plusieurs milliers d’endroits différents, des séparations nettes apparaissent.

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En résumé, quand on reporte graphiquement les données des allèles unidimensionnellement, des résultats s’agglomèrent en différents points selon une répartition longiligne. Pour Lewontin, cela démontrerait une forte similitude entre les différentes races humaines, et donc, finalement, leur inexistence.
En revanche, si vous les reportez sur deux dimensions voire plus, les différences raciales deviennent immédiatement visibles, prouvant le caractère fallacieux du raisonnement de Lewontin.

https://user.xmission.com/~wooding/pdfs/witherspoon_similarities07.pdf

7. La différence des moyennes de QI entre les races doit quasiment tout au génotype, peu à l’environnement. Cf Jensen, Eysenck.

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8. Le métissage n’élimine pas les races, il ajoute un type intermédiaire aux deux types d’origine, et il peut même donner naissance, à la longue, à de nouvelles races, comme cela est en train de se faire en Amérique latine.

9. Influence de l’environnement. Le climat a pu influencer la couleur de la peau, bien que ce ne soit pas évident, puisque que l’on trouve des hommes de race mongoloïde sur l’équateur, comme au pôle Nord. Mais l’adaptation aux conditions locales porte normalement sur l’ensemble du génotype, et non seulement sur des caractères isolés.

10. Les races ne sont pas égales, car l’égalité n’est pas dans la nature. En dehors des vrais jumeaux (monozygotes), deux individus ne sont jamais génétiquement identiques. De même, les gènes qui déterminent la race ont une influence physique et mentale qui varie selon la race. L’égalité des citoyens devant la loi, quelle que soit leur origine, proclamée par la constitution, n’est en rien une égalité de nature. On peut en dire autant de l’égalité morale entre les hommes affirmée par certaines religions ou philosophies.

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Race et beauté : les femmes congoïdes sont-elles moins belles ?

Race et beauté : les femmes de race congoïde sont-elles moins belles que les autres ? 

Par Jean-Noël Strauss

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Comme le laissent entrevoir les statistiques des sites de rencontre, la race est l’un des critères qui permet aux membres de discriminer leurs éventuels partenaires. Selon ces chiffres, les femmes congoïdes connaissent moins de succès que les femmes des autres races. Satoshi Kanazawa, professeur à la LSE et spécialiste de psychologie évolutionnaire, apporte une explication dans un article intitulé Why Are Black Women Less Physically Attractive Than Other Women? En se fondant sur une étude du programme américain Add Health (National Longitudinal Study of Adolescent Health) qui a demandé aux sujets testés de noter la beauté physique des participants au programme, le professeur Kanazawa a pu calculer un « facteur de beauté physique ». Alors qu’un de ses précédents papiers démontrait qu’en moyenne les femmes étaient plus attirantes que les hommes, il s’avère, grâce à cette nouvelle étude faisant entrer la dimension raciale, que ce n’est pas le cas pour les femmes de race congoïde : celles-ci ne sont pas plus différentes que le participant « moyen » à l’étude, et sont jugées largement moins attirantes que les femmes des races caucasoïde et mongoloïde.

 

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Figure 1 : le facteur d’attractivité physique latent a une moyenne de 0 et un écart type de 1. A gauche les femmes, à droite les hommes.

 

Il est par ailleurs intéressant de noter que bien qu’étant jugées moins attirantes, les femmes de race congoïdes se sont trouvées bien plus attirantes que les autres. Les hommes de race congoïde se sont trouvés également plus attirants que les autres. À cette observation, le professeur Kanazawa n’apporte pas d’explication, mais nous y reviendrons à la fin de l’article.

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Figure 2 : ici, les participants se sont auto-évalués.

Pourquoi les femmes de race congoïde sont-elles moins belles ? Le professeur rejette l’explication par l’IMC, lequel est en moyenne plus élevé chez les femmes de race congoïde : net de celui-ci, les différences d’attractivité perdurent. Il rejette également l’hypothèse qui se fonderait sur l’importance du lien entre beauté et intelligence — les congoïdes ont des QI inférieurs aux caucasoïdes et aux mongoloïdes.

Satoshi Kanazawa propose une explication hormonale. Les individus de race congoïde ont des taux de testostérone plus élevés que les autres races. La testostérone est une hormone androgène, c’est-à-dire masculine, et affecte donc la beauté physique différemment chez les hommes et les femmes : elle rend les hommes plus virils et les femmes plus masculines. Celles-ci, moins féminines, se retrouvent moins attirantes. Voici pourquoi les femmes de race congoïdes seraient moins attirantes.

Quant à l’auto-surévaluation de la beauté des congoïdes, l’on peut sans doute l’expliquer également par un fort taux de testostérone, laquelle favorise la confiance en soi.

Par ailleurs, je note de mémoire que le professeur Lynn considère que le succès des femmes mongoloïdes auprès des hommes caucasoïdes est dû au faible taux de testostérone de celles-ci, ce qui leur octroie des traits du visage plus féminins. Kanazawa semble donc être sur la bonne piste.

 

 

 

L’étude complète :

Cliquer pour accéder à Kanazawa,%20Satoshi.%20%22Why%20Are%20Black%20Women%20Less%20Physically%20Attractive%20Than%20Other%20Women%3F%22%20Psychology%20Today,%20May%2015,%202011.pdf

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Jean-Noël Strauss

Contributeur du PNL

Discriminations raciales et relations sexuelles, par Louis Fischer

Discriminations raciales et relations sexuelles

par Louis Fischer, contributeur du PNL

 

Une certaine fausse droite a fait du métissage des hommes congoïdes avec les femmes caucasoïdes l’un de ses chevaux de bataille. Pour ces faux conservateurs (mais vrais cocuservateurs), les congoïdes détiendraient une certaine supériorité anthropologique. Ces fadaises ridicules, qui, une fois passées au travers du filtre de l’intellectualisme, ont donné naissance à la théorie de J. Philippe Rushton dite « théorie de la sélection r/k » et aux délires du pharisien Eric Zemmour sur « le désespoir des blancs face à la virilité des noirs et des Arabes ». Ces fausses théories sont en réalité fondées sur le ressentiment des éléments les plus médiocres, les plus dégénérés de la race blanche. Elles sont l’équivalent de « l’antisémitisme de ressentiment » évoqué par Nietzsche.

Dans le monde concret, la recherche empirique a au contraire démontré l’intuition des hommes droits : certaines femmes (notamment de gauche) subissent en réalité un manque de choix en raison des libres discriminations.

 

Le type morphologique (…) [a] également un lien avec l’exclusion des noirs et des asiatiques. Parmi les femmes blanches, l’une de nos découvertes les plus frappantes est que les femmes blanches qui se décrivent comme minces, sveltes, athlétiques, ou moyennes excluent presque sept fois plus souvent les noirs comme partenaires potentiels que les femmes qui se décrivent comme épaisses, voluptueuses ou en surpoids.

(…)

Enfin, la religion influe également sur l’exclusions des noirs et des asiatiques parmi les femmes blanches. En particulier, nous notons que les blanches qui s’identifient comme juives ont été exclues de notre analyse car la religion était un facteur prédictif parfait ; c’est-à-dire que tous les hommes et les femmes blancs qui s’identifiaient comme juifs excluaient les noirs de leurs partenaires potentiels, et toutes les femmes blanches qui s’identifiaient comme juives excluaient également les asiatiques comme partenaires potentiels.

 

ÉTUDE COMPLÈTE :

Gendered Racial Exclusion among White Internet Daters*

Cynthia Feliciano, Belinda Robnett, and Golnaz Komaie University of California, Irvine

Louis Fischer

Contributeur du PNL

L’existence des races humaines, acquis définitif de la science

L’existence des races humaines, acquis définitif de la science

Par Henry de Lesquen et le Carrefour de l’Horloge

 

C’est le grand savant suédois Carl von Linné qui a, le premier, établi une classification générale des êtres vivants, dans laquelle il a fait entrer l’homme, tout naturellement. On dit, aujourd’hui, que l’homme appartient au règne animal, à l’embranchement des vertébrés, à la classe des mammifères, à l’ordre des primates, à la famille des hominidés et au genre Homo, famille et genre dont le seul représentant actuel est l’espèce Homo sapiens. Celle-ci, à son tour, se divise en races, comme les autres espèces vivantes, et cela d’autant plus facilement que la variabilité de notre espèce est très supérieure à celle des espèces sauvages, et n’est dépassée que par celle de certains animaux domestiques, comme le chien.

 

Il y a 5 grandes races : caucasoïde, mongoloïde, congoïde, capoïde, australoïde (termes de Carleton Coon).

 

Les objections des négateurs

Langaney et les autres négateurs emploient trois types d’arguments fallacieux pour rejeter à la fois le sens commun et les résultats scientifiques concordants que nous avons résumés. Ce sont : le sophisme de la continuité, le sophisme de la variabilité, le sophisme de l’intentionnalité. Les deux premiers restent du domaine de la discussion scientifique, bien qu’ils soient faux. Le dernier est purement idéologique ; comme nous l’avons déjà évoqué, nous n’insisterons pas.

 

Le sophisme de la continuité

Les négateurs remarquent d’abord que les anthropologues n’ont jamais pu se mettre tous d’accord sur un système de classification, tant les types intermédiaires sont nombreux qui permettent de passer insensiblement d’une « race » à une autre. « L’humanité, dit André Langaney, se présente (…) comme un ensemble continu, une sorte de nappe qui se rétrécit ici ou là, isolant plus ou moins bien des ensembles de population d’effectifs variables et plus ou moins homogènes. » Il serait donc vain de vouloir découper des catégories dans cet ensemble.

Cet argument de continuité ne prouve rien. Il rappelle même fâcheusement le sophisme d’Achille et de la tortue : sous prétexte que le mouvement est infiniment divisible, Achille « au pied léger » ne parviendrait jamais à rattraper la tortue… C’est ainsi que Zénon d’Elée prétendait démontrer l’impossibilité du mouvement par le fait qu’un objet doit, pour se déplacer, franchir une infinité de points intermédiaires ; il était alors facile au philosophe sensé de démontrer la réalité du mouvement : il n’avait qu’à marcher. De la même manière, il suffit aujourd’hui de prendre l’avion de Paris à Tokyo, ou de Dublin à Dakar, pour se convaincre que les races sont une réalité…

On pourrait aussi bien nier la lumière et les couleurs que les races, en remarquant que l’on passe insensiblement du noir au blanc, entre lesquels il y a toutes les nuances de gris, ou du jaune au bleu, entre lesquels il y a toute la gamme des verts.

Du reste, il ne faut pas surestimer les divergences entre les classifications proposées par les anthropologues ; ils admettent tous, à la base, le schéma des trois grandes races, qu’ils sont simplement obligés de compliquer, pour tenir compte des races marginales d’Australie ou d’Afrique du sud, ou bien pour détacher les populations amérindiennes des autres mongoloïdes. Quoi qu’il en soit, la variété des classifications zoologiques ne fait pas douter de la diversité des espèces animales.

D’autres auteurs (mais non A. Langaney) ajoutent que les « races géographiques » qui se sont effectivement formées dans le passé ont aujourd’hui tendance à disparaître par métissage, à mesure que deviennent plus faciles les communications et plus fréquents les échanges entre les peuples. Il est curieux d’en tirer argument contre l’existence des races, car, si les races sont susceptibles de disparaître par métissage, c’est qu’elles sont présentes au départ.

De toute façon, le métissage n’élimine pas les races, il ajoute un type intermédiaire aux deux types d’origine, et il peut même donner naissance, à la longue, à de nouvelles races, comme cela est en train, sans doute, de se faire en Amérique latine.

Il est amusant de remarquer que ceux qui invoquent l’universalité du métissage pour nier l’existence des races, et qui s’écrient : « Nous sommes tous des métis » , rejoignent l’opinion de Gobineau, qui écrivait, quant à lui, dans l’Essai sur l’inégalité des races humaines : « L’espèce blanche (nous dirions : la race blanche), considérée abstractivement, a disparu de la face du monde. (…) elle n’est plus maintenant représentée que par des hybrides. »

 

Le sophisme de la variabilité

Les techniques d’électrophorèse, utilisées depuis 1966, ont révélé que la variabilité génétique était bien plus grande que les spécialistes ne l’imaginaient jusqu’alors. De plus, les différences génétiques à l’intérieur d’une race sont très supérieures à celles qui séparent les races : selon Masatoshi Nei, la variabilité intraraciale représente 90 % du total, la variabilité interraciale (entre les trois grandes races), 10 % seulement . Les négateurs ont cherché à tirer parti de ce résultat. Il était pourtant prévisible, à notre avis, car il est aisé d’observer, dans tous les groupes raciaux, des petits et des grands, des maigres et des gros, etc., même si la taille ou le poids moyen ne sont pas les mêmes.

Le classement d’une série quelconque d’individus ou d’éléments dépend entièrement du point de vue retenu. Par exemple, on peut ranger les livres d’une bibliothèque selon leur contenu (en séparant les romans des essais…), selon la date de la parution, selon l’ordre alphabétique du nom de l’auteur, ou la qualité de la reliure, etc.. De même, on peut classer les êtres humains selon la race, le sexe, l’âge, la santé, le groupe sanguin, etc.. Toutes ces classifications ont leur intérêt et leur pertinence et il est idiot d’expliquer que l’une détruit l’autre, comme le fait cependant A. Langaney . Pour se convaincre de l’absurdité du procédé, il suffit de remarquer qu’il permettrait de nier, par exemple, les catégories sexuelles. En effet, les hommes, comme les femmes, se répartissent entre les groupes sanguins A, B et O : il vaut mieux, pour un homme de race blanche, recevoir du sang d’une femme noire, s’il est du même groupe, que celui d’un autre homme de la même race, s’il ne l’est pas. De la même manière, on pourrait nier les différences entre espèces, puisque le système ABO se retrouve chez le chimpanzé. Si les races n’étaient pas une réalité, les espèces ne le seraient pas non plus !

Selon A. Langaney, l’homme partage 99,9 % de ses gènes avec le chimpanzé : il exagère sans doute, 99 % paraît une estimation plus raisonnable . Cela ne signifie pas, au demeurant, que deux individus pris au hasard dans chacune des deux espèces sont génétiquement identiques à 99 %, mais que les allèles (variantes des gènes) caractéristiques d’une espèce ne sont qu’1 % du total. Or, nous avons la faiblesse de penser que cet écart d’1 % n’est pas négligeable…

Les différences raciales, qui ne remettent évidemment pas en cause l’unité de l’espèce humaine, portent essentiellement sur certains gènes. Ceux-ci ne seront bien connus que lorsque le génome humain aura été entièrement exploré, dans toutes ses variations, ce qui est une vaste entreprise. En attendant, on peut tout au plus calculer des corrélations statistiques entre ces gènes, dont l’emplacement n’est pas connu, mais dont on observe les effets, et certains autres, comme ceux qui déterminent les groupes sanguins. Il n’y a pas lieu d’accepter le réductionnisme de certains spécialistes de la génétique des populations, comme André Langaney, qui dénient toute valeur à l’anthropologie traditionnelle. Pour autant, les progrès de la génétique sont riches d’enseignement sur les races et l’histoire des races, notamment parce qu’ils mettent au jour des « marqueurs raciaux », c’est-à-dire des gènes ou caractères génétiques simples inégalement distribués entre les groupes raciaux. Le système ABO était déjà riche d’enseignements, sa répartition n’étant pas la même dans toutes les populations, mais on a trouvé depuis de nombreux marqueurs, plus spécifiques, qui n’apparaissent que dans une seule race : par exemple, pour le groupe sanguin Diego, l’allèle A est propre à la race jaune ou mongoloïde ; pour le groupe sanguin Duffy, l’allèle O n’existe que chez les noirs.

Dans le même ordre d’idées, A. Langaney veut faire croire que les différences raciales ne portent que sur des détails superficiels, des caractères visibles tels que la couleur de la peau, la forme des cheveux, etc., ce qu’il appelle la « carrosserie », tandis que l’essentiel est constitués de caractères cachés (le moteur ?), qui seraient les mêmes pour toutes les races. En effet, l’auteur, qui adopte la thèse « monocentriste », estime que les races sont d’origine trop récente pour qu’elles aient pu diverger beaucoup. Les différences de « carrosserie » entre les populations s’expliqueraient par une adaptation aux conditions locales du climat .

L’image de la carrosserie est malheureuse, car il est rare de trouver un moteur de Ferrari sous le capot d’une 2 CV. En fait, rien ne permet d’établir une dichotomie entre caractères visibles et caractères cachés. Les traits de la personnalité, qui sont souvent aussi héritables que l’aspect physique, font-ils partie de la « carrosserie » ou du moteur ? Le climat a pu influencer la couleur de la peau, bien que ce ne soit pas si évident, puisque que l’on trouve des hommes de race jaune sur l’équateur, comme au pôle Nord. Mais l’adaptation aux conditions locales porte normalement sur l’ensemble du génotype, et non seulement sur des caractères isolés. De plus, l’homme étant un être de culture et de civilisation, il modifie son environnement en fonction de ses besoins. L’évolution est donc déterminée au moins autant par les conditions socioculturelles que par les conditions géographiques.

Enfin, même si l’on accepte l’hypothèse monocentriste, il reste que 100.000 ans représentent 5.000 générations (les femmes avaient autrefois leurs enfants très jeunes), et que c’est bien assez pour que se produise une variation considérable au sein de l’espèce humaine, qu’elle soit due au climat ou à bien d’autres facteurs. Finalement, la nature des différences raciales est une question empirique, et la vérité oblige à dire qu’elles ne portent pas seulement sur des aspects anecdotiques, comme le prétend A. Langaney. Le bilan dressé dans l’ouvrage de Jean-Pierre Hébert, Race et intelligence, montre qu’elles sont importantes .

Selon A. Langaney, « les multiples expériences de transplantation qui ont été faites empiriquement (sic) prouvent que les différenciations sociales de l’espèce humaine ne relèvent en rien de différences génétiques entre les populations » . Si l’on prend isolément un individu quelconque, il est évident, en effet, qu’il hérite d’un patrimoine culturel sur lequel il a peu de prise. Par exemple, un enfant espagnol adopté par une famille française aura le français comme langue maternelle, même si jamais aucun de ses ancêtres ne l’a parlé. La langue française est pour lui une donnée, qu’il reçoit comme beaucoup d’autres.

L’individu subit la culture de la société où il vit : elle lui est imposée, quelle que soit sa biologie propre. A de rares exceptions près, on peut tenir pour négligeables les modifications qu’il introduit dans la société à laquelle il appartient. De là à admettre qu’on peut dissocier les deux ordres de fait, le biologique et le culturel, il n’y a qu’un pas. Mais, en le franchissant, on commet le « sophisme de composition », qui consiste à oublier que les propriétés du tout ne se réduisent pas à celle des parties. Ce qui est vrai d’un seul individu ne l’est plus d’un grand nombre. L’entrée massive de nouveaux venus dans une société quelconque, en supposant même qu’ils puissent se dépouiller de leur culture d’origine, ne peut manquer d’avoir de grandes répercussions sur le fonctionnement de cette société. On en trouve un exemple concret, en matière de langue, dans le phénomène créole. Les esclaves noirs emmenés en Amérique ont formé des dialectes qui leur étaient propres. Langue mixte, le créole comprend une base européenne (anglais pour la Jamaïque et la Barbade, français en Haïti et en Martinique), altérée par ses usagers sur le plan de la grammaire et du vocabulaire.

« Le magistère antiraciste, écrit Claude Imbert, brave sottement l’opinion commune en affirmant que les races n’existent pas. » Comme dans le célèbre roman d’Orwell, 1984, les négateurs proscrivent l’usage de certains mots . Dans une société communiste pure et dure, il est impossible de demander la liberté, puisque les libertés « bourgeoises » sont une duperie, et que la vraie liberté est celle d’obéir au parti communiste. De même, pour André Langaney et autres négateurs, il est interdit de parler de races ou d’inégalité, sans passer pour un complice des crimes contre l’humanité.

10 points sur les inégalités de QI entre les races humaines

10 points fondamentaux sur les inégalités de QI entre les races humaines

 

Sur la base des 10 catégories de recherche dont la liste est donnée ci-après, Arthur Jensen et J.P Rushton ont conclu que la différence moyenne de 15 points entre les QI des Noirs et des Blancs aux Etats-Unis est à 80 % environ d’origine héréditaire, et que la différence de 30 points entre Africains et non-Africains est héréditaire à environ 50 % (le reste étant en grande partie attribuable aux différences culturelles et nutritionnelles). Les données démontrent que :

 

1. Le QI moyen à travers le monde est de 106 pour les Asiatiques de l’est (Extrème-Orientaux), de 100 pour les Blancs, de 85 pour les Noirs américains, et de 70 pour les Africains noirs.

 

2. Les différences raciales sont maximales sur les sous-tests les plus pondérés en g (facteur général de capacité mentale, ou première composante principale » ; il mesure le « principe actif » dans les tests d’intelligence).

 

3. Les différences raciales sont les plus nettes sur les sous-tests de QI dont les résultats dépendent le plus de l’hérédité.

 

4. Les différences raciales de volume cérébral sont parallèles aux différences de QI.

 

5. Les métis ont en moyenne un QI intermédiaire entre ceux de leurs deux populations parentales.

 

6. Les études sur les adoptions trans-raciales montrent que les enfants noirs, métis et est-asiatiques élevés par des parents blancs ont un QI plus proche de la moyenne de ceux de leurs parents biologiques que de la moyenne chez les Blancs.

 

7. On observe chez la descendance et la fratrie des sujets une régression vers le QI moyen de leur race.

 

8. Les races sont systématiquement différentes, et dans le même ordre, sur 60 traits qui décrivent « l’histoire de vie ».

 

9. Les différences raciales de QI sont conformes aux dernières données sur l’origine de l’espèce humaine (le modèle « out of Africa »).
Je crois toutefois que la thèse polycentriste des anthropologues comme Wolpoff est la bonne.

 

10. Enfin, les explications par l’environnement des différences raciales de QI ont été testées et ont régulièrement fait la preuve de leur inadéquation.

 

 

Immigration de masse et baisse du QI moyen en Europe sont‑elles liées ?

(Bulletin de réinformation du vendredi 1er juillet 2016, de Radio courtoisie)

 

Le Monde a récemment relayé une étude menée, en 2015 par deux spécialistes des neurosciences, Edward Dutton et Richard Flynn,respectivement finlandais et britannique et publiée dans la revue Intelligence, dirigée par le psychologue américain Rich Haier. Alors que le QI moyen des Européens a été en hausse convexe pendant quasiment tout le XXe siècle, on a assisté dans les années 90 à une inversion de la courbe et, depuis une dizaine d’années, à une dégradation accélérée du QI moyen sur l’Europe entière.

 

Les deux chercheurs passent en revue un certain nombre de causes possibles

Ils évoquent ainsi le rôle des perturbateurs endocriniens présents dans l’alimentation, celui des drogues, douces ou dures, le déclin programmé de l’éducation (l’« effet Belkacem » avant la lettre…) ou encore la plus faible reproduction des personnes à QI supérieurs. Les deux chercheurs n’hésitent pas à pointer également l’arrivée massive de populations africaines sur le Vieux continent.

 

Leurs travaux confirment en cela une étude de 2013

Cette étude a été menée par un chercheur danois qui a épluché les tests du service militaire dans son pays, montrant que le QI moyen des non‑européens était de 86,3, contre 100 pour les Danois de souche. En France, entre 1990 et 2009, le QI moyen est passé de 102 à 98, soit une baisse de 4 points en vingt ans, ce qui, je cite Le Monde : « Est énorme ». Notons que le QI moyen poursuit sa croissance en Finlande, pays sans immigration de masse, et que les tests Pisa placent d’ailleurs en tête des pays de l’OCDE en matière de performance des systèmes éducatifs.

 

 

Affirmer aujourd’hui que les races existent c’est s’exposer aux foudres du cosmopolitiquement correct et à l’intolérance.

 

Le 14 octobre 2007, dans les colonnes du Sunday Times, James Watson, découvreur de la double hélice de l’ADN, exposa qu’il était « fondamentalement pessimiste quant à l’avenir de l’Afrique » parce que « toutes nos politiques d’aide sont fondées sur le fait que leur intelligence [celle des Africains] est la même que la nôtre [Occidentaux, ndlr] alors que tous les tests disent que ce n’est pas vraiment le cas ».

Pourtant l’existence ou la non-existence des races et l’éventualité ou non de différences substantielles entre elles ne relèvent pas du jugement de valeurs mais du jugement de faits. Or, dans la logique de la pensée européenne un jugement de fait peut être dit vrai ou faux s’il est possible de l’exposer et de le discuter librement. En histoire, en sociologie, en biologie, en médecine, il n’est pas de vérité révélée, il n’existe, d’un point de vue scientifique en tout cas, que des affirmations contestables et révisables.

Ainsi d’un point de vue scientifique il est possible d’affirmer que les races n’existent pas et/ou qu’il n’y a pas de différences entre elles mais à condition d’admettre que des arguments puissent être librement présentés pour défendre la thèse adverse.

C’est justement ce qu’ont fait J. Philippe Rushton et Arthur R. Jensen dans une étude intitulée : « La très dérangeante vérité de James Watson: réalisme racial et illusion moraliste ». Cet article est paru dans le numéro 71 de la très grande revue scientifique (Elsiever) Medical Hypotheses. Il n’est pas indifférent de noter que c’est une revue médicale qui a publié cet article iconoclaste : car, sauf à prendre le risque de ne pas adopter des traitements optimaux, les médecins sont souvent tenus de prendre en compte les origines raciales de leurs patients.

Un correspondant de Polémia a bien voulu traduire cet article. En voici l’Introduction, qui en reprend les principales conclusions. L’ensemble de l’article traduit est aussi disponible en PDF. (voir en fin d’article).

 

La très dérangeante vérité de James Watson: réalisme racial et illusion moraliste

(Introduction de l’article ; les intertitres sont de Polémia)

 

Lorsque l’un des plus grands biologistes du 20èm siecle, le prix Nobel James Watson, a déclaré que les sujets d’origine africaine ont de moins bons résultats aux tests d’intelligence que les Européens et les Asiatiques de l’est, il a été condamné par les médias et une part de l’élite scientifique et contraint à abandonner son poste de président du laboratoire de Cold Spring Harbor [9,34].

 

Un traitement indigne du point de vue scientifique

Le traitement infligé à Watson est d’autant plus énorme que, du point de vue des faits scientiques, plus d’un siècle et demi de preuves corroborent son affirmation. De plus, de nouvelles données et analyses viennent régulièrement appuyer ces résultats dans les grands journaux à comité de lecture des disciplines scientifiques concernées. Les données allant en sens contraire sont extrèmement pauvres. L’essentiel de l’opposition à l’hypothèse génétique se limite à des considérations moralistantes et, pire, à la création d’une atmosphère coercitive et menaçante incompatible avec la liberté universitaire, la liberté d’enquête et les libertés civiles d’une société véritablement démocratique. Il y a un écart énorme entre les tenants et gardiens du cosmopolitiquement correct et les véritables experts des sciences du comportement. Le cas de Watson n’est pas unique. Il n’est que le dernier d’une longue série d’universitaires qui ont été cloués au pilori et diffamés (détails dans l’article de Hunt [20]). Ce sont en particulier le prix Nobel William Shockley, Hans Eysenck, Linda Gottfredson, Richard Lynn, Richard Herrnstein, Charles Murray, Christopher Brand, Glayde Whitney, Helmuth Nyborg, et Tatu Vanhanen. Les auteurs du présent article ont eux aussi dû supporter leur lot d’attaques.

 

Le tabou de la race

Le tabou de la race deviendra certainement un sujet majeur de recherche pour les sociologues de la connaissance : il n’y a pas d’équivalent dans l’histoire de la science. Exemple sans équivalent, ce tabou est imposé, principalement par autocensure, par les membres de l’intelligentsia occidentale dans leurs propres universités, qui s’enorgueillissent pourtant d’une tradition de liberté de pensée, d’ouverture d’esprit et d’absence d’obstacles à la découverte, à la systématisation et à la poursuite de la connaissance et à sa dissémination dans le grand public. Malgré les inquiétants effets que nous venons de décrire, nous (et d’autres) avons persévéré notamment en raison de la grande importance de ce sujet, des données passionnantes qu’il apporte et des questions théoriques qu’il soulève [21]. L’un d’entre nous (JPR) est allé en Afrique du Sud pour recueillir de nouvelles données de QI chez des étudiants noirs hautement sélectionnés dans la prestigieuse université du Witwatersrand à Johannesburg. Ces données ont conduit à la publication de sept études et montrent que le QI médian de ces étudiants est de 84 (extrèmes 77-103). Si on suppose que, comme c’est le cas général pour les étudiants, ceux des universités africaines ont un QI supérieur d’un écart type (soit 15 points de QI) à la moyenne de leur population, un QI médian de 84 correspond à une moyenne (très basse) de 70 dans la population générale [48]. Beaucoup de gens considèrent l’hypothèse d’un lien entre race et QI comme extrèmement provocante, et il est donc essentiel d’examiner à fond toutes les données pertinentes. C’est ce que nous avons fait dans notre revue de 60 pages « Thirty Years of Research on Race Differences in Cognitive Ability » (Trente ans de recherche sur les différences raciales entre les capacités cognitives), qui a été publiée en article principal dans le numéro de juin 2005 de Psychology, Public Policy, and Law, un journal de l’American Psychological Association [51]. Dans le présent article, nous résumons et actualisons ces résultats (avec davantage de détails statistiques et de références).

 

La génétique explique de 50 à 80% des différences d’intelligence

Encore une fois, la grande majorité des données tend à montrer que la génétique contribue pour une part de 50 à 80 % aux différences entre groupes raciaux en ce qui concerne l’intelligence, la taille du cerveau et d’autres paramètres de « l’histoire de vie ». On trouvera chez Bartholomew [1] une bonne introduction aux questions évoquées.

 

Source : Polémia

Ce que la science nous dit des différences de QI entre les races : 

 

La très dérangeante vérité de James Watson: réalisme racial et illusion moraliste (traduit par Polémia)

QI des noirs, pauvreté, maladie, et climat.

 Différences de QI entre les noirs et les blancs dans le NLSY97 : L’éducation est-elle si importante ?

La différence de QI entre les noirs et les blancs, d’origine environnementale ?

– Les gènes de l’intelligence : L’héritabilité estimée par les recherches en génétique comportementale

 

Traiter la question identitaire, par Henry de Lesquen

Traiter la question identitaire

Par Henry de Lesquen

 

Nous devons intégrer le constat suivant : les nouvelles populations immigrées sont difficilement assimilables en raison soit de leur religion, soit de leur race, soit des deux.

 

1. Les nouveaux immigrés sont en général de religion musulmane. Or, l’islam est un obstacle à l’assimilation, parce qu’il est davantage qu’une religion. Il est un système social. Ni sa conception de l’homme ni sa conception de la société ne sont compatibles avec les nôtres. Voyez, par exemple, ce que nous en avons dit quand le prix Lyssenko a été attribué en 2001 à Gilles Kepel et Bruno Etienne, orientalistes, pour leur analyse du déclin de l’islamisme.

2. Raymond Cartier est surtout connu pour avoir laissé son nom au « cartiérisme », doctrine selon laquelle il ne faut pas gaspiller l’argent public pour les pays du tiers monde : « Plutôt Corrèze que Zambèze ». Mais ce grand journaliste avait aussi publié, dans les années soixante, plusieurs articles prophétiques pour alerter les Français sur le problème noir dont il observait les prémices dans notre pays. Hélas, Raymond Cartier n’a pas été écouté ! Au contraire, nous avons assisté à l’explosion démographique, en France, des populations noires issues d’Afrique et des Antilles. Cartier craignait que la République fût ébranlée par les coups de boutoir du communautarisme. Nous y sommes : les activistes du CRAN revendiquent un régime de faveur pour les noirs au nom de la prétendue discrimination « positive » chère à Sarkozy. Aujourd’hui, la question raciale est devenue centrale. Mais Cartier n’avait pas prévu que le cosmopolitisme deviendrait l’idéologie dominante. Il ne pouvait imaginer que les gens n’oseraient pas contester les dogmes destructeurs de l’antiracisme officiel. Comment peut-on régler un problème que l’on n’a même pas le droit de désigner ?

Or, l’existence des races est un fait. Rappelons l’essentiel de la question raciale, telle qu’elle se présente generaliter.

 

1. L’espèce humaine est divisée en cinq grandes races : la race blanche (caucasoïde), la race jaune (mongoloïde), la race noire (congoïde), plus deux autres qu’il faut distinguer de la précédente, la race hottentote (capoïde, en Afrique du sud) et la race australienne (australoïdes, en Océanie et Asie du sud). Ces cinq races se sont séparées il y a au moins un million d’années, selon la théorie polycentrique (énoncée, avec des variantes, par Weidenreich, Coon et Wolpoff).

2. Les sociétés sont des systèmes bioculturels, en sorte que le fonds génétique des peuples, donc, en particulier, la race des hommes qui les composent, est le socle de leur identité (Voir, à cet égard, le livre du Club de l’Horloge, La Politique du vivant).

3. Si des hommes d’une autre race arrivent en masse dans le territoire d’un peuple, les conséquences sont toujours dramatiques. Première hypothèse : les immigrés sont absorbés par métissage ; le peuple d’accueil tombe alors en décadence et perd son identité. Seconde hypothèse : les immigrés ne se mélangent pas avec les indigènes (il s’agit de nous, en l’occurrence…) ; les antagonismes raciaux se développent alors inéluctablement au sein de cette société multicommunautaire. Troisième hypothèse : une partie des immigrés se mélange avec les indigènes, qui perdent peu à peu leur identité, avec leur homogénéité ; une autre partie des immigrés forme une ou plusieurs communautés séparées et hostiles. Ce dernier scénario, qui cumule les inconvénients, est celui qui se dessine en France.

 

Conclusion

En ce qui concerne le rapport de l’immigration à l’identité nationale, on ne peut que conclure en toute objectivité :

1. ce sont les Français de souche qui incarnent l’identité de la France et non les allogènes inassimilés ;

2. la religion musulmane n’est pas compatible avec l’identité de la nation française ;

3. l’installation massive en France de populations de race noire n’est pas compatible avec notre identité nationale. La mélanisation de la France, explosion de la population de race congoïde, est susceptible de porter encore plus gravement atteinte à notre identité que l’islamisation, car, si l’on peut changer de religion, on ne peut pas perdre sa race.

 

Pour que la France redevienne la France, Henry de Lesquen engagera la réémigration. Des millions d’immigrés inassimilés seront expulsés du territoire. 

 

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Lien vers le prix Lyssenko

 

Les races sont-elles égales ?

Les races sont-elles égales ?

Prix Lyssenko remis à André Langanay pour sa contribution à l’étude des races humaines


Sur la question de l’inégalité des races, qui donne aisément lieu aux pires anathèmes, il est tentant de clore le débat, mal engagé, par quelques remarques de bon sens, car, pour qui adhère aux idées humanistes, les hommes, comme les races, sont égaux en dignité ; de plus, les inégalités ou supériorités éventuelles que l’on trouvera entre eux et entre elles sont relatives : elles dépendent du point de vue. Nous écrivions, à ce propos, dans La Politique du vivant : « L’antiracisme authentique ne peut se fonder que sur le respect des différences. (…) (Il) admet l’existence des races, qui est un fait d’évidence, mais se refuse à établir entre elles une quelconque hiérarchie : si les races sont différentes, on ne saurait pour autant les qualifier d’inférieures ou de supérieures – pas plus qu’on ne songe à classer Hokusaï par rapport à Dürer… » 

Cependant, on ne peut en rester là, si l’on veut sortir de la confusion actuelle. Qu’entend-on, tout d’abord, par inégalité ? A l’origine, « inégalité » est simplement le contraire d’égalité et n’implique pas de comparaison entre les termes. En ce sens, il est évident que les races sont inégales, qu’elles ne sont pas égales, puisqu’elles sont différentes. Mais l’esprit humain a une tendance irrépressible à comparer, et à poser des jugements de valeur entre les éléments qu’il compare. D’où une seconde acception du mot, qui implique alors la supériorité de l’un et l’infériorité de l’autre. (Le vocabulaire des mathématiques ajoute, d’ailleurs, à l’ambiguïté, puisque la relation d’inégalité, x < y ou x > y, est autre chose que la relation de différence ou de non-égalité, x ≠ y.) Les choses se compliquent encore, pour qui voudrait parler d’inégalité des races, parce que, d’une part, la supériorité éventuelle d’un groupe sur un autre, ou d’une race sur une autre, dépend du paramètre étudié, et que, d’autre part, elle ne sera vraie qu’en moyenne, et non, la plupart du temps, pour tous les individus qui composent respectivement chacun des groupes.

Le Q.I. (quotient intellectuel), qui mesure l’intelligence, ou du moins certains de ses aspects, est le paramètre non physique qui a été le plus étudié, et de loin, surtout aux Etats-Unis. On a observé de grandes différences entre les groupes ethniques, plus ou moins homogènes sur le plan racial. C’est ainsi que les noirs américains ont un Q.I. inférieur en moyenne de 15 points par rapport au reste de la population, ce qui est considérable, puisque la moyenne générale est de 100. Et l’on sait, depuis les travaux fondamentaux d’Arthur Jensen et d’autres, que cet écart de 15 points est essentiellement imputable à des différences génétiques . Cette conclusion n’a rien de surprenant, dès lors que le Q.I. a un coefficient d’héritabilité de 80 %, au niveau individuel.

Richard J. Herrnstein et Charles Murray écrivent à ce propos : « En dépit du terrorisme intellectuel qui règne sur le sujet, les différences ethniques dans le domaine des capacités cognitives ne sont ni surprenantes ni douteuses. Les populations nombreuses diffèrent de bien des manières, tant sur le plan biologique que sur le plan culturel. Il n’est pas surprenant qu’elles puissent différer, au moins légèrement, sur le plan de leurs capacités cognitives. » En fait, deux populations naturelles ont très peu de chances d’être exactement identiques pour un paramètre continu quelconque, qu’il s’agisse de la taille ou du Q.I..

Soulignons, cependant, que l’écart évoqué ne porte que sur des moyennes. Le Q.I. se répartit, au sein d’un groupe, selon une courbe en cloche (dite de Gauss), et les deux courbes, celle des noirs et celle des autres Américains, se recouvrent largement. Ainsi, beaucoup de noirs ont des Q.I. supérieurs à ceux de beaucoup de blancs. Cela montrerait, s’il en était besoin, qu’il est aberrant de réduire un homme à son groupe.

D’où viennent ces différences entre races ? Sont-elles en rapport fonctionnel avec les gènes caractéristiques des races, ou bien sont-elles déterminées entièrement par d’autres gènes, indépendants des premiers ? Nous n’en savons rien. Ainsi, au delà des polémiques stériles et des procès d’intention, un vaste champ de recherches est ouvert aux anthropologues.

Il va de soi qu’A. Langaney n’accepte pas ces conclusions. « De nombreux travaux, dit-il, ont clairement montré que les différences de moyennes de Q.I. clamées entre noirs et blancs américains s’expliquaient totalement par les biais dus aux classes sociales des enquêtés et à la couleur de peau des enquêteurs. » C’est le contraire qui est certain, comme on pourra s’en convaincre en se reportant aux ouvrages écrits respectivement par Arthur Jensen, Jean-Pierre Hébert, Richard J. Herrnstein et Charles Murray. Faute de meilleurs arguments, A. Langaney se livre à des attaques indignes contre les savants qui ont établi les résultats qu’il conteste. Il vitupère « les falsifications des psychométriciens racistes, tels que Jensen ou Eysenck » , « les élucubrations des soi-disant « généticiens de l’intelligence » » , et il s’en prend tout spécialement au prix Nobel William Shockley, inventeur du transistor, qui a fait une seconde carrière scientifique dans le domaine de la psychologie, qu’il accuse de « faire l’apologie du racisme » . De tels procédés faisaient de M. Langaney un candidat idéal pour le prix Lyssenko.

 

 

Lecture complémentaire :

 Sur les différences de QI entre noirs/blancs

 

Source : Carrefour de l’Horloge

Ce que la science nous dit des races humaines

Voici un vade-mecum en 10 points sur les races humaines.

 

1. La division de l’espèce homo sapiens en races est un fait d’observation élémentaire que la science confirme et précise.

 

2. Il y a 5 races : caucasoïde, mongoloïde, congoïde, capoïde, australoïde (termes de Carleton Coon).

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3. La couleur de la peau est secondaire. Il y a 3 races noires : congoïde, capoïde, australoïde. Les Indiens sont des caucasoïdes.

 

4. Les gènes commandent le mental autant que le physique. C’est vrai en particulier de ceux qui déterminent la race.

 

5. La race, composante du fonds génétique, est à la base de l’identité d’un peuple.

 

6. Les races ne sont pas égales, car l’égalité n’est pas dans la nature.

En dehors des vrais jumeaux (monozygotes), deux individus ne sont jamais génétiquement identiques. De même, les gènes qui déterminent la race ont une influence physique et mentale qui varie selon la race.

L’égalité des citoyens devant la loi, quelle que soit leur origine, proclamée par la constitution, n’est en rien une égalité de nature. On peut en dire autant de l’égalité morale entre les hommes affirmée par certaines religions ou philosophies.

 

7. L’individu ne se réduit pas à sa race. Il est d’abord lui-même.

 

8. Contre l’évidence, le lyssenkisme, instrument du cosmopolitisme, nie les différences de race et de sexe.

 

9. « La France est un pays de race blanche » (de Gaulle) : de race caucasoïde.

Le général de Gaulle a déclaré en 1959 :

« C’est très bien qu’il y ait des Français jaunes, des Français noirs, des Français bruns. Ils montrent que la France est ouverte à toutes les races et qu’elle a une vocation universelle. Mais à condition qu’ils restent une petite minorité. Sinon, la France ne serait plus la France. Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne. » (Cité dans Alain Peyrefitte, C’était de Gaulle, tome 1, éditions de Fallois/Fayard, 1994, page 52.)

 

10. Puisque nous sommes un peuple européen de race blanche, comme l’a rappelé le général de Gaulle, la congoïdisation de la France, explosion de la population de race congoïde, est susceptible de porter encore plus gravement atteinte à notre identité que l’islamisation, car, si l’on peut changer de religion, on ne peut pas perdre sa race.

 

Henry de Lesquen

De la lutte des classes à la lutte des races

DE LA LUTTE DES CLASSES À LA LUTTE DES RACES

(Extrait du « prix Lyssenko 2014 » du Carrefour de l’Horloge décerné à Pierre-André Taguieff pour son analyse approfondie du racisme sous toutes ses formes)

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La lutte des races n’est pas plus contestable que la lutte des classes. Cette dernière théorie n’est nullement propre à Marx, qui l’a empruntée aux historiens de son époque. Le grand économiste libéral Vifredo Pareto considérait que la lutte des classes était un fait indubitable. Il aurait pu en dire de même de la lutte des races.

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